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In this collection, scholars and practitioners reflect on the most appropriate interventions to create a more inclusive labour market for all. They explore the economic case for diversity and diversity management strategies, finding that diversity and inclusion must go hand in hand. The book also sheds light on the policy dilemma between respecting individuals and countering structural inequalities, which often requires categorization into groups. The authors remind us that there is diversity within diversity: not everyone receiving the same label has the same needs. The book covers a range of issues including gender equality and mainstreaming, migration and ethnic diversity, racism, violence against LGBTI people and age discrimination. It is thus a rich source of inspiration for anyone wishing to move towards greater justice in the labour market.
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The past decade has seen a proliferation of writing by feminist economists. Feminist economists are not identified with one particular economic paradigm, yet some common methodological points seem to be emerging. I propose making these starting points more explicit so that they can be examined, critiqued, and built upon. I use the term “social provisioning” to describe this emerging methodology. Its five main components are: incorporation of caring and unpaid labor as fundamental economic activities; use of well-being as a measure of economic success; analysis of economic, political, and social processes and power relations; inclusion of ethical goals and values as an intrinsic part of the analysis; and interrogation of differences by class, race-ethnicity, and other factors. The paper then provides brief illustrations of the use of this methodology in analyses of US welfare reform, gender and development, and feminist ecological economics.
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Les français passent davantage de temps à « faire le ménage » qu'à « gagner leur vie » : le travail domestique occupe environ 48 milliards d'heures chaque année tandis que 41 milliards seulement sont consacrés au travail professionnel. Peut-on évaluer ce travail domestique autrement que par le temps passé à l'effectuer? Attribuer une valeur monétaire à ce travail non rémunéré, n'est- ce pas le dénaturer? La question, posée depuis longtemps, a connu un regain d'intérêt dans les années récentes. Cet article, qui est le résumé d'une étude publiée dans Archives et documents, prend le problème d'un point de vue plutôt macroéconomique et cherche ce que vaudrait le travail domestique par comparaison avec le produit intérieur brut. On trouve que les activités ménagères contribueraient à la valeur du PIB marchand pour un tiers ou pour les trois-quarts, selon la méthode choisie. Si l'éventail est large, la proportion est dans tous les cas considérable.
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Le 5 mai 2016, Relais-femmes organisait une table ronde intitulée "Pas de développement sans égalité femme-homme"... Elle mettait en débat la question de l'égalité entre les femmes et les hommes comme levier de développement social et économique Trois intervenantes ont pu illustrer, sous divers angles, une vision plus solidaire de l'économie. Lise Gervais, coordonnatrice à Relais-femmes, mettait en lumière les perceptions et appréhensions des femmes par rapport aux questions économiques et rappelait la contribution de son organisme entourant le rapport des femmes à l'argent et à l'économie; Jennifer Beeman, sociologue, directrice de l'organisme Action cancer du sein du Québec, faisait un rappel historique des avancées du mouvement des femmes en ce qui a trait à l'obtention de mesures favorisant le développement socio-économique. Sylvie Morel, économiste, professeure à l'Université Laval et membre du RéQEF, expliquait pourquoi les féministes doivent résolument s'engager sur le terrain de l'économie; d'une part, en contestant l'approche économique dominante, d'autre part, en développant une vision de l'économie qui, plutôt que d'être opposée au « social », s'y intègre pleinement, montrant ainsi que l'égalité entre les femmes et les hommes est une condition et un moteur du développement intégré de nos sociétés
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The World Bank Group’s Women, Business and the Law examines laws and regulations affecting women’s prospects as entrepreneurs and employees across 187 economies. Its goal is to inform policy discussions on how to remove legal restrictions on women and promote research on how to improve women’s economic inclusion. Women, Business and the Law 2019: A Decade of Reform introduces a new index measuring legal rights for women throughout their working lives in 187 economies. The index is composed of 35 data points grouped into eight indicators. The data covers a 10-year period not only to understand the current situation but to see how laws affecting women’s equality of opportunity have evolved over time. The index assesses economic rights at milestones spanning the arc of a woman’s working life: the ability to move freely; starting a job; getting paid; legal capacity within marriage; having children; running a business; managing assets; and getting a pension.
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« L'objectif de cette étude, effectuée par l’économiste Ruth Rose, professeure associée à l’Université du Québec à Montréal, est de présenter un portrait statistique de la situation des femmes québécoises sur le marché du travail, de son évolution au cours des années récentes et de la comparer à celle des hommes, en tenant compte de la diversité de la population féminine. » (2013, 1)
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Une série de quatre capsules-vidéo met en lumière les retombées d'accompagnements..Cette deuxième vidéo présente les retombées du projet « Pour des choix gagnants, aiguisons nos réflexes », et a été réalisée par le centre de femmes Entr'elles de Granby ainsi que le comité contre l'appauvrissement des femmes. Elle met en valeur l'importance de «faire de la sensibilisation et de l'éducation populaire pour parler des facteurs de l'appauvrissement des femmes; et de distinguer la sécurité économique de l'autonomie économique des femmes» a souligné Véronique Latulippe, animatrice au centre de femmes Entr'elles de Granby et chargée de projet au comité contre l'appauvrissement des femmes.
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Hier d'inspiration réformatrice, la micro-finance nourrit aujourd'hui une idéologie néolibérale, patriarcale et moraliste, portée par un capitalisme «social» et des économistes comme Esther Duflo. Les pauvres, et en premier lieu les femmes, sont perçus comme des entrepreneurs et consommateurs créatifs et responsables, ou des malades à soigner, impulsifs et irrationnels. Microcrédit, micro-épargne et éducation financière seraient des recettes miracles permettant l'épanouissement du potentiel entrepreneurial et l'émancipation par la consommation, ou la canalisation de tentations impulsives et la rationalisation des comportements. Les enquêtes menées dans diverses régions du monde montrent les dérives et les désillusions de la micro-finance. Une vision politique de la pauvreté et du marché permet de dépasser les impasses des idéologies dominantes. Des formes alternatives et solidaires d'épargne et de crédit ouvrent la perspective de réinventer la richesse, la solidarité et la lutte contre les dominations et les inégalités.
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Cet article propose d’étudier l’économie solidaire sous le prisme du genre à partir d’un double regard, critique et possibiliste. Ce double regard, inspiré à la fois de l’économie substantive polanyienne et des recherches féministes, éclaire la manière dont les pratiques d’économie solidaire renouvellent l’économique et le politique, compris ici à la fois comme catégories d’action et de pensée. Il met aussi en lumière les chemins multiples et sinueux de l’émancipation, fruit d’un entremêlement entre principes d’échange dont l’équilibre est en renouvellement permanent.
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This is a revolutionary and powerfully argued feminist analysis of modern economics, revealing how woman's housework, caring of the young, sick and the old is automatically excluded from value in economic theory. An example of this pervasive and powerful process is the United Nation System of National Accounts which is used for wars and determining balance of payments and loan requirements.
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This study deals with the effect of microcredit on women’s livelihood and empowerment in rural areas of Cote d’Ivoire. A cross-section survey was conducted among 185 borrowers from two microfinance institutions and 209 nonborrowers in rural areas of Cote d’Ivoire. In addition, a focus group discussion was held with each of the two women groups. After matching the two groups on the probability of obtaining credit, we found that the microcredit group on average had a higher income and a higher value of household assets than the non-borrowers. No differences in the value of personal women’s assets were found. Furthermore, on one hand women’s decision-making power in the household, as indicated by their strategic gender needs, was positively related to the probability of obtaining microcredit. On the other hand receiving microcredit tended to increase their decisionmaking power.
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Another generation of women will have to wait for gender parity, according to the World Economic Forum’s Global Gender Gap Report 2021. As the impact of the COVID-19 pandemic continues to be felt, closing the global gender gap has increased by a generation from 99.5 years to 135.6 years.
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An extensive literature shows how property inheritance is biased against women in many developing countries, yet relatively little attention has been given to gender bias in other means of acquiring physical assets, such as the market. Using individual-level data from Ecuador, Ghana, and Karnataka, India, this study analyzes modes of acquisition and financing of housing, agricultural land, other real estate, and businesses. The findings show that women acquire fewer of their assets through the market than men, and that in asset markets, both men and women are more likely to use their own savings than to use credit. The study also analyzes current loans for asset acquisition and finds that, in general, women tend to be somewhat disadvantaged in securing formal bank loans. The results suggest that financial inclusion to promote more gender equal access to accumulation of assets should focus on both savings and credit, with priority to savings.
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