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Résultats 353 ressources
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Une formation pour prévenir le harcèlement en culture.
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Capsules produites dans le cadre de la recherche partenariale : « Si t’es féministe, c’est pour tout le monde »… même en prison ! L’intervention féministe intersectionnelle au Centre des femmes de Laval. Le Comité Leclerc (CL) du Centre des femmes de Laval (CFL) est devenu au fil des trois dernières années un réel groupe d’action sociale pour favoriser la solidarité auprès des femmes détenues et contrer la détention des femmes. Dans le but d’améliorer ses pratiques féministes intersectionnelles et de les faire connaître, le CFL a réalisé une recherche avec une équipe de chercheures de l’UQAM pour décrire et documenter les pratiques de groupe et d’action collective du CL.
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L’autodéfense féministe est un phénomène important dans les milieux militants contre les violences sexistes et sexuelles. Elle a traversé les époques et les frontières en revêtant différentes formes. Il s’agit pourtant d’un sujet qui a suscité peu d’intérêt dans le domaine académique. Son étude comporte divers défis, notamment quant à l’absence de consensus sur la définition de cette discipline et à la difficulté de repérer ses événements lorsqu’ils furent l’objet de répression sociale. Ce mémoire de recherche en travail social s’intéresse particulièrement à l’expérience des survivant- e-s de violence sexuelle qui ont participé à des cours d’autodéfense féministe. Afin d’explorer ce sujet, la recherche s’appuie sur deux méthodes de recherche complémentaires. D’abord, elle fait la documentation des cours d’autodéfense féministe s’étant tenus à Montréal au cours des dix dernières années afin de contextualiser la discipline à l’étude. Ensuite, des entretiens individuels ont été menés avec huit survivant-e-s de violence sexuelle ayant pratiqué l’autodéfense féministe, à partir desquels ont été rédigés des récits voulant trouver les thèmes significatifs à leurs expériences. La méthodologie de cette recherche qualitative s’inscrit en phénoménologie féministe et accorde une importance particulière au processus de dé/subjectivation dans l’expérience de la violence. Les thèmes abordés lors des entretiens avec les survivant-e-s concernent à la fois les changements constatés dans leurs rapports émotionnels et corporels à la vulnérabilité, leurs perceptions des institutions étatiques et l’importance accordée au rôle des collectivités dans leur recherche de guérison. L’analyse permet d’y découvrir un intérêt marqué pour les pratiques de solidarité ainsi que l’existence d’un processus d’empowerment qui échappe à l’injonction néolibérale du succès individuel. Cela permet d’élaborer une analyse critique du traitement punitif des problèmes sociaux et une vision de la lutte à la culture du viol qui s’attaque aux racines des dynamiques de pouvoir genrées. _____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : autodéfense féministe, violence sexuelle, intervention féministe, empowerment, culture du viol, solidarité
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Historiquement, la grossesse et l'accouchement étaient le champ de pratique des sages-femmes et traduisaient les savoirs empiriques qu’elles et d’autres femmes avaient développés sur leur corps. Mais, aux 19e et 20e siècles, en Occident, les sages-femmes perdent la main mise sur l'accouchement au profit de la nouvelle profession médicale omnipotente, métier historiquement réservé aux hommes. L’obstétrique-gynécologie voit le jour sous la lunette misogyne et raciste d’hommes qui tentent de mener cette spécialité vers la reconnaissance et la gloire auprès de leurs pairs, parfois aux dépens des femmes surtout noires ou pauvres. De nos jours, au Québec et à travers le monde, des voix s’élèvent pour dénoncer la violence obstétricale subie par les personnes qui accouchent : des abus, des mauvais traitements et des non-respects des droits des personnes vécus durant la grossesse et l’enfantement. Ainsi, c’est avec une posture épistémologique féministe que cette recherche tente, à partir de témoignages de femmes ayant enfanté dans le milieu hospitalier au Québec, de comprendre l’expérience d’accouchement dans un lieu où les rapports de pouvoir sont inégaux. Cette recherche qualitative croise les données avec deux théories clés : les savoirs faisant autorité et l’injustice épistémique. Trois points saillants ressortent de l’analyse : 1) ce sont les soignant·es qui détiennent les savoirs faisant autorité et avec eux le pouvoir décisionnel dans la salle d’accouchement. 2) Les personnes qui accouchent sont victimes d’injustice testimoniale au moment de l’enfantement. 3) L’injustice herméneutique nuit à la reconnaissance et à la lutte contre les violences obstétricales. Finalement, cette recherche met en lumière que les injustices épistémiques que vivent les personnes qui accouchent en milieu hospitalier au Québec sont la toile de fond dans laquelle s’enracinent les violences obstétricales. L’analyse témoigne de la nécessité de renverser les rapports de pouvoir inégaux dans la salle d’accouchement et de changer de paradigme autour de la naissance afin d’obtenir plus de justice périnatale. _____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Injustice épistémique, savoirs faisant autorités, violence obstétricale, accouchement, justice périnatale, rapports de pouvoir.
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Le 23 novembre 2017, une coalition d’intervenants des industries créatrices du Canada a publié une déclaration dans laquelle elle s’engageait à adopter une politique de tolérance zéro en matière de harcèlement, de discrimination, d’intimidation et de violence, et a mis en place des groupes de travail chargés d’étudier l’élaboration d’un Code de conduite, de mécanismes de production de rapports plus sûrs, ainsi que la formation et l’éducation pour l’ensemble de l’industrie. Ce code de conduite n’est que la première étape dans la réalisation de ces objectifs. En travaillant ensemble, nous avons tenté d’avoir une approche de portée étendue, inclusive et précise en réponse aux préoccupations soulevées par les braves personnes qui ont partagé leurs expériences de harcèlement – quelle qu’en soit la nature. Sur ce site Internet, vous trouverez le Code de conduite, les ressources disponibles et la liste actuelle des signataires.
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Cinq ans après l’explosion du #MeToo (#MoiAussi) et une multitude de vagues de dénonciations, qu’est-ce que l’on peut retenir de ce mouvement qui a changé nos vies, malgré les violences qui persistent?
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Au coeur de la poursuite : une publication dénonçant l’humoriste Alexandre Douville sur la page Dis son nom.
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Harcèlement en ligne, blagues sexistes, sous-représentation féminine, culture du silence : des humoristes n’entendent plus à rire. Elles sont « fucking tannées », « exténuées », « fâchées ». Et certaines aménagent leurs propres « safe spaces » (espaces sûrs), si de tels lieux existent.
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La capsule vidéo "Accueillir la diversité de genre en contextes pédagogique et professionnel" aborde les bonnes pratiques d'accueil (1:29), d'enseignement (6:18) et de recherche (10:42) qui favorisent le bien-être et la réussite des personnes trans, non binaires et queers à l'université.
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Dévoilement des résultats de la recherche Justice pour les femmes marginalisées victimes de violences sexospécifiques : ce que la littérature et les intervenantes nous apprennent (2022).
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Natacha Chetcuti-Osorovitz anime une séance du Séminaire multidisciplinaire en études féministes "Savoirs, perspectives, approches "(FEM9000, Groupe 041) des professeures Rachel Chagnon et Djemila Carron. 21 février 2022 Dans le cadre de ce séminaire, Natacha Chetcuti-Osorovitz parlera de son rapport aux savoirs minoritaires et de l’enquête dans une visée d’une sociologie de l’émancipation.
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Le projet de création de ce mémoire consiste en l’écriture introspective d’un corps hanté par la honte, l’angoisse et l’inconfort. Dans un recueil de poésie en vers, la voix poétique entreprend une plongée intérieure, au cœur du corps troublé du sujet. Les effets physiques et psychologiques des contraintes socialement imposées aux femmes et aux personnes queers sont décortiqués. La honte, le dégoût, le trouble face au corps apparaissent ici comme des symptômes des normes patriarcales et hétéronormatives que nous avons intégrées et qui nous font violence. Par la morsure je respire est divisé en trois parties, qui font écho aux réflexions développées dans le deuxième volet du mémoire. Dans la partie réflexive, je tente d’observer et de penser les liens qui existent entre la construction genrée des corps, la peur, la honte, et la création littéraire. En m’appuyant entre autres sur les textes de Jack Halberstam, Renate Lorenz et Paul B. Preciado, j’explore les potentiels de l’échec et de la théorie freak comme outils de déconstruction et de subversion des normes sociales et du contrôle sur les corps. J’avance qu’il est possible pour les dissident·es du genre de se réclamer d’une posture monstrueuse dans l’écriture. Cette revendication se conçoit non seulement par une prise de conscience et une réclamation individuelle, mais bien dans et par la collectivité. À l’image de la génération symbolique de Françoise Collin, l’idée est de s’engager dans une dynamique de transmission et de mémoire. Le désir qui nous meut ici est celui d’une communauté littéraire féministe et queer qui peut penser et dire le corps en marge du système hétéropatriarcal. _____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : corps, honte, peur, intime, échec, monstre, théorie queer, féminisme, sororité, communauté littéraire.
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Ce rapport présente les résultats d’une étude menée depuis 2020 afin de mettre en lumière la place des femmes dans le secteur. Cette étude a été dirigée par Joëlle Bissonnette, pour et avec la collaboration de la Fondation Musicaction et grâce à l’appui du Gouvernement du Canada. Au terme de cette vaste étude, plus de 600 témoignages ont pu être recueillis et analysés. Ceux-ci ont permis de relever les défis particuliers rencontrés par les femmes dans le secteur et de faire ressortir des pistes de solution pouvant favoriser leur épanouissement professionnel. Les pistes de solution dégagées reflètent les besoins exprimés par les participantes, des femmes de tous les corps de métier, et les recommandations qu’elles ont formulées pour répondre aux défis soulevés. En somme, ces résultats peuvent servir de coffre à outils pour inspirer toutes les parties prenantes du secteur, selon leur champ d’action respectif, et ainsi stimuler une meilleure inclusion des femmes dans l’industrie canadienne francophone.