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Résultats 55 ressources
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L’organisme Relais-femmes est passé de la formation à un accompagnement-formation qui se détache nettement des pratiques traditionnelles de formation et de transmission unilatérale des connaissances. Ce modèle novateur, qui suppose un dialogue constructif entre les parties en présence pour coproduire des connaissances et qui réserve une place importante à l’autoévaluation comme exercice de mise à distance, est présenté dans cet ouvrage. Sept conditions incontournables forgent la démarche d’accompagnement-formation : 1. une approche féministe ; 2. des changements de pratiques par des remises en question ; 3. une pratique réflexive-interactive approfondie ; 4. une mise à distance pour éviter les biais engendrés par les émotions ; 5. la coconstruction et l’intégration d’une posture de collaboration professionnelle ; 6. l’équité et la cohérence entre paroles et actions ; 7. des traces écrites nécessaires à l’évaluation de l’évolution. La lecture de cet ouvrage contribue à l’appropriation de ces incontournables, appropriation qui ne peut se passer de discussions entre collègues, d’expérimentations et de retours sur les actions. L’ouvrage permet de constater la richesse des retombées de l’accompagnement-formation, qui permet d’accroître la capacité d’action des groupes et leur autonomie dans la sélection et la coproduction de connaissances utiles à leur pratique collective, qui met en valeur la contribution des connaissances des unes et des autres que permet une dynamique réflexive-interactive et qui fait ressortir l’importance du travail en collégialité vers des objectifs partagés.
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La capsule vidéo "Accueillir la diversité de genre en contextes pédagogique et professionnel" aborde les bonnes pratiques d'accueil (1:29), d'enseignement (6:18) et de recherche (10:42) qui favorisent le bien-être et la réussite des personnes trans, non binaires et queers à l'université.
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« Conçu dans une perspective de soutien à l’action, le présent document présente d’abord un survol des connaissances sur le transfert des connaissances dans le domaine de la santé. Ce bilan des connaissances s’appuie sur la littérature pour identifier les principales composantes à considérer pour la mise en œuvre de pratiques plus structurées de transfert des connaissances. Une synthèse et une conceptualisation dynamique et intégrée du processus de transfert est présentée à la section suivante. En annexe, on retrouve un outil pour animer un processus de transfert des connaissances et un aide-mémoire résumant en un coup d’œil le contenu de la présente publication. Bien qu’il ait été élaboré à l’intention des acteurs de santé publique, ce document peut s’appliquer à divers contextes. Il s’adresse donc à un vaste public de gestionnaires, décideurs, intervenants, responsables de politiques publiques, œuvrant dans des sphères d’activités variées, ainsi qu’à des professionnels agissant comme agents de liaison, agents de transfert des connaissances, chercheurs ou courtiers de connaissances dans leur milieu (p. 3)
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"Pour les Afro-Américain.e.s, enseigner - éduquer - était fondamentalement politique, parce qu'ancré dans la lutte antiraciste. Ainsi, les écoles élémentaires que je fréquentais, réservées aux Noir.e.s, devinrent les lieux où je découvrais l'apprentissage comme une révolution. Bien qu'iels n'aient jamais défini ou énoncé ces pratiques en termes théoriques, nos enseignant.e.s pratiquaient une pédagogie révolutionnaire de résistance, profondément anticoloniale." C'est par ces lignes que s'ouvre ce livre, dont l'écriture à la fois intime et politique de bell hooks court de la première à la dernière page. Recueil de textes incisifs à la croisée de l'autobiographie et de la réflexion théorique sur la pensée de Paulo Freire, le racisme, le sexisme et le rôle du système éducatif dans la reproduction de l'ordre dominant, ce livre est une introduction à la pédagogie de l'émancipation défendue par l'une des grandes voix du féminisme afro-américain."-- Quatrième de couverture.
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« Les critères auxquels on peut se référer pour juger de la qualité et de la rigueur d’une recherche varient selon la posture épistémologique des chercheurs. Alors que la recherche positiviste s’appuie sur des critères de validité scientifique et que la recherche interprétative est soutenue par des critères méthodologiques et relationnels, qu’en est-il de modèles de recherche comme la recherche-action? Cet article vise d’abord à rappeler les critères de rigueur de la recherche interprétative, à faire ressortir les critères qui s’appliquent spécifiquement à la recherche-action et, enfin, à proposer des moyens pour satisfaire à chacun de ces critères » [Résumé original]
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« Le guide est le fruit d’une démarche méthodologique de Croisement de savoirs de 2020 à 2022. L’objectif de cette ressource est de contribuer à la compréhension des dynamiques à l’œuvre et favoriser la viabilité de la gouvernance partagée en identifiant des pratiques gagnantes à mettre en place. Vous y retrouverez des définitions, une méthodologie pour la mise en place d’une recherche-action participative et les retours des acteurs y ayant participé, notamment les apprentissages, les défis rencontrés et les solutions mises en place pour les pallier » [Portion du résumé original]
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« Ce document présente différents outils pour développer un projet concerté dans un approche ADS+. Il est particulièrement pertinent pour les urbanistes souhaitant adopter des perspectives participatives » [Résumé équipe ORPCC]
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« La Boîte à outils des principes de la recherche en contexte autochtone s’adresse à tous ceux qui souhaitent apprendre ou approfondir leurs connaissances dans le domaine de la recherche en contexte autochtone. La Boîte à outils vise à rassembler et à mettre à la disposition de tous des outils existants (questionnaires d’évaluation, formulaires de consentement, réflexions sur le sujet de l’éthique et de la collaboration, vidéos explicatives, etc.) qui peuvent s’avérer utiles dans l’élaboration d’une recherche collaborative à la fois éthique, respectueuse, équitable et réciproque » [Résumé tiré de : https://observatoire-ia.ulaval.ca/boite-a-outils-des-principes-de-la-recherche-en-contexte-autochtone-ethique-respect-equite-reciprocite-collaboration-et-culture/]
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« Cet outil s’appuie sur les réflexions et les pratiques expérimentées au sein des mobilisations de Parole d’excluEs et sur la documentation de la mise en pratique de son approche de justice épistémique. La boussole de la justice épistémique vise à outiller tout groupe souhaitant réfléchir à la place des différents savoirs dans son action et ses pratiques. Elle propose d’explorer des pistes pour augmenter la diversité des savoirs et des acteurs·trices au sein de nos collectifs. Cet outil a pour vocation de renforcer la participation de personnes et de groupes habituellement inaudibles ou invisibilisés aux actions et aux décisions qui les concernent. La justice épistémique est donc une composante essentielle de la justice sociale et de la démocratie » [Portion de la présentation de l'outil sur le site web de l'Incubateur universitaire Parole d'excluEs]
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La capsule «Rédaction féministe et inclusive» (2020) présente des méthodes inclusives pour la rédaction et l’expression orale au quotidien, et justifie l’importance de tels outils. Elle a été produite par le Carrefour pédagogique et technopédagogique de l’UQAM grâce à une subvention accordée en 2018-2019, par le Vice-rectorat aux systèmes d’information de l’UQAM, dans le cadre du programme d’aide pour l’enseignement en ligne.
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Cet outil présente des conditions nécessaires afin d'assurer un réel croisement des savoirs des universitaires et personnes en situation de pauvreté [Résumé équipe ORPCC]. « [C]es conditions ont été mises à l’épreuve au cours de formations réalisées avec des ‘universitaires ou professionnels’ (du monde de la santé, de l’enseignement, du travail social…) et des ‘personnes en situation de pauvreté’ (membres d’associations de lutte contre la misère). S’agissant de formations réciproques utilisant la méthode de croisement des savoirs et des pratiques, ces formations sont dénommées ‘co-formations’. »(p. 2)
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Cet article propose une description et une analyse de dispositifs de formation fondés sur une démarche de co-construction de savoirs entre praticiens-enseignants et chercheurs. Ces dispositifs de formation s’inscrivent dans une perspective de développement professionnel mutuel des praticiens-enseignants et des chercheurs, chacun des partenaires étant engagé dans un projet commun, la construction de savoirs (Donnay, Charlier, 2001 ; 2006). Ils sont fondés sur un processus d’enrôlement des acteurs dont nous identifions les différentes étapes et les attitudes qui le soutiennent.
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La collaboration dans un contexte de partenariat de recherche suscite un regain d'intérêt. Cependant, cette pratique de collaboration entre chercheurs et praticiens n'est pas sans enjeux relationnels importants. Ces enjeux relationnels étant réels, il devient pertinent de connaître les caractéristiques relationnelles et les conditions de collaboration entre chercheurs et praticiens. L'objet de cet article est de mettre en lumière les conditions relationnelles à considérer pour accompagner chercheurs et praticiens dans l'établissement et le maintien d'une collaboration satisfaisante et fructueuse. Il présente les résultats d'une analyse transversale basée sur les données recueillies à partir de trois études mettant en évidence les caractéristiques de la relation entre chercheurs et praticiens. De cette analyse, quatorze conditions relationnelles émergent
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Conférencière : Cécile Favre, maîtresse de conférences en informatique à l'Université Lyon 2 en France depuis 2009. Elle est rattachée pour la dimension pédagogique à l’Unité de Formation et de Recherche en Anthropologie, Sociologie et Science Politique et est membre du laboratoire ERIC. Discutantes : Mélanie Millette, professeure au Département de communication sociale et publique de l'UQAM et Marie-Jean Meurs, professeure au Département d'informatique de l'UQAM
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« After years of consultation, advising, positive and negative experiences of collaborating, and many conversations with colleagues and peers, we created this document as a starting point to reflect on how to best collaborate with Indigenous communities. In this document, you will find our perspectives, and the points of view of Indigenous collaborators on what constitutes and feels like good collaboration. To summarize, our goal is to: • Centre Indigenous perspectives on community engagement • Encourage a reflection on the motivation for soliciting Indigenous communities • Provide guidance on ways to move from reflection to action » (p. 5)
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« Ce guide propose aux personnes intéressées une introduction aux conditions nécessaires à la réalisation de projets de recherche participative. Les personnes tentées par l’expérience de ce type de recherche pourront ainsi s’approprier les conditions essentielles pour s’assurer d’un processus efficace et surtout respectueux pour toutes et tous » (p. 1)
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« L’objectif principal du guide est de présenter les outils essentiels à la mobilisation des connaissances. Grâce à ce guide, vous serez en mesure de/d’ : • Interroger votre posture au sein d’un projet de recherche et la finalité de votre travail; • Réfléchir aux conditions de réalisation d’un projet ancré dans le milieu; • Acquérir une meilleure compréhension des principes qui sous-tendent la mobilisation des connaissances, dont celui de coconstruction; • Élaborer une stratégie de recherche qui favorise le dialogue entre la science et la société; • Sélectionner et utiliser les outils et les méthodes appropriés pour un projet de mobilisation des connaissances.» [Extrait original page 6]
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« Ce guide est ainsi issu d’une collaboration entre trois chercheuses de disciplines différentes [...] ayant en commun d’utiliser un cadre méthodologique participatif dans leurs expériences de recherche. Sur la base de problématiques et de contextes socioculturels [...] diversifiés [...], les auteures ont cherché à présenter des pistes de solution pour faire face aux principaux dilemmes inhérents à l’application de ce mode de recherche sur le terrain. Cet outil de formation s’adresse principalement aux étudiantes et aux étudiants gradués souhaitant entreprendre une recherche féministe participative mais les auteures espèrent qu’il sera aussi d’intérêt pour tous celles et ceux désirant recourir à l’usage de méthodes visuelles participatives pour inclure les savoirs des filles et des femmes aux savoirs féministes » [Portion de l'ouvrage]
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Bien qu’il y ait un intérêt grandissant dans la recherche en sciences sociales sur la réalité des personnes migrantes marginalisées, telle que celles appartenant à la population LGBTQ+, on dispose de très peu d’études dans la littérature québécoise sur les meilleures stratégies d’implication des personnes concernées dans la construction des savoirs. Cet article vise à contribuer à la diffusion de la connaissance empirique et autoréflexive sur l’inclusion des personnes LGBTQ+ migrantes dans les espaces de délibération et de co-construction des savoirs. Pour ce faire, plusieurs pistes sont proposées pour dépasser les limites systémiques ainsi que résoudre les défis méthodologiques et éthiques liés à l’inclusion des personnes LGBTQ+ migrantes au sein des espaces de réflexion et de construction des connaissances autour des enjeux qui les concernent directement. D’un point de vue empirique, notre démarche s’appuie sur l’autoreflexivité de différents acteurs et actrices concernés (membres soutenus, membres du conseil d’administration, membres de l’équipe de soutien et employés) dans une recherche communautaire menée en collaboration avec l’organisme communautaire AGIR (Action LGBTQ avec les immigrant.e.s et les réfugié.e.s).