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« Développée par l'équipe de la Chaire [...], SACO est une trousse d’accompagnement sous format web qui vise à soutenir les organisations dans le choix, l’implantation et l’évaluation de stratégies de transfert et d’utilisation des connaissances selon leurs besoins et les caractéristiques de leur milieu. » [Résumé original]
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Les courants féministes sont divers. Dans cette étude, nous tentons de comprendre les enjeux du débat féministe, les revendications pour lesquelles les femmes se battent et les stratégies d’actions mises en place pour changer la vie des femmes.
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Quiconque observe l’évolution de l’institutionnalisation des études féministes tant en Amérique du Nord qu’en Europe est frappé-e de constater à quel point l’usage du terme « genre » s’est répandu et s’est imposé dans le champ scientifique comme dans celui des politiques publiques et des mouvements sociaux « ne serait-ce que parce qu’il est devenu le mot-clé des institutions européennes pour promouvoir l'égalité des femmes ». (Rouch, 2002 :7).
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La première moitié du XXe siècle voit s'affirmer le droit de vote des femmes au Canada. C'est en 1917 que les femmes ont accès au suffrage fédéral. Tandis qu'en 1922 le droit de vote au niveau provincial est étendu à toutes les provinces anglophones, le Québec ne l'accordera qu'en 1940, après une longue lutte menée par des féministes telles que Marie Gérin-Lajoie, Thérèse Casgrain et Idola Saint-Jean. Le 9 février 1922, une première réclamation pour le droit de vote des femmes est présentée au Parlement. Ce sera le début d'une longue liste de défaites du projet de loi sur le suffrage féminin. Quoique présenté chaque année à partir de 1926, il sera battu chaque fois jusqu'en 1940. Ce manifeste d'Idola Saint-Jean, qui a fondé l'Alliance canadienne pour le vote des femmes du Québec en 1927, se situe dans ce contexte de revendications législatives. Même s'il est radiodiffusé à la veille du vote de février 1931, la position d'Idola Saint-Jean n'est pas entendue.
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Par son refus radical de tout système de catégories identitaires de même que de toute stratégie politique, théorique ou épistémologique qui se réclame d’un tel positionnement, le courant queer remet en question la base identitaire du mouvement des lesbiennes qui s’est constitué depuis plus d’une vingtaine d’années et déstabilise les perspectives féministes qui ont prévalu jusqu’à récemment dans la théorisation du lesbianisme. Dans cette communication, j’aimerais discuter, en tant que sociologue et féministe, certains enjeux soulevés par la pensée queer quant à la (dé)construction du sujet lesbien. En effet, une fois admis le caractère multiple et fragmenté des subjectivités individuelles, quels outils ce courant fournit-il pour penser la diversité parmi les lesbiennes et explorer concrètement les intersections entre sexualité, genre, ethnie et classe ? Alors que le lesbianisme féministe a défini le sujet lesbien comme une identité de genre et comme lieu d’une résistance politique à la domination patriarcale, l’approche dite queer ne risque-t-elle pas d’occulter de nouveau les rapports de sexe en assimilant les unes aux autres les multiples formes de transgressions sexuelles, y inclus le lesbianisme ?
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Les courants de pensée féministe Dans ce document - aussi offert en format PDF - Louise Toupin met en évidence trois grandes traditions de pensée féministe qui sont autant de points de repères qui aident à comprendre l’évolution des diverses tendances féministes. Elle décrit les traditions du féminisme libéral, du féminisme marxiste et du féminisme radical et traite des métamorphoses qu’elles ont connues ainsi que des perspectives nouvelles qui les ont traversées.
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In the winter of 1875 Miss Anthony prepared her speech on “Social Purity” and gave it first at the Grand Opera House, Chicago, March 14, in the Sunday afternoon Dime lecture course. When she reached the opera house the crowd was so dense she could not get inside and was obliged to go through the engine room and up the back way to the stage. The gentleman who was to introduce her could not make his way through the throng and so this service was gracefully performed by “Long John” Wentworth, who was seated on the stage. At the close of the address, to her surprise, A. Bronson Alcott, Parker Pillsbury and A.J. Grover came up to congratulate her. She had not known they were in the city. Mr.Alcott said: “You have stated here this afternoon, in a fearless manner, truths that I have hardly dare to think, much less to utter.” No other speaker, man or woman, ever had handled this question with such boldness and severity and the lecture produced a great sensation. Even the radical Mrs. Stanton wrote her she would again be asked to speak in Chicago, and Mr. Slayton said that she had ruined her future chances there; nevertheless she was invited by the same committee the following winter.
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Il n’existe pas à l’heure actuelle de travail ni de recherche entièrement consacré à l’analyse des mots de la participation et de leurs usages. Si la rhétorique participative est un sujet très traité, surtout dans les travaux dédiés aux nouvelles formes de participation et de la démocratie, la question des mots dont se nourrissent les acteurs et les théoriciens de la participation reste négligée. À lui seul, ce constat suffirait à reconnaître l’utilité d’un dictionnaire de la participation. Cependant d’autres raisons motivent le choix du Groupement d'intérêt scientifique Démocratie et Participation de publier ce dictionnaire. Plus de 150 auteurs sont mobilisés pour ce premier Dictionnaire critique et interdisciplinaire de la participation. Presque toutes les disciplines des sciences sociales sont ainsi représentées : la sociologie, l’anthropologie, la science politique, la géographie, la philosophie politique, l’urbanisme et l’aménagement, l’histoire, l’architecture, etc. De la même façon, la diversité de l’origine géographique, de l’appartenance générationnelle et du rattachement institutionnel et professionnel des auteurs représente une source de pluralité d’approches, de styles et de points de vue dont bénéficie le Dictionnaire.
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En Afrique de l’Ouest, de grandes inégalités entre les sexes persistent. Les femmes et les filles sont défavorisées dans de nombreux domaines et n’ont pas les mêmes opportunités que leurs homologues masculins. Le Secrétariat du CSAO a compilé les documents relatifs aux politiques et stratégies en matière de genre pour faciliter l’accès aux politiques et cadres institutionnels existants et leur diffusion.
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