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A resurgence of Indigenous political cultures, governances and nation-building requires generations of Indigenous peoples to grow up intimately and strongly connected to our homelands, immersed in our languages and spiritualities, and embodying our traditions of agency, leadership, decision-making and diplomacy. This requires a radical break from state education systems – systems that are primarily designed to produce communities of individuals willing to uphold settler colonialism. This paper uses Nishnaabeg stories to advocate for a reclamation of land as pedagogy, both as process and context for Nishnaabeg intelligence, in order to nurture a generation of Indigenous peoples that have the skills, knowledge and values to rebuild our nation according to the word views and values of Nishnaabeg culture.
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This paper studies gender representation in the visual coverage of the 2010 floods in Pakistan. The data were collected from flood visuals published in the most circulated mainstream English newspapers in Pakistan, Dawn and The News. This study analyses how gender has been framed in the flood visuals. It is argued that visual representation of gender reinforces the gender stereotypes and cultural norms of Pakistani society. The gender-oriented flood coverage in both newspapers frequently seemed to take a reductionist approach while confining the representation of women to gender, and gender-specific roles. Though the gender-sensitive coverage displayed has been typical, showing women as helpless victims of flood, it has aroused sentiments of sympathy among readers and donors, inspiring them to give immediate moral and material help to the affected people. This agenda set by media might be to exploit the politics of sympathy but it has the effect of endorsing gender stereotypes.
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"L'écologie, un luxe réservé aux pays riches? Rien de plus faux, explique Joan Martinez Alier, qui prouve à travers ce livre que justice sociale et préservation de l'environnement, loin de se concurrencer, vont de pair. À rebours de la croyance selon laquelle il faudrait avoir atteint un certain niveau de confort pour se " permettre " d'être écologiste, l'auteur montre qu'il s'agit souvent d'une question de vie ou de mort pour les plus démunis. Ainsi, tout comme il existe un écologisme de l'abondance (le tri sélectif ne peut s'inventer que dans des endroits où les poubelles débordent!), il existe partout dans le monde un écologisme des pauvres. Car non seulement les pauvres dépendent étroitement de leur environnement pour survivre, mais c'est aussi vers eux que sont transférées les activités les plus polluantes. Dans ce livre devenu un classique de l'écologie politique, Joan Martinez Alier s'interroge sur les calculs possibles pour déterminer un prix "écologiquement correct " intégrant les dégâts environnementaux et sociaux. Mais, bien au-delà, il insiste sur l'incommensurabilité des valeurs : quel prix donner à une vie humaine? Quel prix pour une terre " sacrée " détruite par une mine de cuivre. ou pour une communauté entière exposée à des déchets toxiques? Aujourd'hui, petit à petit, la notion de justice environnementale fait son chemin. L'idée de dette écologique également : ceux qui utilisent le moins de ressources ne seraient-ils pas les créanciers de ceux qui les gaspillent? Autrement dit, les riches n'auraient-ils pas une dette écologique envers les pauvres?" Présentation de l'éditeur.