Accéder au contenu Accéder au menu principal Accéder à la recherche
Accéder au contenu Accéder au menu principal
UQAM logo
Page d'accueil de l'UQAM Étudier à l'UQAM Bottin du personnel Carte du campus Bibliothèques Pour nous joindre

Service des bibliothèques

Portail BiblioFEM*
UQAM logo
Portail BiblioFEM*
  • Bibliographie
  • Accueil
  1. Vitrine des bibliographies
  2. Portail BiblioFEM*
  3. Le corps féminin malade comme hétérotopie queer : analyse des récits autopathographiques féministes lesbiens de Verena Stefan (D'ailleurs) et d'Audre Lorde (Journal du cancer et Un souffle de lumière)
  • À propos

Bibliographie complète

Retourner à la liste des résultats
  • 1
  • ...
  • 674
  • 675
  • 676
  • 677
  • 678
  • ...
  • 3 720
  • Page 676 de 3 720

Le corps féminin malade comme hétérotopie queer : analyse des récits autopathographiques féministes lesbiens de Verena Stefan (D'ailleurs) et d'Audre Lorde (Journal du cancer et Un souffle de lumière)

RIS

Format recommandé pour la plupart des logiciels de gestion de références bibliographiques

BibTeX

Format recommandé pour les logiciels spécialement conçus pour BibTeX

Type de ressource
Thèse
Auteurs/contributeurs
  • Bélanger, Jennifer (Auteur)
  • Delvaux, Martine (Collaborateur)
Titre
Le corps féminin malade comme hétérotopie queer : analyse des récits autopathographiques féministes lesbiens de Verena Stefan (D'ailleurs) et d'Audre Lorde (Journal du cancer et Un souffle de lumière)
Résumé
Ce mémoire s'intéresse aux lignes (de fuite et de risque) qui émergent du corps malade des narratrices et créent de nouvelles cartographies corporelles, des manières inédites d'être au monde. Son objectif est d'analyser la performance du corps féminin malade comme hétérotopie queer et les modalités d'inscription de la maladie dans les œuvres autopathographiques Journal du cancer (1980) et Un souffle de lumière (1988) d'Audre Lorde, et D'ailleurs de Verena Stefan (2008). Ces textes, chaotiques, offrent des représentations subjectives du cancer du sein et du foie, mais refusent de témoigner d'un quotidien qui serait uniquement marqué par l'expérience de la maladie. Ainsi, le récit du diagnostic et des traitements est entrelacé, chez Stefan, avec celui de son processus migratoire et, chez Lorde, avec celui de sa survivance en tant que poète lesbienne et noire née aux États-Unis. En s'écrivant, ces auteures défient les discours normatifs et dévoilent une construction discursive de soi qui met en œuvre un contrediscours. À l'intérieur de l'institution médicale, elles sont un site que l'on cherche à normaliser et à baliser; toutefois, leur corps narré, en refusant de vivre en ligne droite et de se réorienter, se définit comme un ailleurs, comme une hétérotopie, tant spatiale que sémantique. Ma démonstration se décline en trois chapitres : le premier sert à définir ce qu'est et ce que fait l'autopathographie en tant que registre narratif qui répond à l'impératif de jeter du sens sur un corps bruyant, tandis que les deux autres bâtissent une analyse croisée des œuvres. Le deuxième chapitre, en arrimant les réflexions de Michel Foucault sur les hétérotopies à celles de Sara Ahmed sur la phénoménologie queer, développe l'idée que les corps lesbiens malades des narratrices s'incarnent en « espaces autres», visibles et invisibles, lisibles et illisibles. Il est dès lors question des actes de lecture qui adviennent entre les narratrices et les spécialistes, lesquels dévoilent et réactualisent les signes inscrits (transcrits) sur et dans leur corps malade. J'y oppose deux postures, soit le face-à-face médical et le corps-à-corps amoureux, afin de mettre en lumière une approche qui puisse toucher et lire différemment ce corps souffrant. Finalement, le troisième chapitre s'attarde à ce qui, dans l'écriture des récits, se risque au cri comme symptôme d'un langage qui déborde. Le cri pointe à et vers autrui en contournant, tout en l'aiguisant, l'écart entre celle qui l'émet et celle qui l'accueille. _____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : hétérotopie, autopathographie, ligne de fuite, phénoménologie, patiente, médecin, corps malade, cancer, féminisme, femmes, queer, lesbiennes.
Type
Mémoire accepté
Université
Université du Québec à Montréal
Date
2019
Langue
Français
Titre abrégé
Le corps féminin malade comme hétérotopie queer
URL
https://archipel.uqam.ca/13821/
Référence
Bélanger, Jennifer. (2019). Le corps féminin malade comme hétérotopie queer : analyse des récits autopathographiques féministes lesbiens de Verena Stefan (D’ailleurs) et d’Audre Lorde (Journal du cancer et Un souffle de lumière) [Mémoire accepté, Université du Québec à Montréal]. https://archipel.uqam.ca/13821/
Approches et analyses
  • Lesbianisme
  • Queer
Discipline
  • Arts
    • Études littéraires
Thématiques
  • Corps
  • Santé
Lien vers cette notice
https://bibliographies.uqam.ca/bibliofem/bibliographie/QY3JMNPZ
  • 1
  • ...
  • 674
  • 675
  • 676
  • 677
  • 678
  • ...
  • 3 720
  • Page 676 de 3 720

UQAM - Université du Québec à Montréal

  • Portail BiblioFEM*
  • bibliotheques@uqam.ca

Accessibilité Web