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« Comment tenter de transformer la conscience de personnes engagées dans des situations de conflit, des tensions sociales et raciales et en quête de changements politiques significatifs? Trois types de textes se font ici écho: six auteurs analysent les "rencontres radicales" organisées entre Palestiniens et Israéliens ; bell hooks écrit sur l'éducation à/par l'émancipation dans le contexte des discriminations raciales aux États-Unis ; enfin, trois participants à des groupes de rencontre en Kanaky/Nouvelle-Calédonie nous proposent un troisième point d'ancrage en cette année de référendum d'autodétermination. Un ouvrage collectif qui vise à donner voix ensemble aux militants et aux théories, engageant un dialogue qui offre un répertoire d'actions et de réflexions puissant et décapant au confluent du féminisme, de l'analyse de la colonialité et d'une radicalité revendiquée. »--Quatrième de couverture.
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Cette étude explore les perceptions et les expériences d'un petit groupe de parents lesbiens vivant dans une région rurale d'Australie, qui ont discuté des décisions qu'ils ont prises pour fonder leur famille, de leurs attentes et de leur compréhension de leurs rôles et relations et de leurs concepts de famille et de parentalité. L'étude explore également la manière dont ces familles de parents lesbiens ont négocié les cadres juridiques complexes dans lesquels elles existent.
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L'humoriste australienne Hannah Gadsby redéfinit l'humour standard en combinant lignes assassines et révélations troublantes sur les genres, la sexualité et l'enfance.
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Comment tenter de trans/former la conscience de personnes engagées dans des situations de conflit, des tensions sociales et raciales et en quête de changements politiques significatifs ? Trois types de textes se font ici écho : six auteur·e·s analysent les « rencontres radicales » organisées entre Palestinien·ne·s et Israélien·ne·s ; bell hooks écrit sur l’éducation à/par l’émancipation dans le contexte des discriminations raciales aux États-Unis ; enfin, trois participant·e·s à des groupes de rencontre en Kanaky/Nouvelle-Calédonie nous proposent un troisième point d’ancrage en cette année de référendum d’autodétermination. Un ouvrage collectif qui vise à donner voix ensemble aux militant·e·s et aux théories, engageant un dialogue qui offre un répertoire d’actions et de réflexions puissant et décapant au confluent du féminisme, de l’analyse de la colonialité et d’une radicalité revendiquée. Essais de bell hooks, Rabah Halabi, Michal Zak, Nava Sonnenschein, Ramzi Suleiman, Ahmad Hijazi, Tal Dor, Angélina Perrochaud, Pascal Hébert, Pierre Wélépa et Nassira Hedjerassi.
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The 2007 first edition of this book proposed that Indigenous feminism was a valid and indeed essential theoretical and activist position, and introduced a roster of important Indigenous feminist contributors. The book has been well received nationally and internationally. It has been deployed in Indigenous Studies, Law, Political Science, and Women and Gender Studies in universities and appears on a number of doctoral comprehensive exam reading lists. The second edition, Making More Space, builds on the success of its predecessor, but is not merely a reiteration of it. Some chapters from the first edition are largely revised. A majority of the chapters are new, written for the second edition by important new scholars and activists. The second edition is more confident and less diffident about making the case for Indigenous feminism and in deploying a feminist analysis. The chapters cover issues that are relevant to some of the most important issues facing Indigenous people--violence against women, recovery of Indigenous self-determination, racism, misogyny, and decolonisation. Specifically, new chapters deal with Indigenous resurgence, feminism amongst the Sami and in Aboriginal Australia, neoliberal restructuring in Oaxaca, Canada's settler racism and sexism, and missing and murdered Indigenous women in Canada."-- Résumé de l'éditeur.
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Les recherches empiriques ont établi un lien entre les préjugés sexistes dans l’enseignement médical et les attitudes et comportements négatifs des prestataires de soins de santé. Pourtant, cela fait plus de 20 ans que les recherches n’ont pas examiné dans quelle mesure les femmes et les hommes sont représentés de manière égale dans les manuels d’anatomie . En outre, les recherches antérieures n’ont pas exploré au-delà de la quantité de représentation pour examiner également les stéréotypes visuels de genre et, à la lumière des avancées théoriques dans le domaine de la recherche intersectionnelle, la relation entre les représentations du genre et les représentations de l’ethnicité, du type de corps, de la santé et de l’âge. Cette étude visait à déterminer l’existence et la représentation des préjugés sexistes dans les principaux manuels d’anatomie utilisés dans les écoles de médecine australiennes. Une analyse systématique du contenu visuel a été menée sur 6044 images dans lesquelles le sexe/genre pouvait être identifié, provenant de 17 principaux manuels d’anatomie publiés entre 2008 et 2013. Une analyse de contenu plus approfondie a été réalisée sur les 521 images narratives, qui représentent une histoire en cours, trouvées dans les mêmes manuels. Les résultats indiquent que la représentation du genre dans les images des manuels d’anatomie reste majoritairement masculine, sauf dans les sections spécifiques au sexe. En outre, d’autres formes de biais ont été constatées dans : la visualisation d’émotions, de rôles et de contextes stéréotypés en fonction du sexe ; le manque de diversité ethnique, d’âge et de type corporel ; et dans l’adhésion presque totale à une conception binaire sexe/genre. Malgré une attention accrue portée aux questions de genre en médecine, la représentation visuelle du genre dans les programmes médicaux continue d’être biaisée. La construction biaisée du genre dans les manuels d’anatomie conçus pour l’enseignement médical fournit aux futurs prestataires de soins de santé des informations inadéquates et irréalistes sur les patients.
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Emotions have received increasing attention in educational circles in the last decade. Drawing on Bourdieu, feminist scholars use emotional capital to illustrate the ways gendered inequalities can compound the disadvantages of social class. This paper examines relationships within childcare services in Australia, showing how emotional capital functions as a resource for staff. Data from interviews with childcare staff illustrate key aspects of emotional capital, such as reflexivity, resilience and embodiment. Findings show that investing in emotional capital is the key to a long-lasting commitment to childcare work, and should be valued accordingly. © 2013 Taylor & Francis.
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Auto/biographical documentaries ask audiences to take a ‘leap of faith’, not being able to offer any real 'proof of the people and events they claim to document, other than that of the film-maker's saying this is what happened. With only memory and history seen through the distorting lens of time, ‘the authenticity of experience functions as a receding horizon of truth in which memory and testimony are articulated as modes of salvage’. Orchids: My Intersex Adventure follows a salvaging of the film-maker's life events and experiences, being born with an intersex condition, and, via the filming and editing process, revolving around the core question: who am I? From this transformative creative documentary practice evolves a new way of embodying experience and ‘seeing’, playfully dubbed here as the ‘intersex gaze’.
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Forced migration challenges and changes gender relations. The transnational activities of refugees resettled in the West create gender asymmetries among those who stay behind. This article explores the transnational marriages of young southern Sudanese women (‘invisible girls’), who either stayed in Sudan or remained in refugee camps in Kenya, to Sudanese men who were resettled to America, Canada or Australia (‘lost boys’). Incorporating gender as a relational category into the analysis of transnational practices that migrants and refugees engage in is important. The article argues that there is a need to put feminist analysis at the centre of transnational processes resulting from (forced) migration. It looks at the connections between different geographical locations, the impacts of the migration of young refugee men on bridewealth and marriage negotiations and the gender consequences for young women, men and their families. It is argued that transnational activities, such as marriage, contest, reconfigure and reinforce the culturally inscribed gender norms and practices in and across places. Transnational marriage results in ambiguous benefits for women (and men) in accessing greater freedoms. Anthropological analyses of marriage need a geographical focus on the transnational fields in which they occur. The article seeks to deepen understanding of the nuanced gendered consequences of transnationalism. It shows how gender analysis of actions taken across different locations can contribute to the theorisation of transnational studies of refugees and migrants.