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This short essay considers how, in conditions of widespread lockdown during the coronavirus pandemic, domestic space has become hyper-visible. It argues that, in the mediated aesthetics of the crisis, we have seen a resurgence of mystificatory images of the heteronormative private household through celebrity culture. It considers how the injunction to ‘stay the fuck at home’ may work to conceal pervasive forms of gendered violence within domestic space, as well as re-affirming the private, capitalist home as a place of safety and stability. Drawing on the work of family abolitionist feminism, the essay argues that we might turn the hyper-visibility of the private heteronormative home against itself, by exposing its inbuilt dangers, inequalities, and cruelties - and by imagining how much better home could be.
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Depuis les dernières années, la modalité de la garde physique partagée des enfants a connu un essor important, étant de plus en plus attribuée aux parents par la Chambre de la famille du Québec. Les récits d’expérience portant sur les trajectoires juridiques de sept femmes qui ont obtenu un jugement de garde physique partagée en Chambre de la famille, en contexte de violence conjugale post-séparation, ont été recueillis. Ces derniers constituent l’objet d’étude de ce mémoire de maîtrise en travail social. La question et les objectifs de recherche qui ont été poursuivis visaient à identifier diverses formes de positionnements sociaux engagés par les femmes en regard de leur position sociale respective et à l’endroit de narratifs qui ont été véhiculés par des avocat.e.s et des juges de la Chambre de la famille les ayant accompagnées dans l’attribution d’un jugement de garde physique partagée. Le cadre conceptuel qui a été utilisé est composé de l’approche intersectionnelle d’auteures féministes européennes Floya Anthias (1998; 2001; 2005; 2008; 2011; 2012) et Nira Yuval-Davis (2006; 2015). À la lumière des analyses complétées, de multiples positionnements sociaux ont été déployés par les participantes au gré de leur parcours juridique en Chambre de la famille ou lorsqu’elles ont restitué leur récit d’expérience. Celles-ci ont parfois fait référence à leur position sociale comme mères victimes de violence conjugale post-séparation pour défendre leur requête de garde exclusive à la Chambre de la famille ou en portant plainte à la police contre leur ex-conjoint par mesure de protection. D’autres répondantes ont abordé leur appartenance à une classe sociale, une origine ethnique ou un statut d’immigration en traçant des liens entre cette position sociale et les différents défis et obstacles qu’elles ont rencontrés au gré de leurs démarches légales. Durant leur parcours juridique, quelques participantes ont décidé d’adopter une modalité de garde physique partagée, alors que d’autres ont reçu ce jugement de garde de manière imposée par la Chambre de la famille. Par ailleurs, certaines répondantes ont rapporté des exemples de formes de violence économique et psychologique dont elles ont été la cible en complétant leurs démarches légales ou en assurant la gestion de la garde physique partagée avec leur ancien partenaire. Celles-ci ont également décrit la façon dont les avocat.e.s et les juges de la Chambre de la famille ont abordé leur situation de violence conjugale pré et post-séparation ainsi que les différents fondements juridiques du droit de la famille au Québec. _____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : femmes, violence conjugale post-séparation, récits d’expérience, droit de la famille, narratifs, position sociale, positionnement social
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Aides-soignantes, caissières, aides à domicile… ce sont majoritairement des femmes qui se retrouvent en première ligne contre le virus. Comme le rappelle l’historienne Clyde Plumauzille dans ce podcast, ces inégalités ne sont pas nouvelles, la prise en charge d’autrui au sein du foyer ou dans la société étant historiquement dévolue aux femmes.
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This paper is broadly concerned with the question of what epistemic decolonization might involve. It is divided into two parts. The first part begins by explaining the specifically epistemic problem to which calls for epistemic decolonization respond. I suggest that calls for decolonization are motivated by a perceived epistemic crisis consisting in the inadequacy of the dominant Eurocentric paradigm to properly theorize our modern world. I then discuss two general proposals, radical and moderate, for what epistemic decolonization might involve. In the second part, I argue that the inadequacy of Eurocentric epistemic resources constitutes a hermeneutical injustice caused by an irreducible form of epistemic oppression. I then argue that addressing this form of epistemic oppression requires thinking ‘outside’ of the Eurocentric paradigm because the paradigm might fail to reveal and address the epistemic oppression sustaining it. This lends further plausibility to the radical proposal that epistemic decolonization must involve thinking from ‘outside’ the Eurocentric paradigm, but also accommodates the moderate proposal that adopting critical perspectives on Eurocentric thought is an important part of epistemic decolonization.
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« La psychanalyse est face à un choix historique sans précédent : soit elle continue à travailler avec l'ancienne épistémologie de la différence sexuelle et légitime de facto le régime patriarco-colonial qui la soutient, devenant ainsi responsable des violences qu'elle produit, soit elle s'ouvre à un processus de critique politique de ses discours et de ses pratiques. Continuer à pratiquer la psychanalyse en utilisant la notion de différence sexuelle, avec des instruments cliniques comme le complexe d'OEdipe, est aussi aberrant que de prétendre la terre plate. Le temps est venu de sortir les divans sur les places, collectiviser la parole, politiser les corps, débinariser la sexualité et décoloniser l'inconscient : la survie de la psychanalyse est à ce prix. »-- Quatrième de couverture.
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Le Réseau québécois d’action pour la santé des femmes se dédie à travers sa Campagne Rouge #LaVieEnRouge, qui durera 2 ans, à défaire les mythes et les tabous qui entourent les menstruations. Il s’agit d’une campagne participative: nous aurons besoin de vous tou.te.s pour parvenir à un changement global et positif concernant les perceptions et donc le vécu des menstruations… car nous sommes tou.te.s concerné.es! Précarité menstruelle S’engager contre la précarité menstruelle, c’est contribuer à une société plus équitable en favorisant l’accès pour toutes les personnes menstruées aux produits d’hygiène menstruelle. Découvrez la liste de nos partenaires collecteurs et distributeurs, et contactez-nous si vous souhaitez vous aussi vous engager: ensemble, tou.te.s solidaires contre la précarité menstruelle!
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Unpaid care work, mostly performed by women, is a central but undervalued contributor to economies. During the COVID-19 pandemic, the need for unpaid care work increased due to restricted movement, social isolation, and economic challenges. This pandemic has highlighted the urgency of recognizing and valuing women's work at the household level which has been systematically overlooked. At the same time, it has increased the demand for technology usage, exposing the gender digital divide. This article aims to shed light on the additional burden women are facing, especially when trying to balance unpaid care work with paid employment from the seclusion of their homes. We do this by reviewing a number of surveys conducted in Indonesia. We combine this with other examples from additional contexts in order to draw attention to a global trend of amplified inequalities and struggles women are experiencing. We advocate for an urgent paradigm shift by providing vital recommendations for policymakers and managers.
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Elle grandit au Nunavut dans les années 1970. Elle connaît la joie, l’amitié, l’amour des parents, l’art du camouflage et de la survie. Elle connaît l’ennui et l’intimidation. Elle connaît les ravages de l’alcool, la violence sourde, le courage d’aimer les petites peurs. Elle connaît le pouvoir des esprits. Elle scande en silence le pouvoir brut, amoral, de la glace et du ciel. Dans ce récit venu de loin, d’un espace intime et profond où les frontières s’effacent, Tanya Tagaq chronique les jours terribles d’un village écrasé sous le soleil de minuit, laissant dans la blancheur de la page l’empreinte sauvage d’une mythologie enchanteresse. Savant collage de descriptions hallucinées et de plongées intimistes, Croc fendu nous lance à la suite d’une héroïne inoubliable pour reconsidérer la différence entre le bon et le mauvais, l’animal et l’humain, le vrai et l’imaginé. Ici, la réalité se révèle aussi étrange que la fiction, à moins qu’il n’y ait jamais eu de différence entre les deux.
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The year 2020, marking the twenty-fifth anniversary of the Beijing Platform for Action, was intended to be ground-breaking for gender equality. Instead, with the spread of the COVID-19 pandemic, even the limited gains made in the past decades are at risk of being rolled back. The pandemic is deepening pre-existing inequalities, exposing vulnerabilities in social, political and economic systems which are in turn amplifying the impacts of the pandemic. Across every sphere, from health to the economy, security to social protection, the impacts of COVID-19 are exacerbated for women and girls simply by virtue of their sex. This policy brief by the UN Secretary-General explores how women and girls’ lives are changing in the face of COVID-19, and outlines suggested priority measures to accompany both the immediate response and longer-term recovery efforts.
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Le jugement de la Cour suprême indienne de 2018 dépénalisant l'homosexualité a été qualifié d'"acte décolonial". Article 377, qui criminalisait l'homosexualité, était une loi coloniale introduite par les Britanniques en Inde, que l'État postcolonial a maintenue jusqu'en 2018. Le jugement peut être « décolonial » dans son intention, mais il y a d'autres processus simultanés en jeu qui ne sont pas si décoloniaux dans la pratique ; cet essai soutient que ces processus sont le colonialisme, la suprématie brahmanique et l'islamophobie. La violence basée sur la caste fait partie intégrante de l'hindouisme et est étroitement liée à d'autres matrices d'oppression, faisant de la caste le fondement de toute revendication de l'hindouisme en tant que queer, trans et non conforme au genre amical. Étudiant les récentes réponses nationalistes hindoues en faveur de la dépénalisation de l'homosexualité en Inde, cet essai retrace comment la droite hindoue déploie la queerness pour propager ses agendas islamophobes, castistes et homohindunationalistes. L'essai défend la décolonisation du droit, de l'État.
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Le présent mémoire s’inscrit dans une volonté de décolonisation du discours médiatique. Il analyse la transformation du traitement médiatique accordé à la question des femmes autochtones disparues et assassinées au Canada à partir d’un corpus d’articles provenant de deux journaux québécois francophones. Les articles ont été écrits entre 1996 et 2018 par des journalistes de La Presse et du Devoir. Cette recherche mobilise une approche sociologique qui est ancrée dans les études féministes intersectionnelles et décoloniales et s’appuie sur la méthodologie d’analyse française du discours. Cette recherche a permis de montrer qu’il existe une idéologie coloniale dans le traitement médiatique de la violence faite aux femmes autochtones et de démontrer le renouvellement de ce discours colonial à travers le temps. En effet, le discours médiatique sur cette question s’est transformé, passant d’un discours portant sur les femmes autochtones disparues et assassinées comme des faits divers (1996 à 2004) à un discours axé, d’un côté, sur les inégalités socio-économiques et, d’un autre côté, sur l’indifférence générale envers le phénomène (2004-2015), pour finalement arriver à un discours qui aborde les causes sociohistoriques (qui seront présentées en détail au chapitre IV) et les rapports de pouvoir coloniaux (2015-2018). Cette évolution dénote aujourd’hui une volonté de la part des journaux étudiés de dénoncer le statu quo qui permet à cette violence de perdurer. Néanmoins, des angles morts persistants (voir section 4.1.4) de ce discours participent à la réaffirmation des normes sociales de la société dominante coloniale. De plus, le discours médiatique ne semble pas suffisamment problématiser les rapports de pouvoir coloniaux passés et présents. L’impact et la souffrance sociale qu’ont eus et ont toujours les politiques coloniales sur les Autochtones ne sont pas présents dans le traitement médiatique analysé. De plus, l’amalgame entre la prostitution et la figure de la suffering helpless victim tendent à nuire aux femmes autochtones, et semblent dédouaner la société dominante dans le phénomène de violence envers les femmes autochtones. L’analyse souligne également le manque de sources académiques pour mieux cerner un enjeu si profondément ancré dans les structures coloniales de la société. Plus important encore, ce traitement médiatique met en avant des solutions exclusivement étatiques destinées à enrayer le phénomène de la violence envers les femmes autochtones. D’une part, cela invisibilise l’agentivité et l’autodétermination de celles-ci et des peuples autochtones en général, et d’autre part, ces solutions sont en tension, étant donné que l’État participe à cette violence. _____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : traitement médiatique, analyse du discours, femmes autochtones disparues et assassinées, décolonisation du discours, violence, violence colonial.
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"Dans son livre Capitalisme carcéral, Jackie Wang examine le fonctionnement actuel du capitalisme aux États-Unis illustrant divers aspects du continuum carcéral comme la biopolitique de la délinquance juvénile, la police prédatrice, le profilage racial, la gouvernance cybernétique et le maintien de l’ordre algorithmique. Comment un réseau carcéral et des appareils de répression policiers s’articulent-ils à la violence de l’économie et du racisme? S’agit-il de la continuation directe, sous un autre visage, du système d’esclavage qui perdura jusqu’au XIXe siècle et sur lequel se sont fondés les États-Unis d’Amérique? Est-ce un système de gestion des populations « surnuméraires » déclassées de leur position dans la hiérarchie sociale? Est-ce que les dispositifs policiers qui strient les espaces urbains ne seraient que d’autres moyens d’extraire de la valeur afin de garantir, à travers les mille et une infractions qu’ils répriment et le fermage d’amendes, la santé financière de l’État? De la privatisation des prisons et des agences de sécurité jusqu’au développement massif d’une industrie technosécuritaire en passant par les algorithmes de reconnaissance faciale et le quadrillage GPS des villes qui les transforment en véritables prisons à ciel ouvert, cet ensemble d’hypothèses nous fait plonger au cœur de l’enfer du capitalisme étasunien, de ses logiques totalitaires et sécuritaires et de ses processus de racialisation des corps."-- Résumé de l'éditeur.
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Afin de comprendre comment la justice réparatrice répond aux besoins des victimes d’agression à caractère sexuel, 18 d’entre elles ont partagé leur expérience. Treize personnes travaillant en justice réparatrice ont aussi transmis leur expérience auprès des victimes. Les victimes de violence sexuelle qui choisissent de participer à un processus de justice réparatrice présentent généralement des victimisations répétées survenues à un très jeune âge. La justice réparatrice s’inscrit dans le prolongement du cheminement thérapeutique. Les victimes se sentent finalement libérées, soulagées, et confiantes à l’issue de celle-ci. La valeur thérapeutique de la justice réparatrice contraste avec la seconde victimisation souvent associée au processus pénal. La justice réparatrice permet la reconnaissance de la victimisation, en plus de fournir aux victimes de l’information et une compréhension de ce qui a été subi. En effet, le besoin de reconnaissance prend deux formes : reconnaître l’innocence de la victime et reconnaître la culpabilité du contrevenant. Cette reconnaissance n’est pas seulement offerte par le contrevenant, mais aussi par des contrevenants suppléants, d’autres victimes et les intervenants. Ainsi, il existe plusieurs potentielles sources de réparation pour les victimes. Les personnes victimes ont souvent besoin d’information pour comprendre ce qui s’est passé et pourquoi. Bien que certaines questions ne puissent être répondues que par l’agresseur direct, les agresseurs suppléants ont beaucoup aidé les victimes à obtenir des réponses à leurs questions. Le fait d’avoir accès à ces réponses permet aux personnes victimes de mieux comprendre ce qu’elles ont subi et de lui donner davantage un sens. Pour y avoir accès, il faut savoir que les programmes de justice réparatrice existent, et ainsi, les participants sont unanimes : il faut mieux informer les personnes victimes de l’existence des programmes de justice réparatrice, car elles ont le droit de savoir et de choisir.
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Tournage de film porno, «Ginette se meurt d’ennui». Prostituée armée dans les toilettes d’une chambre de motel. Miroirs léchés. Vaginoplastie juste au bon moment «pour se cacher ailleurs qu’au cimetière ou en prison». Viol d’un adolescent. Party BDSM. Manucure. Drogue mortelle. «Personne ne peut abuser d’elle, c’est déjà fait.» Abîmées et vengeresses, les «fées mal tournées» rendent les coups. Dans la rue, au bar, à l’hôpital, à la shop de tatouage, elles rassemblent leurs voix discordantes pour devenir inévitables, pour déranger l’ordre qui les gruge. «Nous docteurs, sorcières et assassines, nous voulons répandre la conscience / comme une malaria fiévreuse et addictive.» Au cœur de Danseuses-mamelouk, Josée Yvon réunit sa milice : trois textes, masses composites de vers et de bouts de récits, cris de guerre, dédales de sens, affection féroce, «une grosse étreinte dans page». «Car l’abus est notre seul espoir de prospérité et de jouissance.»
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Shows how reproductive justice organizations' collaborative work across racial lines provides a compelling model for other groups to successfully influence change Patricia Zavella experienced firsthand the trials and judgments imposed on a working professional mother of color: her own commitment to academia was questioned during her pregnancy, as she was shamed for having children "too young." And when she finally achieved her professorship, she felt out of place as one of the few female faculty members with children. These experiences sparked Zavella's interest in the movement for reproductive justice. In this book, she draws on five years of ethnographic research to explore collaborations among women of color engaged in reproductive justice activism. While there are numerous organizations focused on reproductive justice, most are racially specific, such as the National Asian Pacific American Women's Forum and Black Women for Wellness. Yet Zavella reveals that many of these organizations have built coalitions among themselves, sharing resources and supporting each other through different campaigns and struggles. While the coalitions are often regional-or even national-the organizations themselves remain racially or ethnically specific, presenting unique challenges and opportunities for the women involved. Zavella argues that these organizations provide a compelling model for negotiating across differences within constituencies. In the context of the war on women's reproductive rights and its disproportionate effect on women of color, and increased legal violence toward immigrants, The Movement for Reproductive Justice demonstrates that a truly intersectional movement built on grassroots organizing, culture shift work, and policy advocating can offer visions of strength, resiliency, and dignity for all.
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La libération sexuelle de mai 1968 a peut-être remis en question les moeurs de l’époque, mais elle n'a pas du tout interrogé les rapports de domination entre hommes et femmes, et comment ils influent sur la sexualité. Elle n’a pas analysé les stéréotypes qu’on attache aux sexualités dites « féminine » et « masculine » et qui font le lit de la culture du viol. Bref, la libération sexuelle, c’était pas la libération sexuelle des femmes. Dans cette vidéo, on va essayer de comprendre comment ces constructions sociales continuent de régir nos sexualités et comment elles banalisent les violences sexuelles. Montage : Camille Paulet - Le blog de Noémie Renard : https://antisexisme.net/ Son livre : "En finir avec la culture du viol", éditions Les Petits Matins - Le documentaire "Sexe sans consentement" : • Video - Patreon : www.patreon.com/MarinePerin uTip : utip.io/marinette Contact : marineperin @ gmail.com Twitter : @MarinePerin Instagram : @MarinettePerin
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Le regroupement « Pour les prochaines » souhaite en finir avec la culture du viol en humour, mais c'est pas gagné.
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Demi-journée d'études organisée par l'IREF, 30 mai 2019 - L’injustice épistémique : un concept pertinent pour les études féministes. Conférence de la professeure de sociologie Janik Bastien Charlebois - Les apports de la théorisation de l'injustice épistémique à l'analyse des expériences intersexes.