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The Post-Colonial Studies Reader is the most comprehensive selection of key texts in post-colonial theory and criticism yet compiled. This collection covers a huge range of topics, featuring nearly ninety of the discipline's most widely read works. The Reader's 90 extracts are designed to introduce the major issues and debates in the field of post-colonial literary studies. This field itself, however, has become so varied that no collection of readings could encompass every voice which is now giving itself the name "post-colonial." The editors, in order to avoid a volume which is simply a critical canon, have selected works representing arguments with which they do not necessarily agree, but rather which above all stimulate discussion, thought and further exploration. Post-colonial "theory" has occurred in all societies into which the imperial force of Europe has intruded, though not always in the official form of theoretical text. Like the description of any other field the term has come to mean many things, but this volume hinges on one incontestable phenomenon: the "historical fact"of colonialism, and the palpable consequences to which this phenomenon gave rise. The topic involves talk about experience of various kinds: migration, slavery, suppression, resistance, representation, difference, race, gender, place, and reaction to the European influence, and about the fundamental experiences of speaking and writing by which all these come into being. In compiling this reader, the editors have sought to stimulate people to ask: "How might a genuinely post-colonial literary enterprise proceed?" The fourteen sections include: Issues and Debates; Universality and Difference; Textual Representation and Resistance; Postmodernism and Post-Colonialism; Nationalism; Hybridity; Ethnicity and Indigenity; Feminism and Post-Colonialism; Language; The Body and Performance; History; Place; Education; and Production and Consumption. Contributors include many of the leading post-colonial theorists and critics--such as Franz Fanon, Chinua Achebe, Gayatri Chakravorty Spivak, Ngugi wa Thiong'o, Homi Bhabba, Derek Walcott, Edward Said, and Trinh T. Minh-ha--in addition to a number of the discourse's newer voices. The Post-Colonial Studies Reader will prove an authoritative compilation, representing an invaluable contribution to the study of post-colonial theory and criticism.
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Les contributrices abordent les problèmes du mouvement international des femmes, tels que la résolution des conflits; la violence; zones de libre-échange ; l'environnement; culture et identité nationale; santé; les média; droits humains; et l'emploi, en mettant l'accent sur la situation des femmes dans toutes les régions du monde. Destiné aux étudiants en études féministes, en sciences politiques et en études du développement
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A landmark work when it appeared in 1976, America's Working Women helped form the field of women's studies and transform labor history. Now the authors have enlarged the dimensions of this important anthology; more than half the selections and all the introductory material are new. Spanning the years from 1600 to the present, selections from diaries, popular magazines, historical works, oral histories, letters, songs, poetry, and fiction show women's creativity in supporting themselves, their families, and organizations or associations. Slave women recall their field work, family work, and sabotage. We see Indian women farming, and we also see the white culture coercing Indian women to give up farming. We see women in industry playing a central part in the union movement while facing the particular hazards of women's jobs and working conditions. New selections show the historical origins of today's important issues: sexual harassment, equal pay, "sex work," work in the underground economy, work in the home, and shift work. With an expanded focus on women from all racial and ethnic backgrounds and regions, America's Working Women grounds us in the battles women have fought and the ones they are in the process of winning.
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Voici la première histoire de l'amour entre les femmes qui, sur cinq siècles, de la Renaissance à nos jours, tienne compte à la fois du regard extérieur des hommes et de l'approche des lesbiennes elles-mêmes. Pour la première fois, aussi, une analyse à long terme est proposée qui dégage une évolution des moeurs, des mentalités et de la place des femmes dans la société. Jusqu'à présent, en effet, l'histoire des femmes occultait l'amour entre femmes, alors que les lesbiennes ont joué un rôle prépondérant dans les mouvements progressistes politiques et artistiques. Unique en son genre par son érudition, son approche pluridisciplinaire, ses mises en perspective originales et la période considérée, cet essai s'impose déjà comme un ouvrage de référence.
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Premier chapitre du Passage du siècle (les grands bilans que le Centre Georges Pompidou proposera en 1996 et 1997), cette exposition renoue avec des expériences décisives comme par exemple "Eros", organisée en 1959 par Marcel Duchamp et André Breton. A travers le titre "Féminin - Masculin, le sexe de l'art" s'exprime un double enjeu : celui de réhabiliter le terme dévalué d'une opposition inscrite dans la tradition des couples hiérarchiques de la pensée occidentale (forme/matière, vérité/mensonge, être/paraître, profondeur/surface, etc.) ; celui de montrer qu'au delà d'un simple sujet-motif artistique, le sexe est partie prenante des processus de l'art lui-même. L'ambition de cette exposition est de montrer, en dehors de toute approche chronologique, comment les productions artistiques du XXe siècle n'ont eu de cesse de venir brouiller les fatalités biologiques, anatomiques et culturelles traditionnellement liées au sexe. Aborder l'art dans la perspective de la différence sexuelle, ce n'est pas mécaniquement opposer un art "masculin" à un art "féminin", mais tenter de donner à voir comment les oeuvres se trouvent traversées par cette question, au-delà du sexe - du genre - des artistes qui les produisent. Féminin - Masculin, le sexe de l'art montrera aussi la coexistence dans ce siècle de deux généalogies artistiques concernant le sexe. L'une, à partir de Picasso, s'inscrit dans la tradition classique de la différence des sexes, conçue comme une opposition dialectique et organique du masculin et du féminin. L'autre, à partir de Marcel Duchamp, inaugure un nouveau type de relations, selon une logique asymétrique, faisant circuler les intensités masculines et féminines sur un mode proliférant qui opère une déterritorialisation des entités anatomiques, identificatoires et formelles. Les artistes de la jeune génération (tant américaine qu'européenne) semblent très sensibles à cette manière de déstabiliser les polarités traditionnelles du masculin et du féminin, mettant en oeuvre de nouvelles configurations éthiques et formelles qui se situent au-delà de la différence sexuelle, et en cela se distinguant en radicalement des positions identitaires des années 70.
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Fille d'une esclave violée par un marin anglais à bord d'un vaisseau négrier, Tituba, née à la Barbade, est initiée aux pouvoirs surnaturels par Man Yaya, guérisseuse et faiseuse de sorts. Son mariage avec John Indien l'entraîne à Boston puis au village de Salem, au service du révérend Samuel Parris. Elle est emprisonnée à la suite du procès des sorcières de Salem en 1692.
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Cette publication porte sur la nécessité d’être féministe en 1995 et sur l’histoire de l’antiféminisme à la fin du XXe siècle. *** FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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"This book contains the reflections of one Mohawk woman and her struggles to find a good place to be in Canadian society. The essays, written in enjoyable and accessible language, document the struggles against oppression that Aboriginal people face, as well as the success and change that have come to Aboriginal communities. It speaks to both the mind and the heart."--Résumé de l'éditeur.
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Après des décennies de féminisme et de déconstruction, la romance reste fermement ancrée comme une préoccupation centrale dans la vie de la plupart des femmes. Les taux de divorce montent en flèche, la famille traditionnelle est remise en question de toutes parts et pourtant la romance semble indestructible. En termes de représentation culturelle, la popularité de la romance semble également incontestée. La fiction populaire, le cinéma hollywoodien, les feuilletons télévisés et les médias en général affichent tous un appétit apparemment sans limite pour les sujets romantiques. Les pièges de la romance classique – mariages blancs, chansons d’amour, Saint-Valentin – sont plus que jamais commercialement viables. Dans cette anthologie d'essais originaux, la romance est revisitée sous un large éventail de perspectives, non seulement dans la fiction et le cinéma, mais dans toute une gamme de phénomènes culturels. Les essais couvrent des sujets tels que la Saint-Valentin, les relations interraciales, les visions érotiques médiévales et la fiction romantique moderne, la relation entre la poétesse lesbienne HD et Bryher, la blancheur omniprésente du désir romantique, l'érotisme lesbien à l'ère du SIDA et la romance publique de Charles et Diane.
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Le sujet de la bisexualité continue de diviser la communauté lesbienne et gay. Lors des marches des fiertés, dans des films comme Go Fish, lors de conférences universitaires, le rôle et le statut des bisexuels sont âprement contestés. Au sein des communautés lesbiennes, constituées pour soutenir les lesbiennes dans une société patriarcale et hétérosexiste, les femmes bisexuelles sont souvent perçues comme une menace ou comme une faiblesse politique. Les femmes bisexuelles se sentent considérées avec suspicion et méfiance, voire ouvertement méprisées. S'appuyant sur ses recherches auprès de plus de 400 femmes bisexuelles et lesbiennes, sur le traitement de la bisexualité dans la presse lesbienne et gay et sur la croissance récente d'un mouvement bisexuel résolument politique, Paula Rust aborde une série de questions relatives à la politique et relations sociales entre lesbiennes et femmes bisexuelles. En remontant les racines de la controverse sur la bisexualité parmi les lesbiennes aux premiers débats féministes lesbiens des années 1970, Rust soutient que ces débats ont créé les circonstances dans lesquelles la bisexualité est devenue un défi inévitable à la politique lesbienne. Elle le retrace également, prédisant l’avenir de la politique sexuelle.