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On a toustes déjà entendu une blague qui nous met un peu mal à l'aise, sans pouvoir vraiment mettre le doigt sur la raison. Sophie-Anne Morency nous donne des clés pour analyser et reconnaître l'humour sexiste et antiféministe et nous rappelle que parfois, ne pas rire suffit à résister. Ses propos vise à se sensibiliser aux effets politiques de l’humour et ainsi, favoriser le « rire ensemble ». Biographie: Sophie-Anne Morency est doctorante en sociologie, titulaire d’une maîtrise en science politique avec une concentration en études féministes, ainsi que d’un baccalauréat en relations internationales et droit international, également avec une concentration en études féministes. Sa thèse de doctorat explore les mobilisations des groupes sociaux marginalisés dans l'industrie de l'humour québécois et les réactions que celles-ci suscitent. Ses recherches portent sur le sexisme et le racisme dans l'industrie humoristique, les frontières entre discours sérieux et humoristique, ainsi que sur les enjeux de la liberté d'expression en humour. Elle est membre du Chantier sur l’antiféminisme (RéQEF) et de l’Observatoire de l’humour. Son plus récent article « Entre masculinisme et antiféminisme « ordinaire » : analyse de la télésérie québécoise Les mecs » a été publié dans la revue scientifique Recherches sociographiques, 64(3), 607–625. https://doi.org/10.7202/1112259ar Enregistré durant la Tournée des cégeps à l’automne 2024 (https://iref.uqam.ca/babillard/tournee-des-cegeps-foire-feministe-feministes-dans-la-cite/), écrit et monté par Juliette Chevet. Avec le soutien financier du CRSH
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Est-ce que c'est féministe de se mettre nue devant une caméra ? Comment peut-on jouer avec la caméra jusqu'à reprendre pouvoir sur notre image ? Amélie Fontaine-Dupont nous partage ses résultats de recherche sur l'artiste Hannah Wilke et montre comment l'auto-objectification sexuelle peut être une posture féministe et permettre d’approfondir la réflexion sur la culpabilisation et la répréhension des femmes qui font usage de leur corps et de leur sexualité à des fins d’émancipation. Biographie: Amélie Fontaine-Dupont est étudiante à la maîtrise en histoire de l'art à l'UQAM et détient un baccalauréat en histoire de l'art de l'Université Laval. S’intéressant autant aux études féministes qu’à l’art contemporain, ses recherches actuelles portent sur l'auto-objectification sexuelle comme forme d’agentivité et d’activisme féministe dans les œuvres performatives de l'artiste états-unienne Hannah Wilke. Amélie est membre étudiante de l'Institut de recherches et d'études féministes de l’UQAM et du Réseau québécois en études féministes. Elle occupe également le poste de responsable des communications de l'Association des cycles supérieurs en histoire de l'art de l'UQAM. En parallèle à ses études, elle travaille à la Galerie de l'UQAM et intervient ponctuellement en tant que médiatrice culturelle à l'occasion d'évènements artistiques et d’expositions. Enregistré durant la Tournée des cégeps à l’automne 2024 (https://iref.uqam.ca/babillard/tournee-des-cegeps-foire-feministe-feministes-dans-la-cite/)par Rajae Anys et Juliette Chevet. Ecrit et monté par Juliette Chevet. Avec le soutien financier du CRSH
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Pour cet épisode enregistré lors de la Foire féministe de l'IREF, nous nous penchons sur la question des savoirs et des pratiques féministes : comment reconnaître la richesse des différentes formes de savoirs ? Comment faire dialoguer les savoirs théoriques et les savoirs pratiques ? On explore comment la combinaison des différentes formes de savoirs peut finalement soutenir les luttes féministes et viser la transformation sociale. Avec: Rosemarie Fournier-Guillemette , Marie-Soleil Chrétien, Mylène Bigaouette, Jeanne et Ariane (Centre de solidarité Lesbien), Alexia de C'est pas notre genre, Reem al botmeh Épisode enregistré durant la Foire féministe de l'IREF (27, 28 février et 1er mars 2025 - https://sites.grenadine.uqam.ca/sites/dsj/fr/foire-feministe-feministes-dans-la-cite) . Monté et écrit par Juliette Chevet. Avec le soutien financier du CRSH.
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Et si danser devenait un acte de résistance, un territoire à soi quand tout disparaît ? Dans cet épisode, nous partons en Arménie avec Sona Pogossian, où la danse devient un pilier identitaire face à l’enclavement, à la perte de terres, et aux blessures de l’histoire. La danse, architecture vivante et mouvante, est un territoire immatériel que l’on porte en soi. Les femmes y incarnent un double pilier : celui de la mère et celui de la nation. Dans une société où la femme est le noyau de l’identité nationale, comme dans bien d’autres luttes pour l’autodétermination, la figure maternelle devient le symbole d’un « NOUS » collectif, profond et résistant. Biographie : Artiste de la scène, Sona a suivi de multiples formations en anthropologie et pratiques des arts scéniques, dont au sein du conservatoire de Lyon, de l’université d’État de Moscou d’Art et de Culture, de l’université Paris 8, entre autres. Son parcours pluriel l’amène aujourd’hui à réaliser un doctorat (thèse-création) à l’UQAM en études et pratiques des arts, où elle tente de mettre en lumière les corporalités des femmes en phénomène de guerre. Enregistré durant la Tournée des cégeps à l’automne 2024 (https://iref.uqam.ca/babillard/tournee-des-cegeps-foire-feministe-feministes-dans-la-cite/)par Juliette Chevet et Rajae Anys. Écrit et monté par Rajae Anys. Avec le soutien financier du CRSH.
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Le 9 septembre 2022, l’équipe de La Poudre était à la Fête de l’Humanité pour un enregistrement en public, qu’on glisse aujourd’hui dans vos oreilles, et on en est très contentes parce que c’était pas si simple. On a affronté les éléments, mais on y est arrivées, et on est fières de vous présenter cette table ronde sur l’ecoanxiété et les luttes féministes, qui réunissait Alizée Le Fur, Élise Thiébaut et Fatima Ouassak autour de Lauren Bastide. Débutant par un questionnement autour du terme même d’ecoanxiété (7’55), la discussion est représentative de certaines divergences autour de ces thèmes en fonction des générations (57’44). Alizée Le Fur, militante au sein de Dernière Rénovation qui s’était accrochée au filet de Roland-Garros lors de la demie-finale du tournoi en juin dernier pour dénoncer l’inaction collective face au réchauffement climatique (14’44), explique où elle trouve le courage de lutter (7’15), aborde la notion de déni léger (17’37) et appelle tout le monde à se battre (15’22). Fatima Ouassak, militante et porte-parole du collectif Front de Mères à Bagnolet (18’13), rappelle que la cause première du désastre écologique est le capitalisme (19’44). Elle s’intéresse également à la manière d’en parler aux enfants (25’20), et la place de ce combat dans l’espace médiatique (39’14). Élise Thiébaut, autrice et fondatrice de la newsletter Nouvelles lunes, évoque la pensée écoféministe visionnaire de Françoise d’Eaubonne (28’30), et rappelle que toutes les formes de domination sont reliées, par un déni du sensible (29’10). La question des petits gestes (46’56) et la mise en œuvre du collectif (41’20) permettent d’imaginer un futur politique du côté de l’espoir (59’32).
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Écoutez la série de 7 balados Mères au front pour rencontrer des femmes d’exception engagées dans la lutte pour le climat, et des outils concrets pour agir aujourd’hui et se mobiliser pour l’avenir de nos enfants.
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Episode: Survivre au conflit - 19 nov, 2020 On a tou-te-s en tête une organisation, un groupe ou un projet qui s'est effondré à cause d'un conflit. Dans les communautés noires, souvent l'argument - qui est en passant négrophobe - est que notre problème principal est que l'on ne pourrait rien faire ensemble ou qu'il n'y a pas de soutien. La vie d'une organisation, comme tout groupe, est traversée de rapport de pouvoirs, plus ou moins explicites mais aussi de conflits voir de violence. En tant qu'afrofeministe la question des conflits et de la violence est une question centrale lorsqu'on pense aux lieux et la sécurité des femmes Noires dans les mouvements noirs Pour parler de la résolution de conflit, je reçois une compatriote diabolique haïtienne, Nathela Batraville Nathalie est professeure adjointe en études féministes à l'Université Concordia. Ses travaux portent sur l'afroféminisme, l'abolition de la prison, les théories décoloniales et queers, et les productions culturelles de l'Atlantique noir.
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Laissez-nous raconter : L’histoire crochie | Les femmes autochtones fortes, insoumises et libres ont toujours joué un rôle important au sein de leur société, mais la culture occidentale les a stéréotypées en les montrant devant être sauvées par l'homme blanc. Pocahontas, popularisé par Disney, en est le meilleur exemple. Mamu, ensemble, on réajuste les perceptions et on décolonise l'image des Autochtones. | Accédez au rattrapage et découvrez les musiques diffusées ainsi que les références de l'émission
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Cette semaine, on décortique le discours de la « crise de la masculinité » avec Francis Dupuis-Déri, professeur de science politique à l’UQAM et coresponsable du Chantier sur l’antiféminisme du Réseau québécois en études féministes (RéQEF). Pour regarder l’épisode en format vidéo, c’est ici : youtu.be/4PPSmsn2mW0 Veuillez noter que cet épisode a été enregistré au printemps 2022. L’opinion de l’invité a pu évoluer depuis. Animation : Charlotte Groulx Montage : Benjamin Gardenat Coordination : Anne-Sophie Thauvette Réalisation : Charlotte Groulx Production : Marie-Ève Albert et les Productions Arborescence Direction : Daphnée Atlas et Ophélie Boisvert Pour suivre le SALVAS : Instagram : instagram.com/s.a.l.v.a.s/ Facebook : facebook.com/CliniqueSALVAS Pour suivre Francis Dupuis-Déri : professeurs.uqam.ca/professeur/dupuis-deri.francis/
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« En pratique, la perspective féministe ça change quoi? », par un tandem de l’Université Laval : Isabelle Auclair, professeure agrégée en sciences de l’administration - département de management et titulaire de la Chaire Claire-Bonenfant - Femmes, Savoirs et Sociétés avec Lorena Suelves Ezquerro, doctorante en anthropologie. Présentation dans le cadre du webinaire « Recherche partenariale en violence : les hauts et les bas d’une perspective féministe », organisé par la communauté de pratique « Nouvelles-Alliances pour plus de savoirs en égalité des sexes ».
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Réalisé pour donner suite au projet Nouvelles Alliances, ce podcast jette un regard approfondi sur la recherche partenariale féministe menée entre les groupes de femmes et les milieux universitaires.
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Membre de la communauté innue de Mashteuiasth « Retour sur mon expérience comme coordonnatrice d’une recherche participative au sein de ma communauté » Présentation dans le cadre du webinaire "Recherche collaborative et diversité des réalités régionales", organisé par la communauté de pratique "Nouvelles-Alliances pour plus de savoirs en égalité des sexes".