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Pour cet épisode enregistré lors de la Foire féministe de l'IREF, nous nous penchons sur la question des savoirs et des pratiques féministes : comment reconnaître la richesse des différentes formes de savoirs ? Comment faire dialoguer les savoirs théoriques et les savoirs pratiques ? On explore comment la combinaison des différentes formes de savoirs peut finalement soutenir les luttes féministes et viser la transformation sociale. Avec: Rosemarie Fournier-Guillemette , Marie-Soleil Chrétien, Mylène Bigaouette, Jeanne et Ariane (Centre de solidarité Lesbien), Alexia de C'est pas notre genre, Reem al botmeh Épisode enregistré durant la Foire féministe de l'IREF (27, 28 février et 1er mars 2025 - https://sites.grenadine.uqam.ca/sites/dsj/fr/foire-feministe-feministes-dans-la-cite) . Monté et écrit par Juliette Chevet. Avec le soutien financier du CRSH.
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Maxime Fecteau nous présente quelques femmes de sciences et la manière dont elles ont utilisé leur pratique d'écriture pour diffuser leurs résultats et raconter leurs découvertes. Dans cet épisode, on explore plus spécifiquement l'exemple de Suzanne Simard. Elle montre comment l’écoféminisme propose des approches plus coopératives et éthiques envers le monde vivant, ouvrant la voie à de nouvelles façons de connaître et d’habiter la Terre. Un regard historique et sociopolitique sur les liens entre science, littérature, féminisme et environnement. Biographie: Maxime Fecteau poursuit un doctorat en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal sous la direction de Martine Delvaux. Sa recherche explore comment des scientifiques-écrivaines canadiennes, britanniques et américaines, de Rachel Carson (Under the Sea-wind, 1941) à Suzanne Simard (Finding the Mother Tree, 2021), élaborent une pensée écologique à travers le récit, l’analogie et l’autobiographie. Son recueil d’essais lyriques Fragments d’un enfant du millénaire a été publié aux éditions Nota bene en 2021. Ses textes ont paru dans plusieurs revues et collectifs, dont BESIDE, MuseMedusa et Regard d’Annie Dillard (Nota bene, 2023). Il est aussi mentor au sein de l’organisme Camp LIFT, où il outille les élèves du secondaire à apaiser leur écoanxiété en tissant des liens avec le vivant. Enregistré durant la Tournée des cégeps à l’automne 2024 (https://iref.uqam.ca/babillard/tournee-des-cegeps-foire-feministe-feministes-dans-la-cite/) par Rajae Anys et Juliette Chevet. Ecrit et monté par Juliette Chevet. Avec le soutien financier du CRSH
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Et si danser devenait un acte de résistance, un territoire à soi quand tout disparaît ? Dans cet épisode, nous partons en Arménie avec Sona Pogossian, où la danse devient un pilier identitaire face à l’enclavement, à la perte de terres, et aux blessures de l’histoire. La danse, architecture vivante et mouvante, est un territoire immatériel que l’on porte en soi. Les femmes y incarnent un double pilier : celui de la mère et celui de la nation. Dans une société où la femme est le noyau de l’identité nationale, comme dans bien d’autres luttes pour l’autodétermination, la figure maternelle devient le symbole d’un « NOUS » collectif, profond et résistant. Biographie : Artiste de la scène, Sona a suivi de multiples formations en anthropologie et pratiques des arts scéniques, dont au sein du conservatoire de Lyon, de l’université d’État de Moscou d’Art et de Culture, de l’université Paris 8, entre autres. Son parcours pluriel l’amène aujourd’hui à réaliser un doctorat (thèse-création) à l’UQAM en études et pratiques des arts, où elle tente de mettre en lumière les corporalités des femmes en phénomène de guerre. Enregistré durant la Tournée des cégeps à l’automne 2024 (https://iref.uqam.ca/babillard/tournee-des-cegeps-foire-feministe-feministes-dans-la-cite/)par Juliette Chevet et Rajae Anys. Écrit et monté par Rajae Anys. Avec le soutien financier du CRSH.
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Dans cet épisode, on explore les liens entre recherche-action, entrepreneuriat et santé au travail à travers une perspective féministe. Entre ateliers participatifs, mises en situation concrètes et discussions critiques, on interroge les inégalités de genre en entreprise, l’inclusivité au travail et les dynamiques de pouvoir dans le management. Comment accompagner autrement ? Comment transformer les pratiques plutôt que les adapter aux normes dominantes ? Une plongée dans les savoirs situés, les résistances quotidiennes et les pistes d’action pour un monde du travail plus juste. Avec: Christina Constantinidis, Mélina Dorval, Nancy Aumais, Jessica Riel, Evelyn McDuff Épisode enregistré durant la Foire féministe de l'IREF (27, 28 février et 1er mars 2025 - https://sites.grenadine.uqam.ca/sites/dsj/fr/foire-feministe-feministes-dans-la-cite) . Un épisode écrit et monté par Rajae Anys, avec le soutien financier du CRSH.
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Marie-Joseph Angélique (née à Madère, au Portugal, vers 1705 et décédée à Montréal, QC, le 21 juin 1734). Angélique est une esclave noire, la propriété de Thérèse de Couagne de Francheville à Montréal. En 1734, après que le quartier des marchands de la ville ait été rasé par le feu, elle est accusée d’avoir allumé l’incendie. Il est allégué qu’Angélique aurait commis l’acte en essayant de fuir l'esclavage. Elle est condamnée, torturée et pendue. Bien qu’on ignore toujours si elle a allumé ou non l’incendie, l’histoire d’Angélique est devenue un symbole de la résistance des Noirs et de la liberté.
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Le programme de recrutement de domestiques antillaises était un programme d’immigration ciblant les femmes originaires des Caraïbes, qui a été actif entre 1955 et 1967. Par l’entremise de ce programme, environ 3 000 Antillaises ont immigré au Canada pour y travailler comme aides domestiques. Il a ouvert la porte à un accroissement de l’immigration noire en provenance des Caraïbes, en offrant à ces femmes des possibilités d’emploi au Canada auxquelles elles n’auraient pas eu accès autrement. Cependant, les femmes ayant participé à ce programme ont souvent dû faire face à des conditions de travail difficiles et à de la discrimination raciale. (Voir Racisme.) En raison de l’évolution des politiques en matière d’immigration du Canada, ce programme a officiellement pris fin en janvier 1968. Il a été remplacé par un système de points, offrant des permis de travail temporaires. Dans les années qui ont suivi, en dépit de la fin de ce programme officiel, des Antillaises ont continué de venir travailler au Canada en tant qu’employées de maison, sur la base de visas d’emploi temporaires. (Voir aussi Programmes des travailleurs étrangers temporaires du Canada.)
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Le 9 septembre 2022, l’équipe de La Poudre était à la Fête de l’Humanité pour un enregistrement en public, qu’on glisse aujourd’hui dans vos oreilles, et on en est très contentes parce que c’était pas si simple. On a affronté les éléments, mais on y est arrivées, et on est fières de vous présenter cette table ronde sur l’ecoanxiété et les luttes féministes, qui réunissait Alizée Le Fur, Élise Thiébaut et Fatima Ouassak autour de Lauren Bastide. Débutant par un questionnement autour du terme même d’ecoanxiété (7’55), la discussion est représentative de certaines divergences autour de ces thèmes en fonction des générations (57’44). Alizée Le Fur, militante au sein de Dernière Rénovation qui s’était accrochée au filet de Roland-Garros lors de la demie-finale du tournoi en juin dernier pour dénoncer l’inaction collective face au réchauffement climatique (14’44), explique où elle trouve le courage de lutter (7’15), aborde la notion de déni léger (17’37) et appelle tout le monde à se battre (15’22). Fatima Ouassak, militante et porte-parole du collectif Front de Mères à Bagnolet (18’13), rappelle que la cause première du désastre écologique est le capitalisme (19’44). Elle s’intéresse également à la manière d’en parler aux enfants (25’20), et la place de ce combat dans l’espace médiatique (39’14). Élise Thiébaut, autrice et fondatrice de la newsletter Nouvelles lunes, évoque la pensée écoféministe visionnaire de Françoise d’Eaubonne (28’30), et rappelle que toutes les formes de domination sont reliées, par un déni du sensible (29’10). La question des petits gestes (46’56) et la mise en œuvre du collectif (41’20) permettent d’imaginer un futur politique du côté de l’espoir (59’32).
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Écoutez la série de 7 balados Mères au front pour rencontrer des femmes d’exception engagées dans la lutte pour le climat, et des outils concrets pour agir aujourd’hui et se mobiliser pour l’avenir de nos enfants.
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La production de cette balado a bénéficié du soutien financier du Réseau québécois en études féministes (RÉQEF) et s'inscrit dans le cadre du Chantier du RéQEF sur la recherche partenariale et la coconstruction des connaissances. Ont collaboré au contenu de cette balado : Mylène Bigaouette (Fédération des maisons d'hébergement pour femmes), Laurence Charleston (ConcertAction Femmes Estrie), Myriam Gervais (IGSF, Université McGill), Berthe Lacharité (Relais-femmes), Léa Mommeja (UQAM) et Julie Raby (Relais-femmes). Design et production : Lise Chovino (CDÉACF).
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Même si de nos jours les tâches domestiques sont un peu plus équitablement partagées que par le passé, historiquement, il est prouvé que la charge mentale qui conduit à leur réalisation repose traditionnellement sur les épaules de la femme dans un couple hétérosexuel. La charge mentale, c’est tout le travail en amont précise Martine B. Côté, candidate à la maîtrise en Droit à l'Université du Québec à Montréal. La charge mentale, c’est faire quelque chose et tout en pensant à autre chose. « Quand on passe l’aspirateur, c’est de penser qu’il ne reste plus beaucoup de sacs [dans l’aspirateur], et que nous avons un souper samedi alors il faudrait acheter des sacs pour passer l’aspirateur avant de recevoir les invités, et du même coup de penser qu’un invité est allergique aux arachides alors il va falloir prévoir un autre repas. » — Une citation de Martine B. Côté, candidate à la maîtrise en Droit à l'Université du Québec à Montréal Au fil des années, beaucoup se sont penchés sur la question, comme la bédéiste française Emma, dont les publications ont été vues des millions de fois. Elle vulgarise très bien [le concept] avec de petites vignettes. Elle appelle [la charge mentale] le syndrome du “Fallait demander”, explique Martine B. Côté en faisant référence à une mise en scène élaborée par l'artiste où une femme, débordée, est dans tous ses états lorsque son mari lui réplique : Il fallait demander [de l’aide]. Martine B. Côté conseille aux femmes de remplir un questionnaire, disponible sur le site de l'Association féminine d’éducation et d’action sociale, intitulé Charge mentale & bien être : où en êtes-vous?. Elle s’est elle-même prêtée à l’exercice, et selon elle, son résultat prouve à quel point la charge mentale est un défi répandu : J’ai du travail à faire, a-t-elle lancé en riant.
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Episode: Survivre au conflit - 19 nov, 2020 On a tou-te-s en tête une organisation, un groupe ou un projet qui s'est effondré à cause d'un conflit. Dans les communautés noires, souvent l'argument - qui est en passant négrophobe - est que notre problème principal est que l'on ne pourrait rien faire ensemble ou qu'il n'y a pas de soutien. La vie d'une organisation, comme tout groupe, est traversée de rapport de pouvoirs, plus ou moins explicites mais aussi de conflits voir de violence. En tant qu'afrofeministe la question des conflits et de la violence est une question centrale lorsqu'on pense aux lieux et la sécurité des femmes Noires dans les mouvements noirs Pour parler de la résolution de conflit, je reçois une compatriote diabolique haïtienne, Nathela Batraville Nathalie est professeure adjointe en études féministes à l'Université Concordia. Ses travaux portent sur l'afroféminisme, l'abolition de la prison, les théories décoloniales et queers, et les productions culturelles de l'Atlantique noir.
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Laissez-nous raconter : L’histoire crochie | Les femmes autochtones fortes, insoumises et libres ont toujours joué un rôle important au sein de leur société, mais la culture occidentale les a stéréotypées en les montrant devant être sauvées par l'homme blanc. Pocahontas, popularisé par Disney, en est le meilleur exemple. Mamu, ensemble, on réajuste les perceptions et on décolonise l'image des Autochtones. | Accédez au rattrapage et découvrez les musiques diffusées ainsi que les références de l'émission
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Dans le cabinet de la psychiatre Fatma Bouvet de la Maisonneuve, les patient.e.s se confient et notamment sur les discriminations auxquelles ils doivent faire face. Un miroir nous est tendu, s'y dessine notre société. Stéphane Mercurio nous restitue ces confidences et cet écho du monde.
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Cette semaine, on décortique le discours de la « crise de la masculinité » avec Francis Dupuis-Déri, professeur de science politique à l’UQAM et coresponsable du Chantier sur l’antiféminisme du Réseau québécois en études féministes (RéQEF). Pour regarder l’épisode en format vidéo, c’est ici : youtu.be/4PPSmsn2mW0 Veuillez noter que cet épisode a été enregistré au printemps 2022. L’opinion de l’invité a pu évoluer depuis. Animation : Charlotte Groulx Montage : Benjamin Gardenat Coordination : Anne-Sophie Thauvette Réalisation : Charlotte Groulx Production : Marie-Ève Albert et les Productions Arborescence Direction : Daphnée Atlas et Ophélie Boisvert Pour suivre le SALVAS : Instagram : instagram.com/s.a.l.v.a.s/ Facebook : facebook.com/CliniqueSALVAS Pour suivre Francis Dupuis-Déri : professeurs.uqam.ca/professeur/dupuis-deri.francis/
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On discute avec nos invité.e.s d’une multitude de sujets dans le but de s'instruire, de se questionner et de repenser les codes ensemble, sous une perspective féministe.
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« En pratique, la perspective féministe ça change quoi? », par un tandem de l’Université Laval : Isabelle Auclair, professeure agrégée en sciences de l’administration - département de management et titulaire de la Chaire Claire-Bonenfant - Femmes, Savoirs et Sociétés avec Lorena Suelves Ezquerro, doctorante en anthropologie. Présentation dans le cadre du webinaire « Recherche partenariale en violence : les hauts et les bas d’une perspective féministe », organisé par la communauté de pratique « Nouvelles-Alliances pour plus de savoirs en égalité des sexes ».
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Réalisé pour donner suite au projet Nouvelles Alliances, ce podcast jette un regard approfondi sur la recherche partenariale féministe menée entre les groupes de femmes et les milieux universitaires.
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Membre de la communauté innue de Mashteuiasth « Retour sur mon expérience comme coordonnatrice d’une recherche participative au sein de ma communauté » Présentation dans le cadre du webinaire "Recherche collaborative et diversité des réalités régionales", organisé par la communauté de pratique "Nouvelles-Alliances pour plus de savoirs en égalité des sexes".
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« Vous avez entendu parler du projet Nouvelles alliances ? Cette expérience pilote développée avec les Tables régionales des groupes de femmes et les universitaires dans deux régions du Québec – Estrie et la Capitale nationale est riche d’apprentissages et de réalisations sur les hauts et les bas de la recherche partenariale. Ce premier balado d’une mini-série réalisée pour donner suite au projet Nouvelles Alliances, jette un regard approfondi sur la recherche partenariale féministe menée entre les groupes de femmes et les milieux universitaires. » [Résumé original]