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This book addresses the question of gender and feminism in western political theory and practise. It provides students with both the theoretical and historical underpinnings of women's exclusion from politics, and the feminist response to this exclusion.
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Chronique des événements entourant la lutte pour l'avortement libre et gratuit, l'une des plus importantes revendications du mouvement féministe québécois. Les différents groupes qui ont mené le combat, leurs discours et la place de leurs actions dans la dynamique des relations qu'ils entretenaient avec les gouvernements et le mouvement anti-avortement. Etude appuyée sur une solide documentation.
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Cet article présente, à la lumière des développements récents de l'historiographie féministe, une nouvelle interprétation de la Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste. Cette réinterprétation se base sur un concept assez nouveau: le maternalisme, défini comme une catégorie d'analyse utilisée pour qualifier les mouvements de femmes chez qui la maternité constituait le point central de l'idéologie et de l'argumentation. Nous examinons, entre autres, le modèle féminin véhiculé par la FNSJB pour constater qu'il correspondait au modèle traditionnel de « la femme », celui qui effectuait une équation entre la femme et la mère. La maternité n'était toutefois pas perçue par la FNSJB comme une fonction limitative, mais bien comme une ouverture vers la société. Elle a donc dû redéfinir les frontières entre les sphères privée et publique pour permettre aux femmes de transgresser celles du foyer et faire bénéficier la société de leur influence maternelle. Le cadre d'analyse élaboré dans la première partie est ensuite appliqué à un cas concret de revendication: la bataille pour le vote des femmes.
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Cette publication de 1999 porte sur l’histoire des féminismes. *** FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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Histoire bien documentée et inédite des communautés homosexuelles de Montréal. Longtemps victimes de brimades et de préjugés, les gais et lesbiennes sont finalement "sorti.e.s de l'ombre" et ont gagné de belles victoires durant les dernières décennies.
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Témoignages de deux aîné.e.s qui ont grandi à l'époque où l'homosexualité n'était pas du tout acceptée dans la société québécoise. Jude est âgé de 62 ans; il est fier, honnête, sensible, homosexuel et sidéen. Infirmière à la retraite, Muriel, 61 ans, vit seule; elle est lesbienne, préfère la liberté et s'intéresse beaucoup à la littérature.
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Cet article analyse le rapport entre la mémoire sociale des femmes et l'histoire féministe qui a vu le jour au cours des trente dernières années. L'hypothèse défendue ici est que mémoire et histoire s'alimentent réciproquement et qu'elles sont toutes deux le fruit d'un construit social. Toutes deux opèrent un tri dans le passé et l'ordonnent selon une perspective particulière. Toutes deux s'inscrivent dans des rapports de pouvoir, rapports qu'elles reflètent en partie, mais qu'elles contribuent également à interroger et à remettre en cause. C'est ainsi que la mémoire des femmes et l'histoire féministe se sont avérées des éléments importants de conscientisation et de changement social.
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Cette publication de 1997 porte sur l’héritage du lieu à soi de Virginia Woolf. *** FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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This volume brings together 58 previously published essays on 19th and 20th century British and North American texts that were written from the mid-1970s to 1990 by feminist literary critics. These essays cover a variety of critical perspectives, including Anglo-American, French, Marxist, structuralist, new historicist, and psychoanalytic. The 13 sections of the book cover various issues in feminist criticism: institutions, methodologies, canon, tradition, body, desire, reading, discourse, ethnicity, history, class, men, and autobiography. Each section includes essays addressing the intersections of feminist concern with questions of class, race, sexual preference, and nationality. Contributors include Barbara Christian, Sandra M. Gilbert, Susan Gubar, Helene Cixous, and Elaine Showalter
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Line Chamberland retrace la vie de femmes qui ont eu le courage de leurs amours à une époque où la condamnation sociale du lesbianisme était unanime. À partir de nombreux témoignages, l’auteure démontre de quelle façon s’exerçait le contrôle social du lesbianisme, quel rôle jouait la famille et comment diverses instances comme les institutions religieuses, l’appareil judiciaire et les autorités psychomédicales veillaient à ce que ces femmes se conforment aux diktats, les poussant parfois à la marginalité ou les obligeant à adopter diverses stratégies de dissimulation.
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Après un quart de siècle de néoféminisme, on connaît encore mal la recherche féministe et l’ampleur du travail accompli par ces chercheuses. Les auteures examinent ici les travaux qui ont porté sur la famille, la conciliation travail-famille et sur l’emploi, ceux qui ont documenté des aspects particuliers de la santé des femmes et de la violence conjugale ainsi que les nombreuses études produites dans le domaine de l’éducation. Elles mettent également en lumière les changements et les résistances révélés par les recherches dans le champ religieux, le champ politique, celui du droit de même que dans le domaine des communications. Ce faisant, elles rendent manifestes les caractéristiques de la recherche féministe québécoise, notamment les liens établis par les chercheuses entre théorie et pratique, recherche et action. Des textes de Pierrette Bouchard, Anita Caron, Renée Cloutier, Christine Corbeil, Huguette Dagenais, René B.-Dandurand, Francine Descarries, Louise Guyon, Thérèse Hamel, Geneviève Martin, Karen Messing, Josée Néron, Ann Robinson, Armande Saint-Jean, Diane-Gabrielle Tremblay et Manon Tremblay.
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Cette publication de 1996 aborde les identités et les théories postmodernes de la fin du XXe siècle en études féministes. *** FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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Les chercheuses en études féministes aux Etats-Unis ont publié de nombreux articles sur le féminisme français; pourtant, peu de féministes françaises s'y reconnaissent ou y reconnaissent leur mouvement. Cet article porte sur la disjonction qui existe entre la version américaine du féminisme français et le mouvement dont la pratique et la théorie ont eu un impact sur la politique, la culture, et la société françaises des vingt dernières années. Cet article part du principe que la version américaine n'est pas simplement une interprétation erronée des faits. Bien que je décrive très brièvement le modèle que les militantes et les critiques féministes ont élaboré, ma contribution porte plus sur l'organisation de la connaissance aux Etats-Unis et l'impact de la recherche féministe américaine sur le mouvement français. Dans le modèle américain du féminisme français, les théoriciennes Hélène Cixous, Julia Kristeva, et Luce Irigaray, ainsi que le groupe Psychanalyse et Politique sont pris comme modèles. Le militantisme s'efface devant la théorie, les théories matérialistes devant le post-structuralisme, la dimension sociale et historique devant le discours littéraire et philosophique. Pourquoi en est-il ainsi? Quels a priori politiques se cachent derrière la version américaine du féminisme français? Cet article a pour objectif d'avancer quelques réponses et de soulever plus encore de questions. Ce faisant, j'espère mettre à jour la diversité des engagements politiques conflictuels qui façonnent la recherche intellectuelle aux Etats-Unis et montrer les conséquences variées et pas toujours voulues de celle-ci. Much has been written in U.S. feminist scholarship about "French feminism", but few French feminists recognize themselves or their movement in these studies. This article looks at this disjunctive between the American version of "French feminism" and the movement whose practice and theory had an impact on French politics, culture, and society over the past two decades. The premise of the article is that the disjunctive is not simply a matter of "getting the story wrong". Although I describe (very briefly) the movement that feminist activists and scholars have constructed for themselves, the interest of this paper is more so on the construction of knowledge in the U.S. and the impact of U.S. feminist scholarship on the French movement. In the American construction of "French feminism", theorists Hélène Cixous, Julia Kristeva, and Luce Irigaray, along with the group Psychanalyse et politique, are the significant exemplars. Theory is privileged over activism, poststructuralism over materialist theories, literary and philosophical discourse over the social and historical. Why? What political assumptions are embedded in the U.S. construction of "French feminism'"? This paper intends to offer some answers (and raise many more). In so doing, I hope to make clear the variety of conflicting political agendas that inform U.S. intellectual work and the variety of consequences, not always intended, that this work has had.
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Cette publication porte sur la nécessité d’être féministe en 1995 et sur l’histoire de l’antiféminisme à la fin du XXe siècle. *** FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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Le sujet de la bisexualité continue de diviser la communauté lesbienne et gay. Lors des marches des fiertés, dans des films comme Go Fish, lors de conférences universitaires, le rôle et le statut des bisexuels sont âprement contestés. Au sein des communautés lesbiennes, constituées pour soutenir les lesbiennes dans une société patriarcale et hétérosexiste, les femmes bisexuelles sont souvent perçues comme une menace ou comme une faiblesse politique. Les femmes bisexuelles se sentent considérées avec suspicion et méfiance, voire ouvertement méprisées. S'appuyant sur ses recherches auprès de plus de 400 femmes bisexuelles et lesbiennes, sur le traitement de la bisexualité dans la presse lesbienne et gay et sur la croissance récente d'un mouvement bisexuel résolument politique, Paula Rust aborde une série de questions relatives à la politique et relations sociales entre lesbiennes et femmes bisexuelles. En remontant les racines de la controverse sur la bisexualité parmi les lesbiennes aux premiers débats féministes lesbiens des années 1970, Rust soutient que ces débats ont créé les circonstances dans lesquelles la bisexualité est devenue un défi inévitable à la politique lesbienne. Elle le retrace également, prédisant l’avenir de la politique sexuelle.
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Les idéaux féministes d'égalité formulés au cours des années 1970 et 1980 sont aujourd'hui confrontés à des discours divers qui pénètrent les groupes de femmes. D'une part, la vision des technocrates les incite à accepter des fonctions instrumentales en retour d'un financement considéré essentiel par plusieurs. La majorité des groupes en sont ainsi venus à offrir des services qui se situent dans le prolongement de ceux offerts par le réseau de la santé et des services sociaux. À travers ces ajustements, les groupes de femmes ne se définissent plus seulement comme des lieux de conscientisation et de résistance, mais bien comme des groupes communautaires travaillant, de concert avec d'autres groupes communautaires, à l'amélioration du bien-être collectif. Les discours savants portant sur le féminisme, sur les conditions de sa mise en oeuvre ou sur le rapport entre l'État et le communautaire rejoignent eux aussi les militantes et affectent de façons diverses le portrait qu'elles tracent de leurs pratiques. C'est cet ensemble complexe dans lequel des rapports de force se nouent quotidiennement que nous voulons décrire et analyser ici.
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Plus de 350 chroniques et illustrations, couvrant l’histoire de Montréal depuis sa fondation, répertoriant des réalisations dans tous les secteurs d’activités, des synthèses et des repères chronologiques précieux sous la plume alerte de plus de 150 collaboratrices: journalistes, historiennes, militantes féministes, chercheures, étudiantes, écrivaines…
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Après un chapitre important sur les associations qui ont précédé la fondation de l'AFEAS, l'ouvrage se présente comme un essai d'interprétation critique, avec des éléments d'ordre socio-historique, des activités et de l'influence de l'organisme.
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La question de l'avortement, réexaminée par des chercheures féministes. La première partie s'attaque aux pratiques contraceptives des femmes de la Nouvelle-France; on y aborde également un sujet tabou : l'avortement répété. Dans la deuxième partie de l'ouvrage, les auteures analysent la situation qui prévaut dans les pays de l'ex-bloc soviétique et montrent comment l'avortement peut servir d'arme politique contre les femmes. Enfin, la troisième partie porte sur l'idéologie autant des mouvements "pro-vie" que de ceux qui militent en faveur du droit à l'avortement.
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