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Feminism was not born in 1968. Yet the work of three centuries of feminist thinkers has been dismissed, distorted or forgotten. Even the names of many of them remain unfamiliar, and few have so much as a mention in history books. Feminist Theorists demonstrates once and for all that we can no longer be content with received ideas about 'progress', which may explain the world for men, but which fail to make sense of the historical experience of women. It shows too that contemporary women have a rich intellectual tradition on which to draw for stimulus, inspiration and enjoyment.
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Les contributrices abordent les problèmes du mouvement international des femmes, tels que la résolution des conflits; la violence; zones de libre-échange ; l'environnement; culture et identité nationale; santé; les média; droits humains; et l'emploi, en mettant l'accent sur la situation des femmes dans toutes les régions du monde. Destiné aux étudiants en études féministes, en sciences politiques et en études du développement
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Ce volume présente un débat entre quatre des plus grandes théoriciennes féministes des États-Unis. Seyla Benhabib, Judith Butler, Drucilla Cornell et Nancy Fraser discutent de certaines des questions clés auxquelles la théorie féministe est confrontée. Chacune articule sa propre position dans un essai initial, puis répond aux autres dans un essai de suivi, rendant possible une conversation entre ces penseuses féministes influentes. Commencé comme un symposium sur la question du féminisme et du postmodernisme, le volume s'est transformé en une discussion sur des questions plus larges telles que l'utilité du postmodernisme en tant que concept théorique; le rôle de la philosophie dans la critique sociale ; comment le récit historique est le mieux conceptualisé ; le statut du sujet du féminisme ; et les effets politiques des différentes formulations de toutes ces questions.
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Voici la première histoire de l'amour entre les femmes qui, sur cinq siècles, de la Renaissance à nos jours, tienne compte à la fois du regard extérieur des hommes et de l'approche des lesbiennes elles-mêmes. Pour la première fois, aussi, une analyse à long terme est proposée qui dégage une évolution des moeurs, des mentalités et de la place des femmes dans la société. Jusqu'à présent, en effet, l'histoire des femmes occultait l'amour entre femmes, alors que les lesbiennes ont joué un rôle prépondérant dans les mouvements progressistes politiques et artistiques. Unique en son genre par son érudition, son approche pluridisciplinaire, ses mises en perspective originales et la période considérée, cet essai s'impose déjà comme un ouvrage de référence.
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Taboo looks at the ethnographer and sexuality in anthropological fieldwork and considers the many roles that sexuality plays in the anthropological production of knowledge and texts. How does the sexual identity that anthropologists have in their "home" society affect the kind of sexuality they are allowed to express in other cultures? How is the anthropologists' sexuality perceived by the people with whom he or she does research? How common is sexual violence and intimidation in the field and why is its existence virtually unmentioned in anthropology? These are but a few of the questions to be confronted, exploring from differing perspectives the depth of the influence this tabooed topic has on the entire practice and production of anthropology. A long-overdue text for all students and lecturers of anthropology, many post-fieldwork readers will find a resonance of issues they have previously faced (or tried to avoid) and those who are still to undertake fieldwork will find articles that refer to other kinds of personal and professional experience as well as providing invaluable preparations for coping in the field.other kinds of personal and professional experience as well as providing invaluable preparations for coping in the field.other kinds of personal and professional experience as well as providing invaluable preparations for coping in the field.other kinds of personal and professional experience as well as providing invaluable preparations for coping in the field.
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Nomadic Subjects plaide pour un nouveau type de pensée philosophique, qui inclurait les idées du féminisme et abandonnerait le mode hégémonique qui est conventionnellement adopté dans la haute théorie. La prose personnelle, surprenante et vivante de Braidotti insiste sur une intégration du féminisme dans le discours dominant. Les essais explorent les problèmes qui sont au cœur des débats féministes actuels, y compris la relation de l'épistémologie occidentale à la «question de la femme», le féminisme et l'éthique biomédicale, le féminisme européen et la façon dont les féministes américaines pourraient se rapporter aux mouvements européens.
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Les idéaux féministes d'égalité formulés au cours des années 1970 et 1980 sont aujourd'hui confrontés à des discours divers qui pénètrent les groupes de femmes. D'une part, la vision des technocrates les incite à accepter des fonctions instrumentales en retour d'un financement considéré essentiel par plusieurs. La majorité des groupes en sont ainsi venus à offrir des services qui se situent dans le prolongement de ceux offerts par le réseau de la santé et des services sociaux. À travers ces ajustements, les groupes de femmes ne se définissent plus seulement comme des lieux de conscientisation et de résistance, mais bien comme des groupes communautaires travaillant, de concert avec d'autres groupes communautaires, à l'amélioration du bien-être collectif. Les discours savants portant sur le féminisme, sur les conditions de sa mise en oeuvre ou sur le rapport entre l'État et le communautaire rejoignent eux aussi les militantes et affectent de façons diverses le portrait qu'elles tracent de leurs pratiques. C'est cet ensemble complexe dans lequel des rapports de force se nouent quotidiennement que nous voulons décrire et analyser ici.
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Plus de 350 chroniques et illustrations, couvrant l’histoire de Montréal depuis sa fondation, répertoriant des réalisations dans tous les secteurs d’activités, des synthèses et des repères chronologiques précieux sous la plume alerte de plus de 150 collaboratrices: journalistes, historiennes, militantes féministes, chercheures, étudiantes, écrivaines…
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Lesbians played a role in all phases of Grove development, albeit that of a minority in number and, usually, in terms of power and recognition. Newton devotes two chapters (of eleven) exclusively to lesbians, and this seems adequately proportional to the lesbian presence in the decades she covers. Importantly, the differences for women between the two eras -- 1930s to 1960 and 1960 to 1980 -- appear to be determined by class and ethnicity rather than by gender. In the earlier period, says Newton, the gay "girls" or "ladies" (Grovers' terms) "were an elite, privileged group who faced relatively little cultural exclusion or discrimination from their male peers" (204); and, she reminds us, in both eras "whatever problems 'girls' had with 'boys,' physical safety was not one of them" (204). Although they never completely shared in the camp sensibility, and not at all in the public sex of the "Meat Rack," then, Grove lesbians were on an even footing (except in numbers) as long as they were white, Protestant, moneyed, artistic/theatrical, and devoted to the "fun" ethos of the settlement (indeed, "party" meant costumes and drinking, never politics). At the opposite end of New York State from Buffalo is Cherry Grove, a gay community as different from that treated in Boots of Leather as the geography symbolizes. As Esther Newton describes it in Cherry Grove, Fire Island, it could be a typical "all-American" postwar town -- dominated by the sensibilities of elite WASP males benefiting from the prosperity of the 1950s and 1960s, and hostile at times to those perceived as outsiders (by race, gender, ethnicity) or interlopers (day-trippers, pretentious Pines neighbors). The crucial exception, of course, is that the elitist WASP men (and some women) who built the town were gay. For these reasons, my reactions divided according to my dual identity. As a historian, I found this book superb in every way: it is an engaging narrative of six decades of the area's development textured with insightful commentary on the larger context of American life and questions regarding how and why Cherry Grove originated and endured. However, the lesbian reader in me, although agreeing that the presentation is wonderful (it is actually more fluid and readable than Boots of Leather), reacted to the sexism, racism, anti-Semitism, and classism that have characterized this community at various stages of its existence, and especially to the community's dismissal of women. As Newton herself summarizes in a passage concerning the "invasion" of the neighboring Pines community, "Whatever the Queen's function -- selling tickets to a play or blessing the bathers -- she also is the Grove, its key symbol and core representation" (269; italics in the original); and she adds in the accompanying endnote, "The normal processes of Grove action and narration tend to marginalize or even erase women" (345, n.7)
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Dans Chloe Plus Olivia, Lillian Faderman ne cherche rien de moins à redéfinir radicalement quatre siècles de littérature lesbienne, répondant à un besoin longtemps négligé : une anthologie littéraire d'écrivains lesbiens des quatre derniers siècles, chaque pièce étant située dans un contexte historique et littéraire. Cet ouvrage de recherche historique propose une revue éclairante du concept changeant de « littérature lesbienne », suivi d'exemples de six genres différents : l'amitié romantique, l'inversion sexuelle, les lesbiennes exotiques et maléfiques, l'encodage lesbien, le féminisme lesbien et le féminisme post-lesbien. Faderman examine des œuvres aussi diverses que My Antonia de Willa Cather et Orlando de Virginia Woolf ; poésie de Gertrude Stein et Amy Lowell ; fiction de Carson McCullers, Helen Hull et Alice Walker. De plus, Chloe Plus Olivia contient des écrits d'hommes axés sur les relations entre femmes. Ces écrits sont inclus dans la première section du livre et ont été, à divers égards, importants pour le développement de la littérature lesbienne, puisque les hommes étaient beaucoup plus susceptibles que les femmes d'être publiés au cours des autres siècles. Il serait impossible d’identifier une seule « grande tradition » d’écriture lesbienne, car elle est en constante métamorphose, reflétant l’évolution des attitudes sociales et des voix des femmes. Chloe Plus Olivia , avec sa portée historique renforcée par la recherche personnelle de Faderman pour une définition de la littérature lesbienne, en fait le premier livre du genre ; il deviendra certainement le point de référence à partir duquel partiront toutes les études ultérieures sur la littérature lesbienne.
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This collection of essays explores the significant agreements and tensions between contemporary feminist and postmodern theories and practices. Having brought enormous changes to conceptions of the body, identity, and the media, postmodernity compels the rethinking of many feminist categories, including female experience, the self, and the notion that "the personal is political." Feminist analysis has been equally important, though not always equally acknowledged, as a force within postmodernism. Feminist writings on subjectivity, master narratives, and the socioeconomic underpinnings of the master narrative of theory itself have been particularly influential. This volume traces the crossings and mutual interrogations of these two traditions into the arenas of cultural production, legal discourse, and philosophical thought. Multidisciplinary and international in their collective focus, the essays range from a study of Madonna as an Italian American woman who is revising the cultural meanings of an ethnic feminism to a unique interview with Mairead Keane, the national head of the Women’s Department of the Irish political party Sinn Fein. Turning the prism of postmodern feminism onto such diverse cultural objects as literary and literary critical texts, contemporary film, and music, these essays intervene in debates regarding technology, sexuality, and politics. Challenging modern feminisms to articulate their inescapable relation to postmodern society, this expanded edition of a special issue of boundary 2 also explores ways in which feminism can work as the cutting edge of a global postmodernism. Contributors. Salwa Bakr, Claire Detels, Margaret Ferguson, Carla Freccero, Marjorie Garber, Barbara Harlow, Laura E. Lyons, Anne McClintock, Toril Moi, Linda Nicholson, Mary Poovey, Andrew Ross, David Simpson, Kathyrn Bond Stockton, Jennifer Wicke
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The Women's Arts Society of Montreal was founded in 1894 by Mary Martha Phillips and Mrs. James H. Peck (nee Mary Alice Skelton). The parent body of the Society (The Women's Art Association of Canada) was incorporated in Toronto in 1892. The goal of the Montreal Society was to integrate women into the art world at a time in history when women had few rights and were relegated to other roles. In 1907, the Montreal branch of the Women's Art Association of Canada broke away from the Toronto organization to form their own independent society. During and after the First World War, the Women's Arts Society of Montreal focussed on philanthropic efforts, assisting disabled and convalescing veterans and their families. After 1938, the Society’s efforts shifted towards entertainment and other branches of the arts, such as theatre, music and studio art. In the late 1990s the Society began to accept men as members.
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In this innovative book, a well-known feminist and sociologist challenges our most basic assumptions about gender. Judith Lorber argues that gender is wholly a product of socialization, subject to human agency, organization, and interpretation, and that it is a social institution comparable to the economy, the family, and necessity of gender, she envisions a society structured for equality, where no gender, racial, ethnic, or social class group is allowed to monopolize positions of power.
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Il s'agit de la première collection de théoriciennes féministes influentes à se concentrer sur le cœur de l'épistémologie traditionnelle, traitant de questions telles que la nature des connaissances et l'objectivité dans une perspective de genre.
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Commencée fin 1987, « L’histoire des femmes en Occident » vient de s’achever. Ce travail collectif international d’une grande ampleur - 5 volumes, 3 000 pages écrites par 72 auteurs - constitue à ce jour l’effort le plus achevé pour affirmer la légitimité d’un champ de recherche : l’approche sexuée de l’histoire de nos sociétés. Publiée en 9 langues, cette entreprise a suscité aussitôt un immense intérêt, signe incontestable d’une demande sociale forte. Mais cette approche historique pose beaucoup de questions : sur la pertinence de la chronologie classique, sur la notion d’Occident et son étroitesse, sur la validité des sources, sur la fonction des images, sur la difficulté à saisir autre chose qu’une représentation construite majoritairement par les hommes, sur le consentement des femmes à leur rôle, sur la notion de pouvoirs, sur celle de progrès... Prolongement critique de « L’histoire des femmes en Occident », le colloque « Femmes et Histoire » est la manifestation d’une réflexion ouverte et actuelle qui ne demande qu’à se poursuivre.