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Au cours des dernières années, le dossier de la diversité liée au sexe, au genre et à l’orientation sexuelle a évolué à un rythme très rapide, tant en matière de droit que sur le plan du vocabulaire utilisé pour en illustrer les différentes facettes. Ainsi, l’acronyme bien connu LGBT s’allonge peu à peu continue à se construire. C’est dans ce contexte qu’il nous est apparu important de produire cet outil afin d’informer nos membres et de les sensibiliser à ces nouvelles réalités.
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Entre le Pays basque, le Japon et Montréal, Nerea Aizpuru mène une recherche-création documentaire sur la manière dont les femmes s’approprient ce sport mixte, où filles et garçons exécutent les mêmes mouvements, devant un même public. Elle nous parle aussi de ses contradictions : vouloir un corps normatif tout en portant un regard féministe sur elle-même, être maman, sportive, et femme à la fois. Une conversation intime sur les rapports au corps. Biographie: Avec une maîtrise en philosophie et plusieurs années d'expérience comme entraîneuse sportive, Amaia Nerea Aizpuru Arrillaga, d'origine basque, vit actuellement à Montréal et est doctorante en sociologie à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Ses recherches portent sur l’empowerment des femmes à travers le sport et le corps, tout en intégrant le travail avec l'image et le documentaire ethnographique. Sa thèse, intitulée Femmes en performance : Analyse socio-ethnographique et féministe de la pratique des CrossFiters amateurs à Bilbao et à Montréal, sera le premier projet de recherche-création présenté au département de sociologie de l’UQAM. Amaia Nerea est membre étudiante du Réseau québécois en études féministes (RéQEF) et de l'Institut de recherches et d’études féministes (IREF) depuis 2019. Enregistré durant la Tournée des cégeps à l’automne 2024 (https://iref.uqam.ca/babillard/tournee-des-cegeps-foire-feministe-feministes-dans-la-cite/). Enregistré, écrit et monté par Rajae Anys. Avec le soutien financier du CRSH.
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Dans cet épisode, on vous emmène en immersion dans plusieurs ateliers où s'entrelacent luttes intersexes, féminismes, enjeux religieux et mobilisations de terrain. Entre rencontres avec la Table des groupes de femmes de Montréal, participation à des discussions sur les droits intersexes, et réflexions autour du féminisme et de la religion, on explore une question centrale : comment les personnes en lutte féministes, intersexes, marginalisées parviennent-elles à faire valoir leurs droits au quotidien ? À travers des initiatives comme Hoodstock et des approches comme la défense collective des droits, on découvre comment se construisent des fronts communs mais aussi pour qui ils sont véritablement bénéfiques, et à qui ils profitent moins. Avec: Marie-Andrée Roy, Cassandra Exumé, Dalila Awada, Table des groupes de femmes de Montréal, Janik Bastien Charlebois Épisode enregistré durant la Foire féministe de l'IREF (27, 28 février et 1er mars 2025 - https://sites.grenadine.uqam.ca/sites/dsj/fr/foire-feministe-feministes-dans-la-cite) . Monté et écrit par Rajae Anys. Avec le soutien financier du CRSH.
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«Féminin» ou «masculin». Dès la naissance, il faut choisir. Sur les papiers d’identité, les formulaires d’inscription, les bulletins d’adhésion, il y a toujours ces deux petites cases à cocher. Comme si le monde se divisait en deux catégories, les hommes et les femmes. C’est oublier que le genre est une fiction, un discours biopolitique. C’est oublier, aussi, que l’identité n’est jamais une essence mais une construction. D’où vient cette binarité du genre ? Pourquoi la citoyenneté n’est réservée qu’aux personnes cisgenres ? Comment déconstruire ce rapport normatif entre sexe, genre et reproduction ? Pour dépasser cette dichotomie de genre, Victoire Tuaillon reçoit Paul B. Preciado, philosophe, commissaire d’exposition et auteur dans un grand entretien en deux épisodes.