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Dans cet épisode, la psychologue Lory Zephyr, spécialisée en santé mentale maternelle, périnatalité et attachement parent enfant, ainsi que la journaliste Jessika Brazeau abordent un sujet délicat né d'une conversation entre amies. Le féminisme dans l'angle de la maternité. Loin de s'affirmer expertes en la matière, les deux animatrices abordent le sujet d'un point de vue bien personnel. Pas besoin de vous dire que la notion d'égalité est difficile à trouver quand on devient parent. On y parle de grossesse, choix du nom de famille, répartition des tâches dans le quotidien, bagage parental reçu... Charge mentale! Se sent-on vraiment égaux quand la charge mentale est ressentie par un parent plus que l'autre? D'ailleurs, pour obtenir gratuitement un outil pour vous aider à diminuer votre charge mentale, c'est ici : https://www.cavamaman.com/outil-charge-mentale
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Nous écoutons Sylvie Lévesque, directrice de la Fédération des associations de familles monoparentales et recomposées du Québec et Mélanie Lefrançois, professeure en santé et sécurité du travail au Département d’organisation et ressources humaines de l’École des sciences de la gestion à l’UQAM.
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Cet épisode de podcast naît d’un partenariat entre Filles d’Action et la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse. Colorisme est un phénomène qui a un impact direct sur la perception que plusieurs filles ont d’elles même, un phénomène qui impact leur confiance en elles. Dans cet épisode cinq filles et jeunes femmes noires, âgées entre 15 et 23 ans parlent de l’impact qu’a eu le colorisme dans leur vie et comment elles vivent au-delà des barrières et étiquettes que la société place sur leur couleur de peau. Pour ceux et celles qui ne savent pas, le colorisme se résume au fait de discriminer davantage les personnes à la peau noir foncé. En effet, une personne à la peau noir clair aura beaucoup plus d’avantages et sera moins sujettes aux discriminations et insultes qu’une personne à la peau foncée. Alors sans plus attendre, écoutez les histoires de Kaji, Tofunmi, Lourdenie, Fama, et Ernithe, et apprenez quel impact le colorisme a eu sur leurs vies et aura sur leur avenir. "Quelle est ta nuance?" est disponible en formats audio et vidéo et présente des histoires en français et en anglais. Dans cet épisode cinq filles et jeunes femmes noires, âgées entre 15 et 23 ans parlent de l’impact qu’a eu le colorisme dans leur vie et comment elles vivent au-delà des barrières et étiquettes que la société place sur leur couleur de peau.
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L’avortement au Canada est une réalité complexe et souvent méconnue. De la Gaspésie au Nunavik, en passant par les provinces de l'Atlantique et les grandes villes, la série balado Avortement : un pays pas comme les autres met en lumière les disparités régionales et les obstacles rencontrés par les Canadiennes désirant avoir recours à ce soin de santé. La journaliste Pasquale Harrison-Julien aborde des sujets délicats tels que les avortements après le premier trimestre, les pressions culturelles et familiales, et les implications politiques et sociales des lois sur l'avortement. À travers des témoignages poignants et des entretiens avec des experts, des militants et des médecins, découvrez les histoires de femmes qui ont dû naviguer dans un système de santé inégal pour exercer leur droit dans ce balado essentiel pour comprendre les enjeux actuels et futurs de la santé reproductive au Canada.
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Marie-Joseph Angélique (née à Madère, au Portugal, vers 1705 et décédée à Montréal, QC, le 21 juin 1734). Angélique est une esclave noire, la propriété de Thérèse de Couagne de Francheville à Montréal. En 1734, après que le quartier des marchands de la ville ait été rasé par le feu, elle est accusée d’avoir allumé l’incendie. Il est allégué qu’Angélique aurait commis l’acte en essayant de fuir l'esclavage. Elle est condamnée, torturée et pendue. Bien qu’on ignore toujours si elle a allumé ou non l’incendie, l’histoire d’Angélique est devenue un symbole de la résistance des Noirs et de la liberté.
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Le programme de recrutement de domestiques antillaises était un programme d’immigration ciblant les femmes originaires des Caraïbes, qui a été actif entre 1955 et 1967. Par l’entremise de ce programme, environ 3 000 Antillaises ont immigré au Canada pour y travailler comme aides domestiques. Il a ouvert la porte à un accroissement de l’immigration noire en provenance des Caraïbes, en offrant à ces femmes des possibilités d’emploi au Canada auxquelles elles n’auraient pas eu accès autrement. Cependant, les femmes ayant participé à ce programme ont souvent dû faire face à des conditions de travail difficiles et à de la discrimination raciale. (Voir Racisme.) En raison de l’évolution des politiques en matière d’immigration du Canada, ce programme a officiellement pris fin en janvier 1968. Il a été remplacé par un système de points, offrant des permis de travail temporaires. Dans les années qui ont suivi, en dépit de la fin de ce programme officiel, des Antillaises ont continué de venir travailler au Canada en tant qu’employées de maison, sur la base de visas d’emploi temporaires. (Voir aussi Programmes des travailleurs étrangers temporaires du Canada.)
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Écoutez la série de 7 balados Mères au front pour rencontrer des femmes d’exception engagées dans la lutte pour le climat, et des outils concrets pour agir aujourd’hui et se mobiliser pour l’avenir de nos enfants.
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La production de cette balado a bénéficié du soutien financier du Réseau québécois en études féministes (RÉQEF) et s'inscrit dans le cadre du Chantier du RéQEF sur la recherche partenariale et la coconstruction des connaissances. Ont collaboré au contenu de cette balado : Mylène Bigaouette (Fédération des maisons d'hébergement pour femmes), Laurence Charleston (ConcertAction Femmes Estrie), Myriam Gervais (IGSF, Université McGill), Berthe Lacharité (Relais-femmes), Léa Mommeja (UQAM) et Julie Raby (Relais-femmes). Design et production : Lise Chovino (CDÉACF).
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Même si de nos jours les tâches domestiques sont un peu plus équitablement partagées que par le passé, historiquement, il est prouvé que la charge mentale qui conduit à leur réalisation repose traditionnellement sur les épaules de la femme dans un couple hétérosexuel. La charge mentale, c’est tout le travail en amont précise Martine B. Côté, candidate à la maîtrise en Droit à l'Université du Québec à Montréal. La charge mentale, c’est faire quelque chose et tout en pensant à autre chose. « Quand on passe l’aspirateur, c’est de penser qu’il ne reste plus beaucoup de sacs [dans l’aspirateur], et que nous avons un souper samedi alors il faudrait acheter des sacs pour passer l’aspirateur avant de recevoir les invités, et du même coup de penser qu’un invité est allergique aux arachides alors il va falloir prévoir un autre repas. » — Une citation de Martine B. Côté, candidate à la maîtrise en Droit à l'Université du Québec à Montréal Au fil des années, beaucoup se sont penchés sur la question, comme la bédéiste française Emma, dont les publications ont été vues des millions de fois. Elle vulgarise très bien [le concept] avec de petites vignettes. Elle appelle [la charge mentale] le syndrome du “Fallait demander”, explique Martine B. Côté en faisant référence à une mise en scène élaborée par l'artiste où une femme, débordée, est dans tous ses états lorsque son mari lui réplique : Il fallait demander [de l’aide]. Martine B. Côté conseille aux femmes de remplir un questionnaire, disponible sur le site de l'Association féminine d’éducation et d’action sociale, intitulé Charge mentale & bien être : où en êtes-vous?. Elle s’est elle-même prêtée à l’exercice, et selon elle, son résultat prouve à quel point la charge mentale est un défi répandu : J’ai du travail à faire, a-t-elle lancé en riant.
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Laissez-nous raconter : L’histoire crochie | Les femmes autochtones fortes, insoumises et libres ont toujours joué un rôle important au sein de leur société, mais la culture occidentale les a stéréotypées en les montrant devant être sauvées par l'homme blanc. Pocahontas, popularisé par Disney, en est le meilleur exemple. Mamu, ensemble, on réajuste les perceptions et on décolonise l'image des Autochtones. | Accédez au rattrapage et découvrez les musiques diffusées ainsi que les références de l'émission
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Cette semaine, on décortique le discours de la « crise de la masculinité » avec Francis Dupuis-Déri, professeur de science politique à l’UQAM et coresponsable du Chantier sur l’antiféminisme du Réseau québécois en études féministes (RéQEF). Pour regarder l’épisode en format vidéo, c’est ici : youtu.be/4PPSmsn2mW0 Veuillez noter que cet épisode a été enregistré au printemps 2022. L’opinion de l’invité a pu évoluer depuis. Animation : Charlotte Groulx Montage : Benjamin Gardenat Coordination : Anne-Sophie Thauvette Réalisation : Charlotte Groulx Production : Marie-Ève Albert et les Productions Arborescence Direction : Daphnée Atlas et Ophélie Boisvert Pour suivre le SALVAS : Instagram : instagram.com/s.a.l.v.a.s/ Facebook : facebook.com/CliniqueSALVAS Pour suivre Francis Dupuis-Déri : professeurs.uqam.ca/professeur/dupuis-deri.francis/
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On discute avec nos invité.e.s d’une multitude de sujets dans le but de s'instruire, de se questionner et de repenser les codes ensemble, sous une perspective féministe.
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« Vous avez entendu parler du projet Nouvelles alliances ? Cette expérience pilote développée avec les Tables régionales des groupes de femmes et les universitaires dans deux régions du Québec – Estrie et la Capitale nationale est riche d’apprentissages et de réalisations sur les hauts et les bas de la recherche partenariale. Ce premier balado d’une mini-série réalisée pour donner suite au projet Nouvelles Alliances, jette un regard approfondi sur la recherche partenariale féministe menée entre les groupes de femmes et les milieux universitaires. » [Résumé original]
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« Vous avez entendu parler du projet Nouvelles alliances ? Cette expérience pilote développée avec les Tables régionales des groupes de femmes et les universitaires dans deux régions du Québec – Estrie et la Capitale nationale est riche d’apprentissages et de réalisations sur les hauts et les bas de la recherche partenariale. Ce second balado d’une mini-série réalisée pour donner suite au projet Nouvelles Alliances, jette un regard approfondi sur la recherche partenariale féministe menée entre les groupes de femmes et les milieux universitaires. » [Résumé original]
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«Nouvelles alliances : nos apprentissages et nos recommandations Cette expérience pilote développée avec les Tables régionales des groupes de femmes et les universitaires dans deux régions du Québec – Estrie et la Capitale nationale est riche d’apprentissages et de réalisations sur les hauts et les bas de la recherche partenariale. Ce dernier balado d’une mini-série réalisée pour donner suite au projet Nouvelles Alliances, jette un regard approfondi sur la recherche partenariale féministe menée entre les groupes de femmes et les milieux universitaires et plus particulièrement les apprentissages issus de cette expérience et ses recommandations.» [Résumé original]
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Émilie Monnet trace des parallèles entre la vie de Marguerite Duplessis et la cause des femmes, et plus particulièrement des femmes autochtones. Accompagnée de ses invité·e·s, Émilie parle de la tragédie des femmes disparues et de l’objectification dont elles sont encore victimes aujourd’hui,...
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La charge mentale provoquée par le déséquilibre dans la distribution des tâches domestiques, tout comme les situations économiques précaires, vulnérabilise les Québécoises face aux changements climatiques. Paradoxalement, cela les positionne aussi au cœur de la solution. Comment permettre aux femmes de conserver ce pouvoir d’action sans exacerber les inégalités déjà existantes? Qu’est-ce que signifie « politiser le care »? On en parle avec Annie Rochette, docteure en droit environnemental, Laurie-Gagnon Bouchard du centre de recherche en immigration, ethnicité et citoyenneté de l’UQAM et Céline Hequet, chroniqueuse et doctorante en sociologie à l’Université McGill.