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Siopis has always engaged in a critical and controversial way with the concepts of ‘race’ and ‘ethnicity’ in South Africa. For politically sensitive artists whose work has involved confronting the injustices of apartheid, the current post-apartheid situation has forced a reassessment of their practice and the terms on which they might engage with the fundamental changes which are now affecting all of South African society. Where mythologies of race and ethnicity have been strategically foregrounded in the art of any engaged artist, to the exclusion of many other concerns, the demise of apartheid offers the possibility of exploring other dimensions of lived experience in South Africa. For feminists, this is potentially a very positive moment when questions of gender – so long subordinated to the structural issue of ‘race’ under apartheid – can now be explored. Penny Siopis’ work has long been concerned with the lived and historical relations between black and white women in South Africa. The discussion focuses on the ambivalent and dependent relationships formed between white middle-class women and black domestic labour during apartheid. Siopis’ work engages with how the appropriation of black women's time, lives, labour and bodies has shaped her ‘own’ history.
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Cet article analyse le rapport entre la mémoire sociale des femmes et l'histoire féministe qui a vu le jour au cours des trente dernières années. L'hypothèse défendue ici est que mémoire et histoire s'alimentent réciproquement et qu'elles sont toutes deux le fruit d'un construit social. Toutes deux opèrent un tri dans le passé et l'ordonnent selon une perspective particulière. Toutes deux s'inscrivent dans des rapports de pouvoir, rapports qu'elles reflètent en partie, mais qu'elles contribuent également à interroger et à remettre en cause. C'est ainsi que la mémoire des femmes et l'histoire féministe se sont avérées des éléments importants de conscientisation et de changement social.
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Because homoerotic relations can be found in so many cultures, Gilbert Herdt argues that we should think of these relations as part of the human condition. This new cross-cultural study of gays, lesbians, and bisexuals around the world, Same Sex, Different Cultures provides a unique perspective on maturing and living within societies, both historical and contemporary, that not only acknowledge but also incorporate same-gender desires and relations. Examining what it means to organize "sex" in a society that lacks a category for "sex", or to love someone of the same gender when society does not have a "homosexual" or "gay/lesbian" role, Herdt provides provocative new insights in our understanding of gay and lesbians lives. Accurate in both its scientific conceptions and wealth of cultural and historical material, examples range from the ancient Greeks and feudal China and Japan to the developing countries of Africa, India, Mexico, Brazil, and Thailand, from a New Guinea society to contemporary U.S. culture, including Native Americans. For all of these peoples, homoerotic relations emerge as part of culture and not separate from history or society. In many of these groups, loving or engaging in sexual relations is found to be the very basis of the local cultural theory of "human nature" and the mythological basis for the cosmos and the creation of society. The mistake of modern Western culture, Gilbert contends, is to continue the legalization of prejudice against lesbians and gays. In this light, the book addresses the issue of "universal" versus particular practices and reveals positive role models that embrace all aspects of human sexuality. Finally, it offers knowledge of the existence of persons who have loved and have been intimate sexually and romantically with the same gender in other lands through divergent cultural practices and social roles. The most important lesson to learn from this cross-cultural and historical study of homosexuality is that there is room for many at the table of humankind.
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Cette publication de 1997 porte sur l’héritage du lieu à soi de Virginia Woolf. *** FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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This collection addresses the issues raised by the postcolonial condition, considering nationhood, history, gender and identity from an interdisciplinary perspective.
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Cet article présente une partie des résultats de deux recherches socio-anthropologiques réalisées en France auprès d'hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et des femmes, indépendamment de leur identité socio-sexuelle. Les analyses portent d'abord sur les perceptions différenciées de la sexualité et sur ses conséquences en matière de restitution du sens, et ensuite sur la gestion des comportements préventifs. Ainsi il apparat!, au travers d'une relecture des notions de " multipartenariat ", de " sexe occasionnel " ou de " fidélité ", que le principal lieu de rupture dans la gestion des risques vin est avant tout dépendant de la variable sexe des partenaires sexuels, quand bien même la compréhension de ce mécanisme ne se réduit pas à une opposition basique entre hommes et femmes.
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Le développement du mouvement de lesbiennes et de gays en Espagne commence dans les années soixante-dix par une remise en cause des lois répressives du régime franquiste — qui visaient surtout les hommes. Après avoir brièvement lutté avec les homosexuels, les lesbiennes rejoignent le mouvement féministe. Les années quatre-vingt sont celles des débats théoriques et d'un certain émiettement du mouvement. A la fois rendues invisibles par le système, objets de violences spécifiques et de tentatives de récupération, une partie des lesbiennes s'orientent à partir des années quatre-vingt dix vers une nouvelle alliance avec les gays, autour de la lutte contre le SIDA. Ce retour à une certaine mixité — consciente des différences d'intérêts entre gays et lesbiennes — est liée à une revendication joyeuse du corps et de la visibilité dans une perspective "queer".
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"La légende du défunt quartier montréalais dit du "Red Light" vaut bien celle des Soho et Pigalle de ce monde. Prospères au début du siècle, les salles de jeux enfumées et les chambres sordides de nos bas-fonds deviennent dans les années trente les derniers refuges des damnés de la crise. La guerre venue, les entrepreneurs en plaisirs défendus font des affaires d'or, en attendant que l'armée s'en mêle. La guerre finie, le Red Light renaît en force. C'est alors que Pacifique Plante et Jean Drapeau entrent en scène et procèdent à l'épuration radicale de nos moeurs. Le rideau tombe sur notre quartier "réservé". Aujourd'hui, la "Main" n'est plus qu'un coin de rue, à l'intersection de Sainte-Catherine et de Saint-Laurent. Ni ses habitués ni les passants n'ont idée de son spectaculaire passé." -- Quatrième de couverture
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"Taking on those who would limit sexual freedom, New Sexual Agendas challenges the notion that there are fixed sexual behaviors for men and women. This engaging collection draws on a number of disciplines including women's studies, literature, gender studies, cultural studies, history, politics, education, sociology, and psychology."
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La Voz de la Mujer, La Voix de la femme en français, est le premier journal anarcha-féministe au monde. Publié en Argentine par un collectif de femmes dont la communiste libertaire Virginia Bolten, il compte neuf numéros, parus du 8 janvier 1896 au 10 mars 1897. (Wikipedia)
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This volume brings together 58 previously published essays on 19th and 20th century British and North American texts that were written from the mid-1970s to 1990 by feminist literary critics. These essays cover a variety of critical perspectives, including Anglo-American, French, Marxist, structuralist, new historicist, and psychoanalytic. The 13 sections of the book cover various issues in feminist criticism: institutions, methodologies, canon, tradition, body, desire, reading, discourse, ethnicity, history, class, men, and autobiography. Each section includes essays addressing the intersections of feminist concern with questions of class, race, sexual preference, and nationality. Contributors include Barbara Christian, Sandra M. Gilbert, Susan Gubar, Helene Cixous, and Elaine Showalter