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« La TCLCF souhaite encourager la mise en place de mesures de conciliation travail-famille dans les milieux de travail afin d’améliorer les conditions de vie des travailleuses et des travailleurs et, de ce fait, améliorer le rendement et la productivité des milieux de travail. Ce document a donc été conçu afin de servir de cadre de référence et de guide pour accompagner les milieux de travail dans la mise en place de mesures de CTF. Le document vise aussi à sensibiliser les employeurs ainsi que les travailleuses et les travailleurs à leurs droits en matière de CTF, garantis par la Loi sur les normes du travail, afin qu’ils soient mieux connus et appliqués. Dans un premier temps, un ensemble d’informations relatives à la problématique de la conciliation travail-famille est présenté. Une démarche pour mettre en place des mesures de CTF est ensuite proposée. Finalement, différents instruments de travail sont annexés afin d’outiller les employeurs et les membres de leur personnel dans l’identification des besoins de leur milieu de travail. » (2012, 3)
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« Les textes qui sont regroupés dans ce recueil ont d’abord fait l’objet de conférences et de discussions lors du colloque La coconstruction des connaissances en contexte autochtone : modalités, contraintes, perspectives, organisé par le réseau DIALOG dans le cadre du 80e Congrès annuel de l’Acfas, qui s’est tenu au Palais des congrès de Montréal en mai 2012. Dans le but de créer les conditions d’un dialogue entre les milieux universitaire et autochtone, ce colloque a rassemblé des chercheurs, des leaders et des acteurs sociaux issus de différents horizons professionnels, institutionnels et disciplinaires. Autochtones et allochtones, étudiants comme chercheurs se sont ainsi livrés à un exercice de mobilisation des connaissances qui nourrit la mission de partage et de démocratisation des savoirs et des connaissances du réseau DIALOG.» [Résumé original]
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« Presque vingt ans plus tard, la situation des réalisatrices demeure préoccupante. En février 2008, Réalisatrices Équitables (RÉ) et l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF) publient une étude sur la place des réalisatrices dans le financement public du cinéma et de la télévi- sion au Québec (Garneau, Descarries et Réalisatrices Équitables, 2008). À partir de différentes données statistiques, cette étude met au jour la marginalisation persistante des réalisatrices québécoises, particulièrement dans le domaine du long métrage de fiction. Alors que les femmes sont presque aussi nombreuses que les hommes à occuper les bancs des trois principales écoles québécoises de cinéma (43 % à 45 % des diplômés), elles sont en effet toujours beaucoup moins nombreuses que leurs camarades masculins à investir le métier et leurs projets sont moins sou- vent soumis aux différentes institutions subventionnaires que ceux des hommes. Toutes propor- tions gardées, le taux de succès de leurs demandes est par ailleurs inférieur à celui des réalisa- teurs, et les budgets qu’elles reçoivent sont, en moyenne, beaucoup plus bas que ceux qui sont octroyés aux hommes. Cette première recherche a en outre permis de constater que les réali- satrices déposent davantage de demandes auprès des institutions qui s’adressent directement aux cinéastes (Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ), Conseil des arts du Canada (CAC), Office national du film du Canada (ONF), qu’elles y ont un taux de succès supérieur à celui qu’el- les obtiennent dans les institutions qui d’adressent aux entreprises culturelles (Téléfilm Canada, SODEC), et qu’elles y reçoivent une plus importante part des budgets. » (2011, 11)
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Offerte par Relais-femmes et le Centre St-Pierre, la démarche de formation/accompagnement Osons l’avenir avec la relève! poursuit les objectifs suivants : -Soutenir les groupes communautaires et de femmes dans la réflexion et la mise en œuvre d’un plan de développement de la relève; -Partager les connaissances concernant les pratiques organisationnelles qui favorisent l’intégration et la rétention des personnes de la relève dans les groupes de femmes et communautaires; -Confronter les perceptions des groupes au sujet de la relève et observer les réactions aux changements tant de la part des individus que des organisations; -Acquérir des habiletés, des aptitudes et des compétences en lien avec l’intégration et la rétention de la relève; -Expérimenter la mise en place d'un plan de développement de la relève.
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« En 2004 et 2009, le gouvernement du Québec a mené des consultations sur une réforme du Régime des rentes du Québec. Dans les deux cas, des groupes de femmes ont déposé des mémoires s'opposant aux coupures des rentes de retraite et d'invalidité proposées et demandant qu'à la place on renforce le RRQ comme seul moyen d'assurer un niveau raisonnable de remplacement du revenu de travail après la retraite.1 De plus, nous nous sommes opposées aux propositions de rendre les rentes de conjoint survivant temporaires. » (2011, 1)
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« En effet, le projet Outiller les jeunes face à l'hypersexualisation vise à sensibiliser les jeunes et les adultes qui les accompagnent aux phénomènes de l'hypersexualisation et de la sexualisation précoce et à proposer des pistes de réflexion et d'action visant à contrer ses effets néfastes. » (2010, 07)
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Cette recherche vise à identifier la place qu'occupent les idées antiféministes et masculinistes dans la presse féminine. Une analyse de corpus du magazine Châtelaine représentant près de 30 % de l'ensemble des numéros publiés depuis sa fondation en 1960 jusqu'en 2009, permet de démontrer que la transformation du contenu en ce qui concerne le féminisme et les hommes correspond à la montée en puissance d’un ressac antiféministe dans les années 1980 et à l'émergence d'un mouvement masculiniste au Québec et ailleurs en Occident durant la même période. Les discours antiféministes et masculinistes trouvent à s'exprimer dans les chroniques mensuelles tenues par des hommes; dans les reportages portant spécifiquement sur l'activisme des groupes d'hommes et de masculinistes; dans les dossiers spéciaux ou des éditions spéciales s'intéressant à la « condition des hommes »; et, finalement, dans les commentaires publiés dans l'espace du courrier d'opinion. En parallèle, Châtelaine met de l'avant un discours néotraditionnaliste (re)valorisant les femmes-mères à la maison en opposition à la « superwoman », une image associée à la féministe malheureuse, parce que célibataire et sans enfants. Cette étude permet de conclure que Châtelaine constitue un espace important de production et de diffusion de discours critiques du féminisme à la fois sympathiques et empathiques aux revendications masculinistes, dont le lectorat est majoritairement féminin. (Résumé tiré du document)
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« En 2011, le service de leadership du Y des femmes de Montréal (maintenant appelé services jeunesse) et le service aux collectivités de l’UQAM ont produit un guide d’accompagnement pour déposer une plainte contre les images et messages à caractère sexiste et sexuel dans les médias. Ce travail est né de l’inquiétude conjointe des deux organismes quant à l’augmentation de la diffusion dans les médias d’images et de messages à caractère sexiste, sexuel ou pornographique. Il semble que les consommateurs et consommatrices soient plus défavorables aux messages ouvertement sexistes, néanmoins, les publicités continuent de présenter les femmes et les hommes dans des rôles stéréotypés. Cela est peut-être encore plus pernicieux, car plus difficile à identifier. C’est pour cette raison qu’il est important d’actualiser ledit guide. Nous disions précédemment que les stéréotypes de genre dans les publicités sexistes avaient peu évolué, mais les usages numériques et technologiques, eux, ont changé, nécessitant une mise à jour facilitant le dépôt de plainte. » (2010, 5)
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Le présent livre est inspiré d’un guide sur le genre et la planification des services de santé qui a été publié par le Centre d’excellence pour la santé des femmes — région des Prairies, en 2003. Ce guide, qui était destiné aux spécialistes de la planification sanitaire des offices régionaux de la santé du Manitoba, est devenu un « succès d’édition » auprès de divers spécialistes de la planification et gestionnaires des soins de santé intéressés à comprendre comment appliquer l’analyse des influences du genre et du sexe (AIGS) dans leur travail. Il a été bien reçu parce qu’il contenait de l’information générale sur l’analyse des influences du genre et du sexe ainsi que des études de cas pratiques utilisant des données de surveillance médicale de la population. Ces études montraient qu’il est possible de faire une AIGS lorsque les données sont recueillies et présentées selon le sexe, et que l’analyse comparative entre les sexes est essentielle pour comprendre l’état de santé et les résultats de soins relevés chez les femmes et les hommes et chez d’importantes sous-populations. Le livre actuel met à profit le succès du guide du Manitoba en élargissant le choix des données probantes et les sujets traités dans les études de cas, et en modélisant les changements dans la conceptualisation et l’application de l’AIGS qui sont survenus depuis la publication du guide.
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« Le projet Outiller les jeunes face à l’hypersexualisation est une initiative conjointe du Y des femmes de Montréal et du Service aux collectivités de l’Université du Québec à Montréal (Protocole UQAM/Relais-femmes). Le projet vise à sensibiliser les jeunes et les adultes qui les accompagnent au phénomène de l’hypersexualisation et de la sexualisation précoce et à proposer des pistes de réflexion et d’action permettant de contrer ses effets néfastes. Le projet comporte quatre volets : la réalisation d’une recherche la formation des personnes qui accompagnent les jeunes dans leur développement, la création d’outils pédagogiques (film documentaire, outils didactiques destinés aux personnels des écoles secondaires de même qu’aux milieux jeunesse afin qu’ils réalisent des activités auprès des jeunes) et enfin, la mise en œuvre d’actions multisectorielles pour combattre le phénomène. Nous présentons ici les résultats de la recherche auprès des jeunes du secondaire. C’est le fruit d’un travail d’équipe et nous aimerions donc remercier plusieurs personnes. Un merci tout d’abord aux jeunes que nous avons rencontrés. Sans eux, sans leur générosité, nous n’aurions pu comprendre ces réalités, l’hypersexualisation et la sexualisation précoce, auxquelles de plus en plus d’adolescents et d’adolescentes sont confrontés. » (2009, 3)
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« Conçu dans une perspective de soutien à l’action, le présent document présente d’abord un survol des connaissances sur le transfert des connaissances dans le domaine de la santé. Ce bilan des connaissances s’appuie sur la littérature pour identifier les principales composantes à considérer pour la mise en œuvre de pratiques plus structurées de transfert des connaissances. Une synthèse et une conceptualisation dynamique et intégrée du processus de transfert est présentée à la section suivante. En annexe, on retrouve un outil pour animer un processus de transfert des connaissances et un aide-mémoire résumant en un coup d’œil le contenu de la présente publication. Bien qu’il ait été élaboré à l’intention des acteurs de santé publique, ce document peut s’appliquer à divers contextes. Il s’adresse donc à un vaste public de gestionnaires, décideurs, intervenants, responsables de politiques publiques, œuvrant dans des sphères d’activités variées, ainsi qu’à des professionnels agissant comme agents de liaison, agents de transfert des connaissances, chercheurs ou courtiers de connaissances dans leur milieu (p. 3)
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« Dans le cadre de l’Alliance de recherche IREF/Relais‐femmes sur le mouvement des femmes québécois, notre équipe est responsable du volet intitulé ''Les modes d’organisation et les pratiques du mouvement des femmes''. Nous avons mené une recherche sur les jeunes travailleuses au sein du mouvement des femmes. » (2009, 1)
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« Les sujets abordés découlent de suggestions et d’échanges ayant eu lieu durant les ateliers de CRIAW-ICREF sur l’intersectionnalité. Ils reflètent une perspective intersectionnelle sur les politiques, les services et programmes, la recherche et l’éducation communautaire. Cette trousse n’est pas un document de réflexion critique. Elle est plutôt destinée à servir d’outil pratique et accessible à plusieurs organisations sans but lucratif ayant des missions et des mandats variés. Même s’il peut être ardu d’appliquer l’intersectionnalité pour bien des organisations sans but lucratif qui fonctionnent avec peu de personnel, de bénévoles et de moyens financiers, cette trousse propose des suggestions et des outils concrets et pratiques aux organisations intéressées à ouvrir plus grandes leurs portes aux communautés qu’elles desservent. Un monde pour tout le monde figure aussi la Roue de l’intersectionnalité de CRIAW-ICREF, un outil visuel populaire, utilisé par les militantes et chercheures pour illustrer le concept de l’intersectionnalité. » [Résumé original]
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Cet outil présente des conditions nécessaires afin d'assurer un réel croisement des savoirs des universitaires et personnes en situation de pauvreté [Résumé équipe ORPCC]. « [C]es conditions ont été mises à l’épreuve au cours de formations réalisées avec des ‘universitaires ou professionnels’ (du monde de la santé, de l’enseignement, du travail social…) et des ‘personnes en situation de pauvreté’ (membres d’associations de lutte contre la misère). S’agissant de formations réciproques utilisant la méthode de croisement des savoirs et des pratiques, ces formations sont dénommées ‘co-formations’. »(p. 2)
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« On a, jusqu’à présent, porté peu d’attention aux perceptions qu’ont les femmes et les hommes des communautés ethnoculturelles de la violence conjugale et de son traitement policier et judiciaire. De plus, nous connaissons mal leur degré de connaissance des services offerts et leur intention de recourir à ces services si une situation de violence conjugale se présentait. Cette recherche évaluative entend apporter quelques pistes de réponses à ces questions. Elle propose aussi des recommandations permettant d’améliorer l’accessibilité des services auprès des femmes immigrantes ou de communautés ethnoculturelles et de leurs enfants qui vivent dans une situation de violence conjugale. L’objectif de cette recherche a été d’évaluer les activités d’une campagne de sensibilisation à la violence conjugale initiée par le Bouclier d’Athéna Services familiaux (BASF), un organisme communautaire montréalais offrant des services de sensibilisation, de soutien, d’hébergement et de référence principalement aux femmes et aux familles de diverses communautés ethnoculturelles. Fondé en 1991, le Bouclier d’Athéna a développé une approche novatrice de sensibilisation à la violence conjugale et familiale auprès de communautés ethnoculturelles. Cette approche est fondée sur le partenariat avec des organismes des communautés ethnoculturelles. Elle inclut la production d’outils didactiques multilingues ainsi que l’utilisation des médias de ces communautés. Le Bouclier d’Athéna réalise des campagnes de sensibilisation depuis 1992. Toutefois, le présent rapport de recherche n’évalue que certaines activités de la campagne qui se sont déroulées entre août 2004 et février 2006. On a, jusqu’à présent, porté peu d’attention aux perceptions qu’ont les femmes et les hommes des communautés ethnoculturelles de la violence conjugale et de son traitement policier et judiciaire. De plus, nous connaissons mal leur degré de connaissance des services offerts et leur intention de recourir à ces services si une situation de violence conjugale se présentait. Cette recherche évaluative entend apporter quelques pistes de réponses à ces questions. Elle propose aussi des recommandations permettant d’améliorer l’accessibilité des services auprès des femmes immigrantes ou de communautés ethnoculturelles et de leurs enfants qui vivent dans une situation de violence conjugale. L’objectif de cette recherche a été d’évaluer les activités d’une campagne de sensibilisation à la violence conjugale initiée par le Bouclier d’Athéna Services familiaux (BASF), un organisme communautaire montréalais offrant des services de sensibilisation, de soutien, d’hébergement et de référence principalement aux femmes et aux familles de diverses communautés ethnoculturelles. Fondé en 1991, le Bouclier d’Athéna a développé une approche novatrice de sensibilisation à la violence conjugale et familiale auprès de communautés ethnoculturelles. Cette approche est fondée sur le partenariat avec des organismes des communautés ethnoculturelles. Elle inclut la production d’outils didactiques multilingues ainsi que l’utilisation des médias de ces communautés. Le Bouclier d’Athéna réalise des campagnes de sensibilisation depuis 1992. Toutefois, le présent rapport de recherche n’évalue que certaines activités de la campagne qui se sont déroulées entre août 2004 et février 2006. » (2008, 7)
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Ce guide pratique s’adresse aux personnes responsables de la formation dans les groupes de femmes, nationaux et régionaux, et dans les organismes communautaires qui s’intéressent à la formation continue. Il a pour objectif de susciter de nouvelles initiatives de formation à distance. Dans ce but, le guide rend d’abord compte, sommairement, des expériences pratiques de formation à distance développées, depuis 2001, dans le cadre du projet FADAFEM (Formation à distance à l’intention des groupes de femmes). Il présente ensuite une démarche pour le développement de formations à distance inspirée des expériences acquises par cinq regroupements féministes du Québec qui ont osé s’aventurer dans l’univers technologique des TIC pour y créer des formations.
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« Ce cahier DE LA PARTICIPANTE a été conçu pour accompagner l’atelier d’échanges et de formation intitulé Ridées mais pas fanées! Il vous appar- tient et vous pouvez le conserver. Cet atelier est consacré à des réflexions sur les femmes et le vieillissement. Il vise à remettre en question les pré- jugés à l’égard de l’âge et à valoriser la place et le rôle des femmes aînées dans la société. Nous considérons qu’à titre de femmes âgées de 60 ans et plus, vous êtes les expertes pour aborder ces sujets. Pour chaque module de formation, vous trouverez un texte d’introduction sur un thème, avec des données scientifiques parfois très surprenantes, puis des activités où votre participation est requise. On ne devrait pas s’ennuyer. » (2008, 4)
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« La pénurie de main-d’œuvre anticipée doit être endiguée par des mesures favorisant l’intégration en emploi de groupes sociaux actuellement marginalisés dans l’industrie : les femmes et les personnes immigrantes et de communautés ethnoculturelles. Présentement, le milieu de la construction s’avère le secteur d’emploi du Québec où les femmes sont le moins intégrées. L’augmentation du nombre de femmes sur le marché du travail n’a pourtant pas cessé de progresser au Québec, passant de 51,5 % en 1986 à 60,5 % en 2006 (IMF, emploiquebec.net). Cette croissance est loin de se refléter dans le milieu de la construction où, pourtant, un programme d’accès à l’égalité est mis en place depuis 1996 pour accroître la présence des femmes dans cette industrie. Il est donc apparu nécessaire pour l’organisme Femmes regroupées en options non traditionnelles (FRONT) d’initier un projet de recherche évaluant le niveau d’atteinte du programme d’accès à l’égalité dans le milieu de la construction et d’effectuer un bilan de la situation afin d’améliorer l’intégration et le maintien en emploi des femmes œuvrant dans cette industrie. 1 Commission de la Construction du Québec, « L'année 2007 aura été l'année d'un nouveau sommet dans la construction au Québec » et « L’industrie en chiffre », ccq.org 2 Commission de la Construction du Québec, « Nombre de femmes selon le métier et l'occupation, 1997- 2006 », portraits statistiques 2006, ccq.org 3 L’industrie de la construction (CCQ), Carrières construction, 2007-2008, p. 3. 4 Idem 9 Le présent rapport présente les résultats de cette analyse. La première section expose le contexte de mise en œuvre et les mesures du Programme d’accès à l’égalité (PAÉ) de l’industrie de la construction. La seconde établit un pronostic de la place des femmes dans les programmes de formation menant à cette industrie et documente la progression en emploi des diplômées de ce secteur. La troisième section présente les résultats d’entretiens réalisés auprès de travailleuses de la construction qui complètent les données statistiques et confirment l’existence de barrières quant à l’intégration et au maintien en emploi. Enfin, la dernière section énonce des pistes de développement pour l’avenir ainsi que des recommandations s’adressant à l’ensemble des acteurs de ce secteur. » (2008, 9-10)