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Résultats 6 ressources
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« La Boîte à outils des principes de la recherche en contexte autochtone s’adresse à tous ceux qui souhaitent apprendre ou approfondir leurs connaissances dans le domaine de la recherche en contexte autochtone. La Boîte à outils vise à rassembler et à mettre à la disposition de tous des outils existants (questionnaires d’évaluation, formulaires de consentement, réflexions sur le sujet de l’éthique et de la collaboration, vidéos explicatives, etc.) qui peuvent s’avérer utiles dans l’élaboration d’une recherche collaborative à la fois éthique, respectueuse, équitable et réciproque » [Résumé tiré de : https://observatoire-ia.ulaval.ca/boite-a-outils-des-principes-de-la-recherche-en-contexte-autochtone-ethique-respect-equite-reciprocite-collaboration-et-culture/]
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Conférencière : Cécile Favre, maîtresse de conférences en informatique à l'Université Lyon 2 en France depuis 2009. Elle est rattachée pour la dimension pédagogique à l’Unité de Formation et de Recherche en Anthropologie, Sociologie et Science Politique et est membre du laboratoire ERIC. Discutantes : Mélanie Millette, professeure au Département de communication sociale et publique de l'UQAM et Marie-Jean Meurs, professeure au Département d'informatique de l'UQAM
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Ouvrage majeur de Paulo Freire, ce livre présente quelques aspects d'une pédagogie élaborée non seulement pour les opprimés, mais avec eux, et dans le cadre même de leur lutte perpétuelle pour affirmer leur humanité. A l'image d'autres grands pédagogues, en premier lieu Célestin Freinet, Freire rappelle que projet éducatif et projet social sont indissociables. Selon lui, le but de l'éducateur est de donner aux opprimés les moyens de construire une conscience claire de leur position, et de rechercher avec eux les moyens de transformer le monde. Écrit en 1968 au Chili, ce texte irrigue encore aujourd'hui la pensée de la pédagogie critique partout dans le monde.
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Bien qu’il y ait un intérêt grandissant dans la recherche en sciences sociales sur la réalité des personnes migrantes marginalisées, telle que celles appartenant à la population LGBTQ+, on dispose de très peu d’études dans la littérature québécoise sur les meilleures stratégies d’implication des personnes concernées dans la construction des savoirs. Cet article vise à contribuer à la diffusion de la connaissance empirique et autoréflexive sur l’inclusion des personnes LGBTQ+ migrantes dans les espaces de délibération et de co-construction des savoirs. Pour ce faire, plusieurs pistes sont proposées pour dépasser les limites systémiques ainsi que résoudre les défis méthodologiques et éthiques liés à l’inclusion des personnes LGBTQ+ migrantes au sein des espaces de réflexion et de construction des connaissances autour des enjeux qui les concernent directement. D’un point de vue empirique, notre démarche s’appuie sur l’autoreflexivité de différents acteurs et actrices concernés (membres soutenus, membres du conseil d’administration, membres de l’équipe de soutien et employés) dans une recherche communautaire menée en collaboration avec l’organisme communautaire AGIR (Action LGBTQ avec les immigrant.e.s et les réfugié.e.s).
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« Offert dans le cadre de la série d'ateliers « enjeux de la recherche », organisée conjointement par le Service aux collectivités (SAC), le Service de la recherche et de la création (SRC) et le Service des partenariats et du soutien à l'innovation (SePSI) de l'UQAM, cette présentation aborde les dimensions à prendre en considération lors du développement d’une proposition de recherche ou de formation en partenariat avec des groupes sociaux. Elle traite des distinctions entre recherche-action participative et formation-accompagnement et des différences entre consultation et co-construction en contexte partenarial » [Résumé original]
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Présentation dans le cadre du webinaire « Le cœur a ses raisons - Dimensions affectives de la recherche collaborative », organisé par la communauté de pratique « Nouvelles-Alliances pour plus de savoirs en égalité des sexes ».