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This paper discusses the role of ideologies of love and intimacy in heterosexual coupledom, and examines the applicability of theories of the gender division of 'emotion work' to the field of intimate personal relationships. Research on the private sphere of the family has recently focused on quantifying instrumental aspects of relationships, such as financial management, the domestic division of labour and informal care. However, although fruitful, such approaches neglect the expressive or emotional; particularly the experiences of love and intimacy, which many people say they regard as a key element in their personal relationships. We suggest reasons for British sociology's neglect of what is almost a cliche in everyday discourse. And we present evidence (including preliminary findings from our own research on heterosexual couples) that - despite dissatisfaction with gender inequalities in domestic tasks and finance - many women express unhappiness primarily with what they perceive as men's unwillingness or incapacity to `do' the emotional intimacy which appears to them necessary to sustain close heterosexual couple relationships. We illustrate how similar discussions of gender differences in emotional behaviour have emerged elsewhere (including in the new masculinity literature), raising questions about how far men's and women's emotional behaviour can and should change.; The exploration of socially-regulated or `managed' gender divisions in intimate emotional behaviour entails two related but distinct questions: are men and women equally `susceptible' to the emotions or discourses of love and intimacy; and, do they handle such emotions in similar ways in the context of close personal relationships. We suggest how research findings on heterosexual couple relationships can be linked to work on the social regulation of emotion, which argues that there is a `gender division of emotion work' where it is assumed that women will take responsibility for the management of emotion in the private sphere.
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Je meurs, mon cher fils, victime de mon idolâtrie pour la patrie et pour le peuple. Ses ennemis, sous le spécieux masque du républicanisme, m'ont conduite sans remords à l'échafaud..." Ainsi commence la dernière lettre qu'Olympe de Gouges adressa à son fils alors qu'elle était enfermée à la Conciergerie dans la cellule des condamnées à mort. A cause de la pluie qui ne cessa pas de la matinée, l'exécution eut lieu dans l'après-midi du 3 novembre 1793.Š Avec des documents inédits à l'appui, Olivier Blanc nous fait revivre, dans sa préface, l'engrenage de l'arrestation et du procès d'Olympe de Gouges, l'auteur de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
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Le 26 août 1970 à l'Arc de Triomphe, neuf femmes donnaient par une action symbolique le coup d'envoi d'un mouvement qui allait en une quinzaine d'années bouleverser profondément la société française.A partir de son expérience personnelle, de l'étude des écrits et des archives du Mouvement de libération des femmes, d'une enquête auprès des féministes de la première heure, Françoise Picq présente ici une histoire en trois temps : celui de la découverte, celui des contradictions, puis le temps de la réflexion et du bilan avec les années quatre-vingt.
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Le 26 août 1970 à l'Arc de Triomphe, neuf femmes donnaient par une action symbolique le coup d'envoi d'un mouvement qui allait en une quinzaine d'années bouleverser profondément la société française.A partir de son expérience personnelle, de l'étude des écrits et des archives du Mouvement de libération des femmes, d'une enquête auprès des féministes de la première heure, Françoise Picq présente ici une histoire en trois temps : celui de la découverte, celui des contradictions, puis le temps de la réflexion et du bilan avec les années quatre-vingt.
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L'absence des femmes dans les instances de direction politiques révèle un dysfonctionnement du système représentatif. Des historiennes, politologues, sociologues et différents acteurs sociaux se sont retrouvés pour examiner rapports de domination, exclusion, modèles, contraintes...
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La question de l'avortement, réexaminée par des chercheures féministes. La première partie s'attaque aux pratiques contraceptives des femmes de la Nouvelle-France; on y aborde également un sujet tabou : l'avortement répété. Dans la deuxième partie de l'ouvrage, les auteures analysent la situation qui prévaut dans les pays de l'ex-bloc soviétique et montrent comment l'avortement peut servir d'arme politique contre les femmes. Enfin, la troisième partie porte sur l'idéologie autant des mouvements "pro-vie" que de ceux qui militent en faveur du droit à l'avortement.