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Résultats 95 ressources
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Le premier panel de YIWA (Young Indigenous Women Action) sera animé par la fondatrice, Olepika Takpanie Kiguktak, et donnera la parole à quatre femmes autochtones impliquées à travers le Québec : Olivia Lya Thomassie, Uapukun Mestokosho, Maïtée Labrecque Saganash et Laura Fontaine. Elles aborderont des sujets qui sont importants pour elles comme leurs territoires, leurs identités, leurs luttes quotidiennes, leurs parcours inspirants et leurs motivations.
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Depuis une dizaine d’années, un nombre croissant d’articles et d’ouvrages publiés étudient des objets d’études en lien avec les recherches migratoires et les rapports sociaux de race. Parmi les articles qui se situent à l’intersection de ces deux domaines d’études, certainEs auteurICEs ont décidé d’explorer le versant dominant des rapports sociaux de race dans le contexte migratoire : ce qu’on nomme la blanchité. C’est l’ensemble de ces articles qui est étudié dans cette revue critique de littérature. L’angle de la blanchité dans les études migratoires permet de traiter un ensemble d’objets d’études recensés dans cette revue critique de littérature qui enrichissent aussi bien les Whiteness Studies que les études migratoires. Cette revue permet, entre autres, d’approfondir notre compréhension des mécanismes de racialisation, d’exclusion et d’inclusion de certaines populations migrantes dans des contextes géographiques spécifiques, de renseigner les logiques de constitution et de permanence des privilèges coloniaux à travers les processus migratoires, d’observer les processus de construction des identités blanches en fonction des contextes géographiques, et de considérer l’hétérogénéité de cette identité raciale. MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : études critique de la race, études de la blanchité, Whiteness Studies, racialisation, identités blanches, migrations, privilèges, domination.
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Ce guide vise à aider les féministes et les organisations féministes à bâtir des relations et la collaboration. Cette ressource a été façonnée par les discussions que CRIAW-ICREF a tenues avec 34 organisations de femmes à travers le pays sur ce à quoi ressemble la solidarité féministe intersectionnelle en pratique. Basé fermement dans un cadre féministe intersectionnel, le guide aborde la signification et l’importance de la solidarité féministe intersectionnelle et fournit des stratégies tangibles pour construire des relations significatives et collaboratives en s’attaquant aux inégalités systémiques et individuelles. [...] Des questions d’orientation et des exemples d’actions collaboratives pour aborder les obstacles auxquels nous confrontons actuellement à un niveau individuel, organisationnel et du mouvement sont inclus dans le guide. [Portions du résumé original]
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Depuis quelques années, le domaine de la sexologie semble effectuer un changement de paradigme et des recherches commencent désormais à s’intéresser à l’expérience du plaisir à travers le corps, un sujet qui a longtemps été oublié par notre discipline. C’est dans ce changement de paradigme que s’inscrit cette recherche sur l’expérience du plaisir en position de Domination dans les interactions D/s consensuelles réalisée en collaboration avec des membres de la communauté BDSM de Montréal. Des huit entrevues semi-dirigées réalisées grâce à l’analyse phénoménologique interprétative (IPA), il est ressorti que l’expérience du plaisir en position de Domination est un phénomène intersubjectif fondé sur le consentement, la connexion et la communication entre les partenaires de jeu. De plus, les données récoltées à l’aide de schémas corporels non genrés ont non seulement permis de transformer le ressenti des participant.e.s en langage, mais font également ressortir que l’expérience du plaisir dans cet érotisme est multisensorielle, comporte des sensations de plaisir qui ont des manifestations multiples à travers la globalité du corps et qu’elles ne sont pas uniquement génitales ou découlant d’un plaisir sexuel. En bref, il ressort que l’expérience du plaisir en position de Domination en soi une fondée sur la mutualité dans le lien à l’autre. _____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : BDSM, plaisir, érotisme, domination, phénoménologie
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In this collection, scholars and practitioners reflect on the most appropriate interventions to create a more inclusive labour market for all. They explore the economic case for diversity and diversity management strategies, finding that diversity and inclusion must go hand in hand. The book also sheds light on the policy dilemma between respecting individuals and countering structural inequalities, which often requires categorization into groups. The authors remind us that there is diversity within diversity: not everyone receiving the same label has the same needs. The book covers a range of issues including gender equality and mainstreaming, migration and ethnic diversity, racism, violence against LGBTI people and age discrimination. It is thus a rich source of inspiration for anyone wishing to move towards greater justice in the labour market.
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"Jeymes Samuel isn’t much more imaginative than white Hollywood writers and directors. He can’t imagine Stagecoach Mary looking how she did- a beautiful fat, tall, dark-skinned Black woman- and being desired. His casting choices may reflect his *gendered* colorist biases. He hand-picked dark-skinned, monoracial Black actors to play the big, strong, and tough cowboys, despite most of the real-life male characters being fair-complected and mixed-raced. The first person he chose to be Stagecoach Mary was Erykah Badu, a light-brown skinned, thin, and green-eyed Black woman in his 2013 short film They Die by Dawn. He recently chose Zazie Beatz, a light-skinned biracial actress, to play Stagecoach Mary. This infographic essay explores what could have informed these decisions. Light skinned and biracial actresses also have a responsibility to turn down these roles (see slide 9). Don't forget to support me (last slide) if you're able to! #colorism #stagecoachmary #zaziebeetz #thehardertheyfall #jeymesamuel #explorepage #explorepage"
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Conférence / table ronde dans le cours FEM300A tenue le 27 février 2021 dans le cadre du mois de l’histoire des noir.e.s.
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Purple Hibiscus (2003) et Sky-High Flames (2005), premiers romans appartenant au genre du Bildungsroman des écrivaines nigérianes-igbo de la troisième génération Chimamanda Ngozi Adichie et Unoma Azuah, entrent en résonance avec Efuru (1966) de l’autrice nigériane-igbo Flora Nwapa. En ce début de xxie siècle, cette dernière demeure une figure littéraire tutélaire pour les écrivaines contemporaines qui s’y réfèrent plus ou moins implicitement. Adichie et Azuah, ouvertement féministes, dialoguent avec leur prédécesseure, laquelle occupait une position ambivalente vis-à-vis du féminisme, à l’instar de quelques-unes de ses contemporaines sur le continent. Réponse féminine, voire féministe à Things Fall Apart (1958) de Chinua Achebe, Efuru a permis le passage des femmes depuis les marges vers le centre de la narration et des considérations littéraires, ce qui a contribué à ce que les écrivaines actuelles – dont Adichie et Azuah – décrivent à leur tour des processus de construction identitaire féminins dans la société patriarcale nigériane-igbo.
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Le présent volume porte sur les philosophies féministes de ces cinquante dernières années, dont la richesse et l'engagement en font l'un des champs les plus novatrices de la recherche philosophique actuelle : le féminisme marxiste, le féminisme « post-moderne » et la théorie queer, l'épistémologie, l'éthique féministes, l'histoire et la philosophie féministes des sciences, le black feminism et l'intersectionnalité. L'ensemble de ces pensées constitue un vaste corpus riche d'outils critiques pour réfléchir à de nouveaux frais sur de nombreux enjeux de la philosophie mais aussi pour éclairer les débats contemporains sur le genre et la sexualité, la matérialité des rapports de pouvoir comme leur articulation et leur représentation dans la modernité, les violences sexuelles et le sexisme.
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Séminaire présenté par le Protocole UQAM/Relais-femmes et l’IREF, 27 janvier 2021. Trois équipes/projets de recherche y ont été présentés : « Visibilité et identité de genre : étude des chaînes YouTube LGBTQIA+ au Canada »; Mélanie Millette et Anaïs Maillard « Représentation des femmes en politique municipale »; Caroline Bouchard, Caterine Bourassa-Dansereau, Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM)
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Ce mémoire en science politique a pour objectif de déterminer si certains humoristes réagissent selon la logique d’un backlash antiféministe lorsqu’ils sont visés par des critiques qui remettent en question la normalisation de l’humour sexiste dans l’industrie humoristique québécoise. Pour ce faire, nous analysons les controverses opposant les personnes suivantes : Guillaume Wagner et Marie-Élaine Thibert (2012), Jean-François Mercier et Le Détesteur (2015) puis finalement, Guy Nantel et Alice Paquet (2017). Nous procédons en trois temps afin d’identifier (1) si des structures de pouvoir avantagent les hommes humoristes leur permettant alors de rester dominants dans l’industrie et de normaliser l’humour sexiste, (2) si les critiques visant les trois humoristes viennent remettre en question le statu quo et finalement (3) si leur réponse aux critiques mobilise des tactiques de backlash antiféministe. Le premier aspect est démontré à l’aide d’une revue de littérature sur le pouvoir des hommes humoristes. Ensuite, les controverses font l’objet d’une analyse contextuelle (personnel, sociopolitique et de réception), afin de décrire les circonstances dans lesquelles elles s’inscrivent (Dufort, 2018, p. 107). L’analyse contextuelle nous permet également d’expliciter comment les critiques à l’égard des humoristes viennent remettre en question le statu quo qui les avantage. Enfin, nous présentons l’analyse de discours de leur réponse aux critiques du sexisme de l’humour, opérationnalisée via quatre grilles de lecture construites à partir des tactiques de résistance et de backlash à l’égalité de genre (Flood et al., 2020), des réactions coercitives (Mansbridge et Shames, 2012), des logiques réactionnaires (Hirschman, 1991) et finalement des éléments de l’antiféminisme « ordinaire » (Descarries, 2005). Nous démontrons que les humoristes réagissent selon la logique du backlash antiféministe, mais que l’intensité n’est pas la même dans les trois controverses à l’étude ; contrairement à Guillaume Wagner, Guy Nantel et Jean-François Mercier réagissent plus fortement à la contestation de leur humour sexiste. Ils ridiculisent les agent·es du changement et articulent un discours qui met en opposition la liberté d’expression et les critiques féministes/proféministes. _____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : antiféminisme, analyse de discours, backlash, controverse, études sur l’humour, Québec, rhétorique réactionnaire, stand-up
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Cet article a pour objectif d’évaluer la portée descriptive de la notion de « triangle de velours » pour comprendre la réussite de certaines collaborations féministes avec l’État québécois. La notion de triangle de velours a été élaborée par Alison Woodward en 2003 avec la volonté de rendre compte des alliances établies entre les féministes de la base, les expertes universitaires et les féministes dans les appareils d’État afin d’incorporer les luttes pour l’égalité dans les politiques publiques. Cette notion sera mise à profit dans le contexte québécois pour rendre compte de la complexité et de l’étendue des alliances parmi les féministes dans cadre des luttes pour la liberté d’avortement et l’équité salariale. Les matériaux principaux de notre analyse sont des entretiens semi-dirigés portant sur les récits de féministes militantes engagées dans ces luttes au Québec.
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ONU Femmes a mis en œuvre une réponse rapide et ciblée visant à atténuer l’incidence de la crise du COVID-19 sur les femmes et les filles et à garantir qu’elles bénéficient des mesures de relèvement à long terme.La réponse d’ONU Femmes au COVID-19 comprend des conseils en matière de politique à suivre ainsi que des interventions, et elle s’inscrit dans le cadre d’un programme plus large mené à l’échelle des Nations Unies.
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Regards sur l’éducation est le rapport de référence sur l’état de l’éducation dans le monde. Ce rapport étudie la structure, le financement et la performance des systèmes d’éducation des pays de l’OCDE et d’un certain nombre de pays partenaires. Avec plus d’une centaine de tableaux et graphiques – et de nombreux liens vers la base de données de l’OCDE sur l’éducation – Regards sur l’éducation foisonne d’informations sur les résultats des établissements d’enseignement ; l’impact de l’apprentissage ; l’accès à l’éducation, les taux de scolarisation et les parcours scolaires ; les investissements dans l’éducation ; et les enseignants, l’environnement d’apprentissage et l’organisation de l’enseignement. L’édition 2021 s’intéresse à la question de l’équité : elle étudie dans quelle mesure le sexe, le milieu socio-économique, le pays d’origine ou encore la situation géographique influencent le parcours éducatif des élèves et étudiants, et ont un impact sur les résultats en termes d’apprentissage et d’emploi. Un chapitre spécifique est consacré à la cible 4.5 de l’objectif de développement durable 4 sur l’équité dans l’éducation. Il situe les pays membres et partenaires de l’OCDE par rapport aux objectifs en matière d’égalité d’accès à une éducation de qualité à tous les niveaux d’enseignement. Deux nouveaux indicateurs sur les mécanismes et les formules utilisés pour allouer les fonds publics aux établissements et sur le taux d’attrition des enseignant.e.s complètent l’édition 2021.
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« Regard historique de quelques expériences de recherche », par Manon Monastesse, directrice de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes. Présentation dans le cadre du webinaire « Recherche partenariale en violence : les hauts et les bas d’une perspective féministe », organisé par la communauté de pratique « Nouvelles-Alliances pour plus de savoirs en égalité des sexes ».
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Présentation dans le cadre du webinaire organisé par la communauté de pratique Nouvelles Alliances pour plus de savoirs en égalité des sexes. Julie Raby, coordonnatrice de projets à Relais-femmes, présentait "Nouvelles alliances : une expérience audacieuse pour soutenir les collaborations universités-communautés". Viviane Doré-Nadeau, directrice de ConcertAction femmes Estrie (CAFE : www.concertactionfemmesestrie.org/)présentait "La mobilisation des féministes".
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Lyne Kurtzman est responsable du Protocole UQAM/Relais-femmes, Service aux collectivités de l’UQAM et Josiane Maheu est coordonnatrice de projets à Relais-femmes. « Processus de recherche collaborative : les moments propices aux désaccords et le travail de liaison » Présentation dans le cadre du webinaire « Le cœur a ses raisons - Dimensions affectives de la recherche collaborative », organisé par la communauté de pratique « Nouvelles-Alliances pour plus de savoirs en égalité des sexes ».
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Ce mémoire dresse un portrait collectif de l’itinérance de jeunes femmes au centre-ville de Montréal selon une perspective féministe intersectionnelle. S’inscrivant dans une méthodologie qualitative et féministe, celui-ci se penche sur les stratégies de survie employées par de jeunes femmes itinérantes. Ces stratégies répondent à plusieurs formes de violences invisibles également documentées au sein de cette recherche. C’est à l’aide d’un portrait collectif fait à partir de focus groupes et d’observation participante que cette problématique est adressée. Cette recherche s’est effectuée en collaboration avec l’organisme En Marge 12-17 où le recrutement de cinq jeunes femmes a eu lieu. Les résultats semblent indiquer que les jeunes femmes en situation d’itinérance déploient de multiples stratégies de survie, dont celle de la création d’un réseau social d’entraide. D’autres stratégies de survie ont également été abordées par les participantes comme l’utilisation des ressources communautaires, demeurer éveiller pendant la nuit afin de rester en sécurité, l’utilisation de leur position de femmes, etc. Ces stratégies se sont présentées comme une réponse aux violences invisibles vécues par ces jeunes femmes. L’expérience de l’itinérance et des rapports de pouvoir qui en découlent serait donc teintée de violences invisibles (violence structurelle, violence normalisée et violence symbolique) qui varient selon le genre et l’âge ainsi que selon d’autres catégories d’appartenance. Les jeunes femmes du milieu de la rue vivraient d’ailleurs une expérience spécifique et paradoxale des espaces publics urbains où elles peuvent être considérées comme des objets. À travers les résultats, les participantes expriment aussi une responsabilisation de leur situation, révélant des valeurs du néolibéralisme globalisé. C’est donc dans la mise en lumière des multiples stratégies de survie que cette recherche documente les nombreuses violences invisibles qui s’incorporent dans le parcours de ces jeunes femmes en situation d’itinérance à Montréal. Un portrait collectif de jeunes femmes qui font tout en leur pouvoir pour assurer leur survie, leur sécurité, mais aussi pour vivre. _____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Stratégies de survie, itinérance, jeunes femmes, jeunes femmes en situation d’itinérance, violences invisibles, intersectionnalité, focus groupe, réseau social, collectivisme.