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Visibles et Partenaires est un colloque sur les pratiques et les recherches féministes en milieu francophone qui s’est tenu les 8, 9 et 10 mai 1997 à l’Université Laurentienne, Sudbury. Cet événement mémorable a regroupé plus de deux cents femmes de toutes les régions de l’Ontario et d’ailleurs. Plus d’une cinquantaine de conférencières provenant des milieux communautaires, universitaires et professionnels ont pris la parole et échangé avec les participantes. Visibles et Partenaires a été une occasion unique d’analyser divers aspects de la réalité des Franco-Ontariennes. Les femmes présentes ont pu partager leurs points de vue, leurs expériences, leurs savoirs. De plus, ce colloque a permis le développement de partenariats stratégiques axés sur l’action et les changements sociaux. Ce numéro de Reflets est consacré à quelques-unes des conférences qui ont été présentées lors de ce colloque.
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Une collection de quinze essais interdisciplinaires examinant l'histoire, la situation actuelle et l'évolution des alliances lesbiennes avec les féministes américaines. Les contributeurs explorent la signification sociale et esthétique des termes « lesbienne » et « féministe » dans le but de les réformer et de les renforcer.
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Cette publication de 1997 porte sur l’héritage du lieu à soi de Virginia Woolf. *** FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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Girls in male-dominated youth subcultures confront ideologies of gender which remain largely invisible and often tacitly accepted in many women's everyday lives. Punk girls choose to construct their femininity within a highly male-dominated, "masculinist," context; girls are present in such youth subcultures, but the masculine definition of their norms problematizes their participation. Thus, punk girls struggle to accommodate female gender norms within subcultural identities which are deliberately coded as "masculine." Although young women in America encounter the norms of the female gender role on a daily basis, punk girls' negotiations between the norms of femininity and those of punk open these prescriptions to critical examination which they might not otherwise be accorded. In this dissertation, I explore accounts of punk girls' engagements with both mainstream and subcultural gender norms. In constructing this account of girls' lived experiences in the punk subculture, I rely primarily upon the phenomenology, or experiential narrative, of punk girls' everyday lives. I elicited these accounts within the context of conducting participant observation in the punk scenes of four North American cities (Atlanta, Montreal, New Orleans, and San Francisco) from 1993 to 1995, conducting ethnographic interviews with forty punk girls. In the following, I explore various facets of punk girls' engagements with gender norms, including punk girls' narratives of engagement with the subculture; the construction of punk as a discourse of masculinity; punk girls' stylistic, behavioral, and discursive reconstructions of femininity; punk girls' experiences of public harassment and sexual harassment, and their strategic responses to these. I argue that these girls use the punk subculture in order to carry out resistances to varied forms of gender oppression, thereby developing stronger self-concepts in the face of adversity.
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Ce guide traite de fertilité et de milieux de travail, les agents perturbateurs, risque pour la fertilité, fertilité de la femme, de l'homme, la fécondation, santé reproductive, loi sur la santé et la sécurité du travail, les organismes.
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"La légende du défunt quartier montréalais dit du "Red Light" vaut bien celle des Soho et Pigalle de ce monde. Prospères au début du siècle, les salles de jeux enfumées et les chambres sordides de nos bas-fonds deviennent dans les années trente les derniers refuges des damnés de la crise. La guerre venue, les entrepreneurs en plaisirs défendus font des affaires d'or, en attendant que l'armée s'en mêle. La guerre finie, le Red Light renaît en force. C'est alors que Pacifique Plante et Jean Drapeau entrent en scène et procèdent à l'épuration radicale de nos moeurs. Le rideau tombe sur notre quartier "réservé". Aujourd'hui, la "Main" n'est plus qu'un coin de rue, à l'intersection de Sainte-Catherine et de Saint-Laurent. Ni ses habitués ni les passants n'ont idée de son spectaculaire passé." -- Quatrième de couverture
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Comment les circonstances spécifiques dans lesquelles nous écrivons affectent-elles ce que nous écrivons ? Comment ce que nous écrivons affecte-t-il ce que nous devenons ? Comment pouvons-nous maintenir l'intégrité professionnelle et personnelle dans l'université d'aujourd'hui ? Dans une série d'écrits traditionnels et expérimentaux, aboutissement de dix années de travaux en cours, Laurel Richardson enregistre un parcours intellectuel, déplaçant les frontières et créant de nouvelles façons de lire et d'écrire. Appliquant l'imaginaire sociologique au processus d'écriture, elle relie sa vie à son travail. Profondément engageant, écrit de manière émouvante avec grâce, élégance et clarté, le livre stimule les lecteurs à situer leur propre écriture dans des contextes personnels, sociaux et politiques.
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L’auteure examine la pertinence de la critique féministe étasunienne en musique en milieu francophone québécois. Dans un premier temps, elle propose une réflexion critique sur le féminisme étasunien en musique. Puis, elle pose la question de la pertinence de ses fondements et de ses méthodologies pour les jeunes musicien(ne)s issus du milieu culturel francophone du Québec qui, au moment d’entreprendre des études avancées, envisageraient de se consacrer à la recherche sur la pensée féministe.
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La Voz de la Mujer, La Voix de la femme en français, est le premier journal anarcha-féministe au monde. Publié en Argentine par un collectif de femmes dont la communiste libertaire Virginia Bolten, il compte neuf numéros, parus du 8 janvier 1896 au 10 mars 1897. (Wikipedia)
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This volume brings together 58 previously published essays on 19th and 20th century British and North American texts that were written from the mid-1970s to 1990 by feminist literary critics. These essays cover a variety of critical perspectives, including Anglo-American, French, Marxist, structuralist, new historicist, and psychoanalytic. The 13 sections of the book cover various issues in feminist criticism: institutions, methodologies, canon, tradition, body, desire, reading, discourse, ethnicity, history, class, men, and autobiography. Each section includes essays addressing the intersections of feminist concern with questions of class, race, sexual preference, and nationality. Contributors include Barbara Christian, Sandra M. Gilbert, Susan Gubar, Helene Cixous, and Elaine Showalter
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La compagnie de théâtre Split Britches a ouvert la voie en matière de performances lesbiennes innovantes et stimulantes au cours de la dernière décennie. Split Britches: Lesbian Practice/Feminist Performance est une célébration tant attendue du théâtre et de l'écriture de Lois Weaver, Peggy Shaw et Deborah Margolin, qui composent cette troupe exceptionnelle. Cette anthologie unique est accompagnée de : * sept des textes de performance les plus appréciés de Split Britches * une introduction critique et historique de Sue-Ellen Case * des notes de programme pour accompagner chacune des pièces * une gamme d'illustrations photographiques époustouflantes La publication des textes de la pièce Split Britches, rassemblés ici pour la première fois, offre un accès inestimable à ces célèbres pièces de performance tant pour les étudiant.e.s que pour le public des arts contemporains.
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Line Chamberland retrace la vie de femmes qui ont eu le courage de leurs amours à une époque où la condamnation sociale du lesbianisme était unanime. À partir de nombreux témoignages, l’auteure démontre de quelle façon s’exerçait le contrôle social du lesbianisme, quel rôle jouait la famille et comment diverses instances comme les institutions religieuses, l’appareil judiciaire et les autorités psychomédicales veillaient à ce que ces femmes se conforment aux diktats, les poussant parfois à la marginalité ou les obligeant à adopter diverses stratégies de dissimulation.
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Après un quart de siècle de néoféminisme, on connaît encore mal la recherche féministe et l’ampleur du travail accompli par ces chercheuses. Les auteures examinent ici les travaux qui ont porté sur la famille, la conciliation travail-famille et sur l’emploi, ceux qui ont documenté des aspects particuliers de la santé des femmes et de la violence conjugale ainsi que les nombreuses études produites dans le domaine de l’éducation. Elles mettent également en lumière les changements et les résistances révélés par les recherches dans le champ religieux, le champ politique, celui du droit de même que dans le domaine des communications. Ce faisant, elles rendent manifestes les caractéristiques de la recherche féministe québécoise, notamment les liens établis par les chercheuses entre théorie et pratique, recherche et action. Des textes de Pierrette Bouchard, Anita Caron, Renée Cloutier, Christine Corbeil, Huguette Dagenais, René B.-Dandurand, Francine Descarries, Louise Guyon, Thérèse Hamel, Geneviève Martin, Karen Messing, Josée Néron, Ann Robinson, Armande Saint-Jean, Diane-Gabrielle Tremblay et Manon Tremblay.
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Qu’est-ce que la littérature lesbienne ? Doit-il contenir des personnages ouvertement lesbiens et les présenter sous un jour positif ? L’auteurice doit-iel être ouvertement (ou secrètement) lesbienne ? Doit-il y avoir un thème lesbien et doit-il être politiquement acceptable ? Marilyn Farwell examine ici le travail d'écrivaines tels qu'Adrienne Rich, Marion Zimmer Bradley, Jeanette Winterson, Gloria Naylor et Marilyn Hacker pour répondre à ces questions. Divisant leurs écrits en deux genres : l'histoire romantique et l'histoire héroïque, ou de quête, Farwell aborde certaines des questions les plus problématiques à l'intersection de la littérature, du sexe, du genre et du postmodernisme. Illustrant comment le conflit générationnel entre les lesbiennes-féministes d’il y a vingt ans et les théoricien.nes queer d’aujourd’hui attise les feux critiques de la théorie lesbienne et littéraire contemporaine, Heterosexual plots and lesbian narratives conclut en plaidant en faveur d’une définition large et généreuse de l’écriture lesbienne.