Votre recherche
Résultats 82 ressources
-
Drawing from ethnographic research, incorporating informal conversations, semi-structured interviews and a focus group discussion, the paper explores the subjective meanings and construction of the “lesbian” identity in a “hostile” environment among selected same-sex attracted women in Harare. While the globally circulating identity labels are loaded with historical baggage which can be limiting or confusing in non-western contexts, most of the study participants related to some of the labels that are prominent in the present-day, western-inspired global discourse on same-sex relations. Self-styling and the quest to exhibit masculine decorum was a central aspect in the narratives of most “butch” identifying women. For most butch identifying women being lesbian was closely interwoven with considerations about one’s gendered self. However not all participants were comfortable with the circulating identity labels as they found them restrictive and loaded. While subjective preferences of the participants demonstrate complexity in how “lesbianism” is locally constructed and experienced, the lesbian identity is certainly not obsolete in Harare among same-sex attracted women.
-
"Bimbo orientale habituée des bars à chichas ; femme voilée sage et soumise qui rêve de vacances à Dubaï ; objet sexuel des pires dépravations sur les sites pornos ; «bourgeoise» ambitieuse haut perchée sur ses Louboutin ; ou jeune actrice tchatcheuse qui a gardé l'accent de la cité : les femmes françaises issues de l'immigration maghrébine ne semblent exister dans l'espace médiatique qu'au gré des stéréotypes sans cesse renouvelés de la «beurette». Refusant de se plier à ces préjugés sexistes et racistes, deux d'entre elles sont allées en interviewer d'autres pour explorer les coulisses et les non-dits de cette appellation qu'elles rejettent. Brisant les idées reçues, les autrices révèlent que ces femmes demeurent prisonnières d'un héritage colonial qui continue d'agir. Leur corps est sans cesse au coeur de polémiques qui divisent dans leurs propres rangs musulmans, féministes, associations de femmes « racisées », autant que militant.e.s de gauche ou antiracistes. Une enquête pleine d'empathie qui offre une galerie de portraits, plurielle, pour mieux connaître les «rebeues», loin des caricatures."--Quatrième de couverture.
-
Plutôt que de réduire le féminisme à des revendications faites à l’État, au patron, au chef ou à papa, pour plus de lois, plus de “sécurité”, à n’être que le porte-drapeau ou le cache-misère du capitalisme, de tel ou tel gouvernement nationaliste, ces histoires des féminismes présents rappellent et font résonner ensemble nos vies féministes. Ce livre fonctionne comme un abécédaire, un manuel, une boîte à outils, un dictionnaire amoureux, dans lequel échanger des idées, affûter des armes, écouter des voix, partager des expériences et des pratiques, vibrer pour des luttes présentes. Il s’adresse à tous·tes : il contient à la fois des ressources et foisonne de références utiles, de notions, mais il est fabriqué par des plumes et des voix, des points de vue situés sur des retours d’expériences collectives, des itinéraires politiques et intimes, des réflexions et des rétrospections sur des parcours, des engagements, des révoltes et des espoirs. En pluralisant les styles, en se situant à la fois du côté de la théorie et de la pratique, de la création, des écritures au “nous” et au “je”, il témoigne de la force d’une approche féministe de l’histoire intellectuelle et politique. Il est dédié à toutes les résistantes anonymes au quotidien des violences les plus crasses, à celles qui embrasent les tribunaux, cassent des genoux et brisent les vitrines, à celles qui inventent mille tactiques imperceptibles pour survivre et se mettre à l’abri, à la mémoire de celles dont les noms recouvrent les murs de nos villes la nuit, à la puissance des collectifs qui se font, à ceux qui se sont défaits, qui se sont (re)constitués ailleurs ou autrement, à ce qui nous lie.
-
FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
-
Tout au long du XVIIIe siècle en Grande-Bretagne, les lecteurices, les écrivain.e.s et les amateurices de théâtre étaient fasciné.e.s par les femmes qui s'habillaient avec des vêtements pour hommes - depuis les actrices sur scène qui mettaient en valeur leurs jambes galbées dans des culottes d'homme jusqu'aux histoires de vaillantes femmes soldat.e.s et de femmes pirates impitoyables. Couvrant les genres allant des pièces de théâtre, des romans et de la poésie aux brochures et aux affiches, la femme travestie en est venue à signaler plus que l'indépendance féminine ou les comportements non conventionnels ; elle est également venue signaler un investissement dans les intimités féminines de même sexe et les désirs saphiques. Sapphic Crossings révèle comment divers textes britanniques de l'époque associent le travestissement féminin à la possibilité passionnante de relations intimes et incarnées entre personnes de même sexe. Ula Lukszo Klein reconsidère le rôle des désirs lesbiens et leur structuration à travers des incarnations transgenres comme étant crucial non seulement pour l'histoire de la sexualité mais aussi pour la montée des concepts modernes de genre, de sexualité et de désir. Elle incite les lecteurices à repenser les racines du lesbianisme et des identités transgenres d’aujourd’hui et introduit de nouvelles façons de penser la sexualité incarnée dans le passé.
-
Lorsque Nadia Eid quitte Montréal, laissant derrière elle son amoureux, pour aller à la recherche de son père palestinien ayant disparu au Caire depuis des années, elle est loin de s’imaginer qu’elle y trouvera aussi une relation torride et complexe avec une jeune artiste égyptienne. Mais que faire quand nationalité et relations personnelles refusent de coexister? Pendant que l’intifada fait rage de l’autre côté de la frontière, Nadia devra choisir entre famille et destinée.
-
Cet article explore les performances raciales et l'hypersexualisation des femmes noires dans l'industrie du sexe néerlandaise. Dans le commerce mondial du sexe, les femmes racialisées sont constamment considérées comme des victimes du trafic sexuel sans aucune agence, en particulier les travailleuses du sexe migrantes dans les pays européens. Bien qu'il existe une abondante littérature sur la manière dont la hiérarchie raciale affecte les femmes noires dans l'industrie du sexe aux États-Unis, de telles recherches pertinentes font défaut en Europe. Dans cette recherche exploratoire, je déconstruis les images des femmes noires et situe son récit aux Pays-Bas. Avec des entretiens semi-directifs et approfondis, j'ai l'intention de mettre en évidence comment les travailleuses du sexe noires interprètent des images de noirceur et des stéréotypes raciaux lorsqu'elles séduisent des clients masculins. Mon cadre théorique comprend les « images de contrôle » de Patricia Hill Collins, les « archives culturelles » de Gloria Wekker,
-
Avec Perdre haleine, l’inimitable Anne Archet vous convie à une séance d’autoérotisme littéraire, une ode jubilatoire et irrévérencieuse à la masturbation féminine, de la lente montée du désir en passant par les savantes mécaniques de l’excitation, le troublant plateau des fantasmes jusqu’à la grande explosion orgasmique et sa résolution. Entrez dans une phrase longue de 26 000 mots à lire d’une seule main et d’un seul souffle, une traversée de toutes les déclinaisons du plaisir intime, cet acte de liberté, de gratuité et d’amour-propre, où l’on n’est jamais si bien servie que par soi-même: ses doigts, ses peluches, son ameublement, son lubrifiant et ses projections intérieures les plus déraisonnables.
-
This "hilarious and honest" bestselling memoir from a rising comedy star tackles issues of gender, sexuality, feminism, and the Catholic childhood that prepared her for a career as an outspoken lesbian comedian (Abby Wambach).Cameron Esposito wanted to be a priest and ended up a stand-up comic. Now she would like to tell the whole queer as hell story. Her story. Not the sidebar to a straight person's rebirth-she doesn't give a makeover or plan a wedding or get a couple back together. This isn't a queer tragedy. She doesn't die at the end of this book, having finally decided to kiss the girl. It's the sexy, honest, bumpy, and triumphant dyke's tale her younger, wasn't-allowed-to-watch-Ellen self needed to read. Because there was a long time when she thought she wouldn't make it. Not as a comic, but as a human. SAVE YOURSELF is full of funny and insightful recollections about everything from coming out (at a Catholic college where sexual orientation wasn't in the nondiscrimination policy) to how joining the circus can help you become a better comic (so much nudity) to accepting yourself for who you are-even if you're, say, a bowl cut-sporting, bespectacled, gender-nonconforming child with an eye patch (which Cameron was). Packed with heart, humor, and cringeworthy stories anyone who has gone through puberty, fallen in love, started a career, or had period sex in Rome can relate to, Cameron's memoir is for that timid, fenced-in kid in all of us-and the fearless stand-up yearning to break free.
-
"On peut se réjouir de ce qui est le souvenir d'une vie érotique sans vergogne et souvent triomphante. . . . Redécouverte après près de deux cents ans, l'histoire du désir d'Anne Lister - et de la manière comique et galante avec laquelle elle l'a satisfait - semble particulièrement poignante. Ce que suggère le journal de Lister, c'est que la passion que les femmes trouvent ensemble a toujours existé, et nous commençons seulement maintenant à découvrir son histoire remarquable et lyrique."Un document historique intéressant, édité avec une grande sensibilité. . . . [Lister] révèle ses aventures lesbiennes avec une honnêteté remarquable, offrant un aperçu rare des mœurs de l'époque. "— Sunday Independent" Comme document de la révolte d'une femme contre les conventions et en tant que célébration de l'amour entre les femmes, c'est un livre édifiant. "— The Independent. Dès la publication , le premier volume du journal d'Anne Lister, I Know My Own Heart , a suscité la célébration, le plaisir et un certain scepticisme. Comment une Anglaise de la classe supérieure pouvait-elle, dans la première moitié du XIXe siècle, satisfaire ses besoins émotionnels et sexuels alors que son orientation sexuelle était tournée vers d’autres femmes ? Comment une lesbienne aristocratique a-t-elle réussi à concilier épanouissement sexuel et acceptabilité sociale ?Helena Whitbread, l'éditrice de ces journaux, nous permet ici de jeter un regard intérieur sur la longue histoire d'amour entre Anne Lister et Marianna. Lawton, une affaire compliquée par l'engouement d'Anne pour Maria Barlow. Anne se rend à Paris où elle découvre un nouvel intérêt amoureux qui entre en conflit avec ses aspirations sociales en développement. Pour la première fois, elle commence à s'interroger sur la nature de son identité et sur les différents rôles que les amantes peuvent jouer dans la vie d'une noble. Bien qu'elles ne disposent pas d'un vocabulaire lesbien pour décrire sa vie érotique, ses conflits émotionnels sont suffisamment contemporains pour nous parler à toustes.
-
Cet essai auto-théorique explore la femme et la butch en tant qu'identités différentielles, exprimées à travers les performances de genre très spécifiques de l'identité lesbienne : la féminité et la masculinité. Nous revisitons une nuit passée ensemble comme moyen de cocréer la compréhension de l'habitus lesbien et de l'espace qu'occupent les lesbiennes lorsqu'elles se réunissent sexuellement. Nous nous interrogeons sur ce que cela signifie pour nos propres performances de genre et expressions de pouvoir, tant au sein de notre relation que dans le monde en général. En commençant par le terme fé(me)inité et en passant par l’appel à l’érudition féministe pour créer un nouveau langage, nous proposons la mas(k)ulinité comme une nouvelle façon d’encadrer la performance subversive de la butchness. Nous suggérons que les espaces créés par les couples femme/butch, qui manifestent la féminité et la masculinité, réorientent le pouvoir au sein des relations et ont le potentiel de perturber les formes patriarcales de contrôle genré.
-
Comment faire de la justice sociale l'expérience humaine la plus agréable ? Comment éveiller en nous des désirs qui nous empêchent de nous contenter d'autre chose qu'une vie épanouie ? L'autrice et rédactrice en chef Adrienne Maree Brown trouve la réponse dans ce qu'elle appelle "l'activisme du plaisir", une politique de guérison et de bonheur qui fait exploser le sombre mythe selon lequel changer le monde n'est qu'une autre forme de travail. S'inspirant de la tradition féministe noire, elle nous met au défi de repenser les règles de base de l'activisme. Ses essais qui modifient l'état d'esprit sont entremêlés de conversations et d'idées d'autres penseurs féministes, notamment Audre Lorde, Joan Morgan, Cara Page, Sonya Renee Taylor et Alexis Pauline Gumbs. Ensemble, ils couvrent un large éventail de sujets, du travail du sexe au changement climatique, S'appuyant sur le succès de sa populaire stratégie émergente , adrienne lance une nouvelle série du même nom avec ce volume, apportant aux lecteurices des livres qui explorent des moyens expérimentaux, expansifs et innovants pour relever les défis auxquels notre monde est confronté aujourd'hui.
-
Ce texte révolutionnaire est l'une des premières collections à explorer, développer et évaluer exclusivement les théories des filles noires et des jeunes filles noires. Ce volume rassemble des universitaires émergent.e.s et établi.e.s d'Amérique du Nord pour discuter de ce que la jeune fille noire signifie historiquement au 21e siècle, et comment les concepts de race, d'ethnicité, de sexe, de sexualité, de classe, de religion et de nationalité informent ou affectent l'identité des filles noires. au-delà de l'école ou du milieu urbain. Divisé en deux sections, les sujets couverts incluent le féminisme noir, l'intersectionnalité, le plaisir et l'agentivité érotique, l'activisme des médias et des fans, la construction de soi, le leadership, le changement social, la masculinité toxique et les soins personnels. La collection d'études sur les filles noires est une ressource vitale qui évoquera des discussions et des changements significatifs pour les étudiant.e.s en études africaines, études sur les Noir.e.s, études sur les enfants et les jeunes, études sur le genre et les femmes, études sur les médias et cours de sociologie dans le monde. CARACTÉRISTIQUES: - s'engage dans les contributions d'universitaires émergents et établis provenant d'un large éventail de disciplines et d'horizons divers - comprend des fonctionnalités pédagogiques telles que des introductions et des conclusions de chapitre, des mots-clés, des questions de discussion et des glossaires
-
À la fois mémoire, théorie, prose poétique et fragment, No Archive Will Restore You est une méditation fiévreuse sur le corps. Partant de l'appel d'Antonio Gramsci à dresser un inventaire des traces historiques laissées en chacun de nous, Singh aborde à la fois l'impossibilité et l'urgente nécessité de constituer une archive du corps. À travers des rêveries sur les héritages durables de la douleur, du désir, de la sexualité, de la race et de l'identité, elle nous demande de sentir et de ressentir ce que nous avons été entraînés à désavouer, à nous rappeler que le corps est plus que lui-même. Pourquoi ce désir d'une archive corporelle, d'un assemblage de traces d'histoire déposées en moi ? (Je me demande comment le décrire, comment l'encadrer sans paraître banal ou déconcertant idiosyncrasique.) L'archive corporelle est une harmonisation, un rassemblement plein d'espoir, un acte d'amour contre les forclusions de la raison. C'est une manière de connaître le moi-corps comme devenir et inconvenance, de brouiller le temps et la matière, de se tourner vers plutôt que contre soi. Et surtout, c'est une façon de penser-sentir la relation illimitée du corps aux autres corps. Je commence alors à compiler une archive de mon corps, une activité qui, dès le départ, me semble inconfortablement intime. Une entreprise trop intime et trop déconcertante, car comme tous les autres corps, le mien est devenu tant de choses au fil du temps, a radicalement changé par des forces à la fois naturelles et sociales. Je suis aussi, il faut le noter, une personne dont le corps a été brisé et mutilé à plusieurs reprises - un fait dont je ne peux pas encore entièrement rendre compte. c'est une manière de penser-sentir la relation illimitée du corps aux autres corps. Je commence alors à compiler une archive de mon corps, une activité qui, dès le départ, me semble inconfortablement intime. Une entreprise trop intime et trop déconcertante, car comme tous les autres corps, le mien est devenu tant de choses au fil du temps, a radicalement changé par des forces à la fois naturelles et sociales. Je suis aussi, il faut le noter, une personne dont le corps a été brisé et mutilé à plusieurs reprises - un fait dont je ne peux pas encore entièrement rendre compte. c'est une manière de penser-sentir la relation illimitée du corps aux autres corps. Je commence alors à compiler une archive de mon corps, une activité qui, dès le départ, me semble inconfortablement intime. Une entreprise trop intime et trop déconcertante, car comme tous les autres corps, le mien est devenu tant de choses au fil du temps, a radicalement changé par des forces à la fois naturelles et sociales. Je suis aussi, il faut le noter, une personne dont le corps a été brisé et mutilé à plusieurs reprises - un fait dont je ne peux pas encore entièrement rendre compte.
-
Cet article montre dans quelques œuvres d'inspiration autobiographique de Nina Bouraoui comment la subjectivité de la protagoniste est construite par différents discours identitaires dans le cadre franco-algérien et comment elle est déconstruite ou reconstruite par l'écriture. L'expérience corporelle de la protagoniste porte l'empreinte de l'héritage familial qui est le microcosme de l'héritage culturel marqué par la violence de l'Histoire franco-algérienne. En outre, l'emprise de la normalisation des genres pèse lourd sur la subjectivité de la protagoniste, ce qui résulte dans des sentiments d'auto-culpabilisation. L'entre-deux, c'est-à-dire entre deux pays et deux genres, est pourtant l'espace à la fois douloureux et créatif qui donne la force d'écrire et de s'écrire, et de venir à bout du sentiment de culpabilité, ce qui est analysé à l'aide de la lecture par Judith Butler du mythe d'Antigone et de la performativité de la confession.
-
Si nous étions en Iran, cette salle d'attente d'hôpital ressemblerait à un caravansérail, songe Kimiâ. Un joyeux foutoir où s'enchaînerait bavardages, confidences et anecdotes en cascade. Née à Téhéran, exilée à Paris depuis ses dix ans, Kimiâ a toujours essayé de tenir à distance son pays, sa culture, sa famille. Mais les djinns échappés du passé la rattrapent pour faire défiler l'étourdissant diaporama de l'histoire des Sadr sur trois générations : les tribulations des ancêtres, une décennie de révolution politique, les chemins de traverse de l'adolescence, l'ivresse du rock, le sourire voyou d'une bassiste blonde ... Une fresque flamboyante sur la mémoire et l'identité ; un grand roman sur l'Iran d'hier et la France d'aujourd'hui.
-
"Arts visuel" est l'un des soixante-six textes thématiques de cette encyclopédie explorent les reconfigurations en cours des études de genre. Trois axes transversaux organisent cette enquête collective: le corps, la sexualité, les rapports sociaux. Les inégalités liées au genre sont de plus en plus envisagées en relation avec celles liées à la classe sociale, la couleur de peau, l'apparence physique, la santé ou encore l'âge. Cette approche multidimensionnelle des rapports sociaux a transformé radicalement les manières de penser la domination au sein des recherches sur le genre. En analysant les concepts, les enquêtes empiriques et les débats caractéristiques de ces transformations saillantes, les contributrices et contributeurs de cet ouvrage dessinent une cartographie critique des études de genre en ce début de XXIe siècle.