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En plaçant la personne victime au cœur du processus judiciaire, le tribunal spécialisé en matière de violence sexuelle et conjugale sera une avancée au Québec. Toutefois, les limites d’un tel dispositif dévoilent la nécessité d’enrayer les problèmes sociaux à l’origine des crimes sexuels.
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FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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Cet article dresse le portrait de cinq organisations qui militent pour l’équité en musique au Québec depuis 2017 : MTL Women in Music, Femmes* en Musique, Lotus collective MTL Coop, shesaid.so MTL et le réseau DIG! Différences et inégalités de genre dans la musique au Québec. En s’inscrivant dans la longue lignée des travaux critiques en historiographie féministe, l’article rend compte de la pluralité des mobilisations féministes au-delà des « vagues » #moiaussi qui ont ponctué l’actualité musicale québécoise au cours des cinq dernières années. Dans la seconde partie, les autrices détaillent les travaux du réseau D!G. Elles présentent des retombées initiales prometteuses à la fois pour le milieu universitaire et pour les milieux de pratique en ce qui concerne l’épistémologie et les méthodologies de la « musicologie partenariale collaborative féministe ».
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FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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À partir d’une réflexion de quelques décennies de recherche participative, ce texte est une tentative d’éclaircir trois types de recherche participative (recherche-action, recherche intervention et recherche partenariale). Les trois types de recherche mettent au cœur de leur démarche la participation des acteurs de terrain. Leurs différences résident notamment dans leur finalité, dans le rôle du chercheur, dans le processus participatif, et dans la présence ou non d’un agent de mobilisation, comme « traducteur » des visions de chacun ainsi que dans l’engagement des niveaux organisationnel et politique. La contribution des organismes subventionnaires, en ce qui concerne leur vision et leur soutien financier, met en place des conditions facilitant le déploiement de ces types de recherche. Ce texte discute également de la double identité du chercheur intervenant : un hybride. Enfin, une modélisation du processus la recherche participative est présentée pour rassembler l’ensemble des éléments au sujet des caractéristiques inhérentes, personnelles et professionnelles, organisationnelles et politiques.
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The COVID-19 pandemic, originated in China, has affected millions of people worldwide, leading to various situations such as psychological disorders and diseases that affect people’s physical and mental health, and disrupt their quality of life. Objective. To analyze stress levels during social distancing due to COVID-19 by gender and to determine the moderating effect of adaptability to the situation. Method. The study is cross-sectional and quantitative, with a descriptive-correlational scope. The sample consisted of 1,173 Mexican subjects (522 males [44.5%] and 651 females [22.5%]) with an average age of 25.99 years (DT = 11.19; range = 12 - 77 years). Adaptability and perceived stress were measured, obtaining reliability from appropriate instruments. Results. The results indicated that the greater the number of weeks of social distancing, the higher the perceived level of stress. Also, the better people adapt to social distancing, the less stress occurs. Women were observed to have higher levels of stress compared to men. Discussion and conclusion. The findings highlight the importance of adaptability to the stressful situation of the pandemic, because the effect of severe stress on women largely disappears when there is a high level of adaptability to the event.