Votre recherche
Résultats 216 ressources
-
« Le groupe Féminisme et Maternité, composé de onze femmes, à l’origine du colloque du même nom en janvier 1984 a travaillé sur ces questions et sur d’autres pendant l’année qui a précédé cette rencontre. » (p. 12) Dans cet ouvrage collectif six dimensions sont discutées : 1. Féminisme et maternité (pp. 17-44); 2. Mère-fille-mère : Ruptures et répétitions (pp. 45-76); 3. Maternité/paternité : La question du père (pp. 77-112); 4. L’enfant et/ou le travail, enfanter et/ou créer : refusons la schizophrénie (pp. 113-140); 5. Médecine-maternité-féminisme : La parturiente et les nouveaux maîtres de la fécondité (pp. 141-190); 6. Perspectives critiques -Le vieil Homme et la mère : L’égalité à corps perdu (pp. 191-236).
-
Entretien avec Micheline Coulombe Saint-Marcoux et France Théoret
-
Il est important d'expliciter le rapport qui relie le vécu privé des femmes à leur vie professionnelle, et, sous la dépendance matérielle, de faire surgir la dépendance affective. Celle-ci est liée aux positions dissymétriques occupées par les hommes et les femmes dans la relation amoureuse, qui sont une des marques sociales de la différenciation sexuelle dans la société moderne
-
Les français passent davantage de temps à « faire le ménage » qu'à « gagner leur vie » : le travail domestique occupe environ 48 milliards d'heures chaque année tandis que 41 milliards seulement sont consacrés au travail professionnel. Peut-on évaluer ce travail domestique autrement que par le temps passé à l'effectuer? Attribuer une valeur monétaire à ce travail non rémunéré, n'est- ce pas le dénaturer? La question, posée depuis longtemps, a connu un regain d'intérêt dans les années récentes. Cet article, qui est le résumé d'une étude publiée dans Archives et documents, prend le problème d'un point de vue plutôt macroéconomique et cherche ce que vaudrait le travail domestique par comparaison avec le produit intérieur brut. On trouve que les activités ménagères contribueraient à la valeur du PIB marchand pour un tiers ou pour les trois-quarts, selon la méthode choisie. Si l'éventail est large, la proportion est dans tous les cas considérable.
-
Ce roman pourrait être dédié aux gens qui ont encore "le courage de créer des traditions". L'auteure, comme l'écrit Madeleine Ouellette-Michalska, "articule la quête d'une liberté individuelle sur celle, plus vaste, d'un avenir collectif", en tentant une incursion dans la mythologie. Dans une antique demeure des bords du Richelieu, l'héroïne conjugue ses amours au féminin, et s'accepte Québécoise, c'est-à-dire divisée, avec "un oeil qui regrette l'Europe et l'autre qui convoite l'Amérique". Une oeuvre nationaliste et féministe. SDM.
-
Dans la première partie de son essai, Sheila Rowbotham dit très concrètement à partir de son expérience personnelle, qui est aussi celle de toute la génération d’avant 1968, comment elle a pris conscience de son oppression et commencé à lutter. Du maquillage aux rêves, de la mode au militantisme, dans un monde créé par les hommes et pour l’homme, les femmes ont compris qu’elles étaient exclues, reléguées dans les rôles de mères et d’épouses, envers des rôles masculins dominants. Elle approfondit ensuite cette analyse dans la seconde partie en montrant la fonction particulière des rôles « féminins » dans le système capitaliste. Par le sous-paiement des emplois, le non-paiement du travail domestique et la reproduction qu’elles assurent, les femmes sont exploitées économiquement, idéologiquement et sexuellement. Et si cette situation prouve que le pouvoir capitaliste et le pouvoir masculins sont liés, c’est bien contre elle que les femmes se sont mises à lutter ensemble.
-
Dans la première partie de son essai, Sheila Rowbotham dit très concrètement à partir de son expérience personnelle, qui est aussi celle de toute la génération d’avant 1968, comment elle a pris conscience de son oppression et commencé à lutter. Du maquillage aux rêves, de la mode au militantisme, dans un monde créé par les hommes et pour l’homme, les femmes ont compris qu’elles étaient exclues, reléguées dans les rôles de mères et d’épouses, envers des rôles masculins dominants. Elle approfondit ensuite cette analyse dans la seconde partie en montrant la fonction particulière des rôles « féminins » dans le système capitaliste. Par le sous-paiement des emplois, le non-paiement du travail domestique et la reproduction qu’elles assurent, les femmes sont exploitées économiquement, idéologiquement et sexuellement. Et si cette situation prouve que le pouvoir capitaliste et le pouvoir masculins sont liés, c’est bien contre elle que les femmes se sont mises à lutter ensemble.
-
Cet essai paru en 1963, à l'origine de la deuxième vague féministe, dresse le portrait d'Américaines issues des classes moyennes ayant cru s'accomplir dans le mariage, la maternité et le confort d'un foyer mais qui pourtant connaissent un sentiment d'échec et souffrent d'un mal-être persistant. L'ouvrage évoque également les inégalités salariales, la contraception ou les publicités misogynes.
-
Le programme de recrutement de domestiques antillaises était un programme d’immigration ciblant les femmes originaires des Caraïbes, qui a été actif entre 1955 et 1967. Par l’entremise de ce programme, environ 3 000 Antillaises ont immigré au Canada pour y travailler comme aides domestiques. Il a ouvert la porte à un accroissement de l’immigration noire en provenance des Caraïbes, en offrant à ces femmes des possibilités d’emploi au Canada auxquelles elles n’auraient pas eu accès autrement. Cependant, les femmes ayant participé à ce programme ont souvent dû faire face à des conditions de travail difficiles et à de la discrimination raciale. (Voir Racisme.) En raison de l’évolution des politiques en matière d’immigration du Canada, ce programme a officiellement pris fin en janvier 1968. Il a été remplacé par un système de points, offrant des permis de travail temporaires. Dans les années qui ont suivi, en dépit de la fin de ce programme officiel, des Antillaises ont continué de venir travailler au Canada en tant qu’employées de maison, sur la base de visas d’emploi temporaires. (Voir aussi Programmes des travailleurs étrangers temporaires du Canada.)
-
En Afrique de l’Ouest, de grandes inégalités entre les sexes persistent. Les femmes et les filles sont défavorisées dans de nombreux domaines et n’ont pas les mêmes opportunités que leurs homologues masculins. Le Secrétariat du CSAO a compilé les documents relatifs aux politiques et stratégies en matière de genre pour faciliter l’accès aux politiques et cadres institutionnels existants et leur diffusion.
-
La boîte à outils sur la relève des travailleurs et travailleuses dans les organismes communautaires. Lise Gervais parle des conditions de travail des femmes dans le milieu communautaire.
-
Gender diversity in the music industry is low, both in Canada and internationally. The lack of diversity may represent a competitive disadvantage, as diversity is known to promote innovation and broad thinking, which is precisely what the music industry needs as it undergoes rapid change. This study, performed by Women in Music Canada in collaboration with PwC, assesses the impact of gender diversity of leadership within the Canadian music industry and the impact on company performance. Performance was assessed using estimates of annual revenue and revenue per employee, as well as relevant revenue-generating activities for a selection of Canadian firms. The study focused on companies within the Canadian music landscape and assessed organizations belonging to several industry sectors, such as publishers and record labels, managers and agents, and performance venues. The findings reflect the current state of the Canadian music industry and are benchmarked against international research conclusions. Overall, the study finds three main conclusions: 1. Gender diversity of leadership within the industry is low, at 28.1%, with only 9% of women performing as the head of the company. 2. Diversity of leadership impacts performance – we find that for every 10% increase in diversity, there is a 17.9% increase in revenue per employee. 3. Diversity of leadership also impacts quality of artist roster for music companies – a 10% increase in diversity leads to a 27.5% increase in live performance sales for a company’s artist roster. Live performance makes up the majority of Canadian music industry revenue, and there is a correlation between other forms of music industry revenue (streaming, album sales, etc.) and live performance sales. The results of the study suggest that the industry, including associations and government funders, need to support diversity.