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Résultats 117 ressources
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« Les critères auxquels on peut se référer pour juger de la qualité et de la rigueur d’une recherche varient selon la posture épistémologique des chercheurs. Alors que la recherche positiviste s’appuie sur des critères de validité scientifique et que la recherche interprétative est soutenue par des critères méthodologiques et relationnels, qu’en est-il de modèles de recherche comme la recherche-action? Cet article vise d’abord à rappeler les critères de rigueur de la recherche interprétative, à faire ressortir les critères qui s’appliquent spécifiquement à la recherche-action et, enfin, à proposer des moyens pour satisfaire à chacun de ces critères » [Résumé original]
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« Ce site se veut à la fois le récit de Kaianishkat, un projet de formation à la recherche destinée à des femmes autochtones en communauté, et un espace de partage des outils d’accompagnement à la recherche qui ont été codéveloppés tout au long de ce projet, [...] sous forme de courtes fiches explicatives des principaux éléments à considérer dans le cadre de la réalisation d’une recherche. Ces fiches, destinées en premier lieu à des femmes autochtones souhaitant réaliser des projets de recherche en communauté, peuvent, en revanche, être utiles à quiconque veut amorcer un processus de recherche » [Portion du résumé original]
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«Le présent Cahier DIALOG propose un regard sur la recherche relative aux Peuples autochtones telle qu’elle prend forme et se déploie au sein du réseau DIALOG à travers les travaux collaboratifs des chercheurs/chercheures et des étudiants/étudiantes de différentes universités québécoises et canadiennes. Ces travaux ont été présentés dans la communauté anicinape de Pikogan lors de la première édition de la Classe des Sages. Une vidéo et un album photographique ont aussi été préparés afin de rendre compte par l’image, la parole et l’écrit, des savoirs, des activités, des pratiques, des récits et des expériences partagés à cette occasion.» [Résumé original]
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« La recherche-action collaborative permet de faire émerger toute la richesse des échanges entre praticiens réflexifs et chercheurs professionnels, tous désireux de faire évoluer la connaissance en sciences humaines et sociales. Ce livre témoigne de cette aventure collective et dresse un état des lieux de ces pratiques de recherche. En quoi tentent-elles de construire le savoir d’une manière différente, renouvelée, par rapport aux approches académiques classiques ? Que disent-elles du rapport à la réalité des acteurs sociaux et des chercheurs ? En quoi transforment-elles éventuellement le réel et quels en sont les enjeux épistémologiques ? Tour à tour les auteurs rendent compte d’expérimentations méthodologiques menées sur le terrain bien-être à l’école, accompagnement spécialisé, aide sociale à l’enfance ou développement territorial et explorent les liens complexes qui naissent de la collaboration, voire de la confrontation entre recherche et action. Si les chercheurs interrogent les pratiques, inversement les pratiques posent la question du rapport de la recherche avec la réalité. L’interrogation mutuelle permet de dépasser les frontières des disciplines et donne lieu à une politique et une éthique de la connaissance qui n’hésitent pas à reconnaître la part d’ignorance pour se définir en termes d’ouverture et de dialogue. Cet ouvrage pluridisciplinaire, rassemblant des auteurs de quatre pays, contribuera à la réflexion des étudiants et des formateurs en travail social, mais également d’autres sphères professionnelles, sur le renouvellement de la connaissance dans un « monde incertain ». Il invite les décideurs publics et acteurs du monde éducatif à poser les questions épistémologiques fondamentales et à interroger la distinction entre « le savant et le politique » (4e de couverture)
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L’organisme Relais-femmes est passé de la formation à un accompagnement-formation qui se détache nettement des pratiques traditionnelles de formation et de transmission unilatérale des connaissances. Ce modèle novateur, qui suppose un dialogue constructif entre les parties en présence pour coproduire des connaissances et qui réserve une place importante à l’autoévaluation comme exercice de mise à distance, est présenté dans cet ouvrage. Sept conditions incontournables forgent la démarche d’accompagnement-formation : 1. une approche féministe ; 2. des changements de pratiques par des remises en question ; 3. une pratique réflexive-interactive approfondie ; 4. une mise à distance pour éviter les biais engendrés par les émotions ; 5. la coconstruction et l’intégration d’une posture de collaboration professionnelle ; 6. l’équité et la cohérence entre paroles et actions ; 7. des traces écrites nécessaires à l’évaluation de l’évolution. La lecture de cet ouvrage contribue à l’appropriation de ces incontournables, appropriation qui ne peut se passer de discussions entre collègues, d’expérimentations et de retours sur les actions. L’ouvrage permet de constater la richesse des retombées de l’accompagnement-formation, qui permet d’accroître la capacité d’action des groupes et leur autonomie dans la sélection et la coproduction de connaissances utiles à leur pratique collective, qui met en valeur la contribution des connaissances des unes et des autres que permet une dynamique réflexive-interactive et qui fait ressortir l’importance du travail en collégialité vers des objectifs partagés.
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« Ce protocole de recherche est en premier lieu un instrument collectif pour les chefs et les gestionnaires des communautés qui sont invités à participer à des projets de recherche ou à collaborer à ceux-ci. Cet instrument sert de guide aux Premières Nations, aux communautés et aux organisations régionales des Premières Nations, mais aussi indirectement à la communauté scientifique, afin de réglementer et encadrer les activités de recherche qui se déroulent sur le territoire des Premières Nations ou auprès de leur peuple respectif. […] [C]et instrument n’est pas un substitut aux outils, politiques ou guides existant au sein des Premières Nations, des communautés et des organisations des Premières Nations. Nous réitérons le fait que les Premières Nations doivent exercer leur gouvernance en matière de gestion de l’information et des connaissances collectives et qu’elles ont la responsabilité de protéger et de conserver leur patrimoine informationnel. Cet instrument est donc un outil supplémentaire pour poursuivre les actions entreprises dans ce secteur ». [Résumé original]
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« Une démarche d’évaluation partenariale impliquant plusieurs acteurs est traversée par un processus de négociations et d’ajustements entre des préoccupations, des responsabilités et des intérêts divers. Comment susciter un dialogue entre des savoirs d’expertise et des savoirs d’expérience afin de produire des connaissances scientifiquement fondées et utiles pour les acteurs impliqués dans les programmes ? Loin d’être un processus mécanique, cette démarche implique un travail délicat de recherche d’équilibre qui repose sur un cadre de partenariat négocié. La mise en place d’un comité de pilotage animé par une fonction d’interface entre les parties prenantes de l’intervention étudiée est de plus en plus reconnue comme une des conditions de réussite de la recherche partenariale. Ces conditions permettent de déployer un système réflexif qui peut soutenir l’innovation sociale, lorsque la formulation du problème et les actions qui en découlent continuent de s’enrichir au fur et à mesure que se développent les connaissances sur l’intervention » [Résumé original]
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« Ce guide est le fruit d’une expérience AVEC forte. Ce sont les expertes de vécu participant au projet de recherche Vers une autonomie alimentaire pour touTEs : Agir et vivre ensemble le changement (VAATAVEC) (voir la Fiche 1) qui en ont eu l’idée. Elles jugeaient qu’une expérience hors du commun avait eu lieu et qu’elle méritait d’être connue. Leur souhait était de la partager au plus grand nombre de personnes possible, afin de propager l’approche AVEC. À leur connaissance, aucun guide semblable n’existait. Cette idée a soulevé l’enthousiasme de toutes les personnes impliquées dans le projet.» [Description originale du guide]
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Capsule 3 d'une série de capsules qui ont été produites à partir d’expériences et de points de vue de chercheures sur la coconstruction des connaissances dans les recherches féministes. Danielle Desmarais est professeure à l'École de travail social de l'UQAM. Cette capsule s'inscrit dans la foulée d'une réflexion qui a porté sur la coconstruction des connaissances dans les recherches féministes. Cette journée a été organisée par le Protocole UQAM/Relais-femmes du Service aux collectivités de l'UQAM et le RéQEF, et s'est déroulée le 25 avril 2014.
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« Community-Based Research, or CBR, is a mix of innovative, participatory approaches that put the community at the heart of the research process. Learning and Teaching Community-Based Research shows that CBR can also operate as an innovative pedagogical practice, engaging community members, research experts, and students. This collection is an unmatched source of information on the theory and practice of using CBR in a variety of university- and community-based educational settings. Developed at and around the University of Victoria, and with numerous examples of Indigenous-led and Indigenous-focused approaches to CBR, Learning and Teaching Community Based-Research will be of interest to those involved in community outreach, experiential learning, and research in non-university settings, as well as all those interested in the study of teaching and learning » (4e de couverture)
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Capsule 2 d'une série de capsules qui ont été produites à partir d’expériences et de points de vue de chercheures sur la coconstruction des connaissances dans les recherches féministes. Myriam Gervais est professeure associée en études féministes à l'Université McGill et membre du RéQEF. Cette capsule s'inscrit dans la foulée d'une réflexion qui a porté sur la coconstruction des connaissances dans les recherches féministes. Cette journée a été organisée par le Protocole UQAM/Relais-femmes du Service aux collectivités de l'UQAM et le RéQEF, et s'est déroulée le 25 avril 2014.
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Ce rapport fournit un cadre d'analyse féministe intersectionnelle succint sur le développement et l'extraction des ressources. Il renseigne sur les façons d'appliquer ce cadre sur la thématique de recherche (extraction des ressources), mais pourrait également s'avérer inspirant pour d'autres types d'initiatives. [Résumé ORPCC]
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« La Trousse d’outils pour des pratiques inclusives a été créée pour aider les organisations et les particuliers à planifier et mettre sur pied des événements qui favorisent la participation et l’inclusion de tous les participants, peu importe leur âge, leur sexe, leur orientation sexuelle, leurs capacités, leur patrimoine ou leur culture. [...] Cette trousse est présentée sous forme d’étapes, du début jusqu’à la fin du processus d’organisation d’un événement. Nous avons inclus, pour chaque élément, des ressources en annexe qui vous guideront dans vos démarches. Nous espérons que l’information, les lignes directrices, les listes de ressources et les documents modèles inclus dans cette trousse d’outils vous aideront, ainsi que votre organisme, à réaliser des événements et des projets qui soient inclusifs, respectueux de la diversité et véritablement fructueux! » [Introduction partielle, page 4-5]
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"Depuis 2009, des chercheurs universitaires et des intervenants travaillant dans les communautés francophones en situation minoritaire collaborent au sein de l’Alliance de recherche Les savoirs de la gouvernance communautaire. Le présent guide se propose de faire un bilan des connaissances acquises et des apprentissages réalisés en matière de recherche collaborative (RC) dans le cadre de cette Alliance. Le public visé par ce guide est le milieu des organismes communautaires de la francophonie canadienne, mais il pourra intéresser quiconque désire mieux comprendre le fonctionnement de la [recherche collaborative], ses avantages, mais aussi ses défis. Le guide se compose de connaissances puisées dans les écrits au sujet de la [recherche collaborative] et, surtout, des leçons tirées de l’expérience de [recherche collaborative] au sein de l’Alliance" (p. 6) Le guide se compose de connaissances puisées dans les écrits au sujet de la Recherche Collaborative (RC) et, surtout, des leçons tirées de l’expérience de RC au sein de L’Alliance de recherche Les savoirs de la gouvernance communautaire (l’Alliance). C’est pourquoi on retrouvera, parsemées tout au long du texte, des citations des cochercheurs extraites de documents qu’ils ont produits et des exemples puisés dans les études qu’ils ont réalisées. En page 22 un questionnaire simple permet d’évaluer la disposition des partenaires à la recherche collaborative. [Résumé équipe ORPCC]
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Capsule 1 d'une série de capsules qui ont été produites à partir d’expériences et de points de vue de chercheures sur la coconstruction des connaissances dans les recherches féministes. Carole Lévesque est professeure titulaire à l'INRS et directrice de DIALOG : le Réseau de recherches et de connaissances relatives aux peuples autochtones. Cette capsule s'inscrit dans la foulée d'une réflexion qui a porté sur la coconstruction des connaissances dans les recherches féministes. Cette journée a été organisée par le Protocole UQAM/Relais-femmes du Service aux collectivités de l'UQAM et le RéQEF, et s'est déroulée le 25 avril 2014.
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« Cet article montre comment l’articulation entre la participation et la théorie de la reconnaissance peut soutenir une démarche de recherche. À partir d’une recherche-action participative réalisée avec des organismes qui abritent des programmes d’échange de seringues et des personnes qui les fréquentent, nous présentons les différentes actions menées ainsi que les enjeux rencontrés. Le processus, aussi important que les résultats, montre que la question de la participation doit s’arrimer à une théorie critique de la société, en vue de soutenir un nouveau regard sur ces organismes, de même que sur les personnes qui les fréquentent » [Résumé original]. Voir particulièrement les outils proposés à partir de la page 113 [Note équipe ORPCC]
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« La présente note de recherche est issue d’une réflexion et d’une étude menées par un groupe réuni sous l’égide de la vocation Recherche et société du CRISES. La première section du document permet de contextualiser la recherche partenariale au CRISES. Dès ses débuts, le Centre a fait une place importante dans sa programmation aux interactions entre le milieu académique et les acteurs sociaux. Dans la deuxième section, nous avons effectué une problématisation de la recherche partenariale. Nous situons ici la recherche partenariale plus globalement dans le contexte de la recherche à l’échelle internationale, et notamment européenne. La troisième section présente des données sur des activités de recherche partenariales menées au CRISES. Nous commençons par présenter un survol des recherches partenariales menées au CRISES à partir d’un questionnaire qui fut envoyé aux membres. Nous présentons aussi dans cette section une étude approfondie de trois expériences de recherche partenariale menées au CRISES. Finalement, la dernière section propose un modèle d’analyse des processus et des modalités de coconstruction d’un espace partenarial de recherche. Nous nous intéressons à trois configurations des dynamiques relationnelles, que nous avons qualifiées comme suit : la collaboration, la tension et la figure de la contractualisation, ou de la négociation contractuelle » [Résumé original]
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« Ce Guide de la recherche-action, la planification et l’évaluation participatives propose une pratique et des dispositifs capables de produire des entrelacements de savoirs et fils de conversation multiples. Le premier module présente une vision d’ensemble du savoir accompagner en matière de recherche-action. Il montre comment tout système apprenant peut développer ses habiletés à mixer, équilibrer et intégrer divers dispositifs afin de favoriser le dialogue et la pensée rigoureuse tout en mettant à contribution l’expérience et la créativité des parties prenantes. Ce module contient entre autres quatre dispositifs critiques pour le design de toute conversation avec la situation qui cherche à la fois à saisir l’état des lieux (en se posant la question ‘Et alors ?’) et à prendre les décisions conjointes qui s’imposent (en réponse à la question ‘Et maintenant ?’). Les deux premiers dispositifs cherchent à mieux intégrer l’action, la recherche et la formation (FAR) ou encore, la planification, l’évaluation et la recherche (PER). Un troisième dispositif, Ordre et chaos, s’inspire des théories du chaos et de la complexité pour agir tel un pivot dans le processus de planification. Sorte de fil de trame, ce dispositif détermine le mode de planification à utiliser selon les particularités de chaque situation. Si la situation en est une de succès anticipé, une planification de type plan et devis est de mise. Par contre, si l’imprévisibilité domine et les obstacles sont de taille, s’impose alors la planification de type hypothèse de travail capable d’évoluer au gré des circonstances et de la compréhension qu’en ont les personnes concernées. Le quatrième dispositif, le Schéma du processus, est un outil pour planifier de manière visuelle un ensemble d’activités. Que l’on soit en mode recherche ou en mode suivi/évaluation, il sert d’appui à toute planification continue qui doit prendre en compte les aléas et les nouvelles informations d’une situation en pleine évolution.» [Résumé original]
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« Cette brochure se veut un outil facile de consultation afin de démystifier le processus de la recherche et de vous outiller sur ses différents aspects pour que votre organisme, ou les personnes que vous desservez, en retirent un bénéfice maximum. Elle porte avant tout sur la recherche communautaire, qui représente le plus grand potentiel d’implication et de réponse à des besoins concrets qui émergent de vos pratiques quotidiennes. D’autres types de recherche [...] peuvent également être évalués à l’aide des différents éléments présentés dans cette brochure ». [Portion du résumé original]
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« Cet article propose d’évaluer les bienfaits et les inconvénients d’une démarche d’enquête participative. Il s’appuie sur le compte rendu d’une recherche par questionnaire auprès de familles sans logement. En cours de construction de l’enquête, des personnes anciennement dans cette situation ont rejoint l’équipe de recherche et contribué à l’élaboration comme à la passation du questionnaire. Cette expérience suggère que des recherches classiques pourraient avoir avantage à mettre en oeuvre des démarches participatives pour enrichir la connaissance scientifique » [Résumé original]