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Harcèlement en ligne, blagues sexistes, sous-représentation féminine, culture du silence : des humoristes n’entendent plus à rire. Elles sont « fucking tannées », « exténuées », « fâchées ». Et certaines aménagent leurs propres « safe spaces » (espaces sûrs), si de tels lieux existent.
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Quel est le lien entre la charge mentale et l’épanouissement sexuel des femmes au sein des couples hétérosexuels? On fait le point. Dans le livre Women Who Run With the Wolves, la psychanalyste Clarissa Pinkola Estés écrit : « Il y a cette drôle de chose à propos du nettoyage de la maison… c’est que c’est une tâche qui n’est jamais terminée. C’est la façon parfaite d’empêcher une femme de faire quoi que ce soit d’autre. » L’autrice parle ici du processus créatif : elle affirme que l’art ne peut pas être pratiqué que dans des moments « volés », entre une brassée de lavage et la préparation du souper. Que l’art prend du temps et que l’artiste doit agir avec ses pulsions et, pour y arriver, être en mesure de se reposer.
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Plus d’une centaine de femmes travaillant dans le livre signent un texte dénonçant un climat délétère et des inégalités flagrantes. Elles demandent que les entreprises de l’édition prennent leur responsabilité.
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Ce 21 avril, Mediapart a publié une enquête fouillée relatant des accusations de harcèlement sexuel envers Stéphane Marsan, patron d'une grande maison d'édition. Mais contrairement à d'autres #MeToo, celui-ci n'a pas trouvé beaucoup d'écho...
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Une étude menée par des économistes analyse comment la charge mentale que les femmes subissent encore majoritairement aujourd’hui ne leur permet pas de concilier équitablement vie professionnelle et familiale et nuit à leur bien-être. Un billet à lire sur le blog de la revue Dialogues économiques.
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Le regroupement « Pour les prochaines » souhaite en finir avec la culture du viol en humour, mais c'est pas gagné.
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Chaque année, les festivals de musique pullulent. Qu’il soit à Montréal ou à Gaspé, à Trois-Rivières ou à Tadoussac, le public a l’embarras du choix pour voir les artistes qu’il préfère. Mais, alors que l’été amène son lot de têtes d’affiche, un redoutable ver d’oreille refait surface : où sont les femmes*? Solutions concrètes en deux temps pour améliorer leur présence dans les événements musicaux…
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Solutions constructives pour des rendez-vous musicaux plus vivants, diversifiés et… paritaires!
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La fameuse « charge mentale », qui se définit vaguement comme la somme des tâches non rémunérées qui alourdissent le quotidien et la matière grise des femmes, fait l’objet d’un nombre exponentiel d’ouvrages populaires et universitaires ces dernières années. Dans la foulée de Fallait demander de la bédéiste Emma et d’autres variations sur le même thème, Si nous sommes égaux, je suis la fée des dents est le fruit du travail de recherche pratique et de réflexions de la travailleuse sociale Amélie Châteauneuf, qui a voulu concevoir un outil pour les couples avec ou sans enfant.
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La charge mentale a quelque chose d’intangible. Un poids qui va au-delà de la préparation des lunchs, du transport des enfants à la garderie et du coup de vadrouille à passer sur le plancher. Un poids dont on ne s’allège pas simplement en déléguant. Dans son essai Si nous sommes égaux, je suis la fée des dents, Amélie Châteauneuf propose des pistes concrètes pour équilibrer la charge mentale à l’intérieur du couple. Entrevue.
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Malgré des efforts et des initiatives, les femmes sont encore sous-représentées dans les médias. Notamment quand il s’agit “ d’expertes ”.
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La "culture du silence", selon l'expression consacrée, prendrait-elle fin ? Le témoignage des actrices qui ont précipité la chute du producteur américain Harvey Weinstein, entraînant une libération - une libéralisation ? - de la parole. Logiquement, ce sont les réseaux sociaux qui s'en sont fait l'écho, amplifiant les messages de colère, tristesse ou de soulagement. #MeToo, autant que le plus virulent #BalanceTonPorc, ont marqué profondément, jaillissant de toutes parts, et dénonçant le harcèlement sexuel vécu sous toutes ses formes. Alors, dans l'édition ?
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Née dans les années 80 pour décrire l’intensification du travail et ses conséquences psychiques, la notion resurgit en BD sur le Net à propos de la «double journée» des femmes. Un succès qui traduit l’accélération et la compression des vies travaillées et connectées ?