Votre recherche
Résultats 8 ressources
-
The Sexual Politics of Meat is Carol Adams'inspiring and controversial exploration of the interplay between contemporary society's ingrained cultural misogyny and its obsession with meat and masculinity. First published in 1990, the book has continued to change the lives of tens of thousands of readers into the second decade of the 21st century.Published in the year of the book's 25th anniversary, the Bloomsbury Revelations edition includes a substantial new afterword, including more than 20 new images and discussions of recent events that prove beyond doubt the continuing relevance of Adams'revolutionary book.
-
« La recherche dont les résultats sont présentés ici a été initiée par L’R des centres de femmes du Québec (L’R) et s’est déroulée dans le cadre du Protocole UQAM/Relais- femmes du Service aux collectivités (SAC) de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), avec l’appui du Groupe interdisciplinaire de recherche sur l’antiféminisme (GIRAF), de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF) de l’UQAM. L’R est un réseau national créé en juin 1985, qui compte aujourd’hui une centaine de centres de femmes, regroupés en 15 tables régionales déléguant toutes une représentante pour former le comité de coordination provincial. Ce réseau est ouvert aux femmes des centres, qu’elles soient militantes, travailleuses, membres de conseil d’administration ou participantes. Ce projet s’inscrit en continuité directe avec un atelier développé et présenté une première fois par L’R dans le cadre du colloque «Polytechnique 20 ans plus tard» (UQAM, 4 décembre 2009): «Le harcèlement et l’intimidation exercés par des antiféministes envers les femmes et les féministes... Un calque du patron de la violence conjugale?» Cet atelier, avait été présenté par Odile Boisclair et France Bourgault. Le succès de cet atelier a permis de constater qu’il répondait à une préoccupation importante. Les résultats de la présente recherche permettront à L’R de remplir un mandat spécifique en ce qui a trait à l’antiféminisme. La recherche dont les résultats sont présentés ici a été initiée par L’R des centres de femmes du Québec (L’R) et s’est déroulée dans le cadre du Protocole UQAM/Relais- femmes du Service aux collectivités (SAC) de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), avec l’appui du Groupe interdisciplinaire de recherche sur l’antiféminisme (GIRAF), de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF) de l’UQAM. L’R est un réseau national créé en juin 1985, qui compte aujourd’hui une centaine de centres de femmes, regroupés en 15 tables régionales déléguant toutes une représentante pour former le comité de coordination provincial. Ce réseau est ouvert aux femmes des centres, qu’elles soient militantes, travailleuses, membres de conseil d’administration ou participantes. Ce projet s’inscrit en continuité directe avec un atelier développé et présenté une première fois par L’R dans le cadre du colloque «Polytechnique 20 ans plus tard» (UQAM, 4 décembre 2009): «Le harcèlement et l’intimidation exercés par des antiféministes envers les femmes et les féministes... Un calque du patron de la violence conjugale?» Cet atelier, avait été présenté par Odile Boisclair et France Bourgault. Le succès de cet atelier a permis de constater qu’il répondait à une préoccupation importante. Les résultats de la présente recherche permettront à L’R de remplir un mandat spécifique en ce qui a trait à l’antiféminisme. » (2013, 7)
-
Cet ouvrage présente quelques-unes des communications prononcées en décembre 2009 à Montréal lors du colloque international La tuerie de l'École Polytechnique 20 ans plus tard : Les violences masculines contre les femmes et les féministes.
-
L‘antiféminisme se nourrit du ressentiment explicite à l’égard des femmes et de leurs avancées vers l’égalité. Pilier du sexisme qui perdure sur le plan des mentalités, des structures et des institutions, l’antiféminisme ordinaire s’appuie sur une représentation essentialisée des femmes pour soutirer leur conformité aux diktats de l’ordre patriarcal et récuser la conception égalitaire des rapports entre les femmes et les hommes. Le présent texte cherche à illustrer comment, encore aujourd’hui, les grands archétypes du féminin, qui constituent le « prêt à penser » de la tradition patriarcale, sont au coeur des représentations sociales, préjugés et stéréotypes véhiculés par l’antiféminisme et tissent la trame de fond de sa contre-offensive actuelle.
-
Cette publication porte sur la place et la notion d’égalités dans les luttes féministes. *** FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
-
On discute avec nos invité.e.s d’une multitude de sujets dans le but de s'instruire, de se questionner et de repenser les codes ensemble, sous une perspective féministe.
-
Qu’est-ce que la masculinité? Si certains la revendiquent, d’autres souhaitent la réinventer… Dans cet épisode, on explique la définition de l’homme hégémonique, cet homme fort, pourvoyeur et sans émotion; on découvre l’impact crucial de la socialisation; on fait le point sur l’existence ou non de la fameuse crise de la masculinité; et on s’entretient avec Boris, un père à la maison qui n’a pas toujours perçu les femmes comme ses égales.