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Conférence de Paola Bacchetta, Université de Californie à Berkeley à la conférence publique «Race, colonialité et politique» organisée en collaboration avec l’Institut Simone-De Beauvoir au Congrès CIRFF2015, mercredi 26 août 2015, UQAM. 7e Congrès international des recherches féministes dans la francophonie (CIRFF2015) http://cirff2015.uqam.ca/ 24 au 28 août 2015, Université du Québec à Montréal.
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Nicole Brossard à la séance d’ouverture du 7e Congrès international des recherches féministes dans la francophonie (CIRFF2015) http://cirff2015.uqam.ca/ 24 au 28 août 2015, Université du Québec à Montréal. Plénière d’ouverture sous le thème Penser Créer Agir avec : - Nicole Brossard, poétesse, romancière, dramaturge lundi 24 août, salle Marie-Gérin-Lajoie, UQAM.
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7e Congrès international des recherches féministes dans la francophonie (CIRFF2015) Plénière d’ouverture sous le thème Penser Créer Agir avec : - Natasha Kanapé Fontaine, poète et slameuse. Lundi 24 août, salle Marie-Gérin-Lajoie, UQAM.
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Vidéo de la conférence-débat qui a eu lieu le 23 février 2015, Aux petits joueurs (59, rue Mouzaia - Paris 19e). Dans le cadre de la Semaine Anticoloniale et Antiraciste, http://www.anticolonial.net/spip.php?... Et autour du film "Ouvrir La Voix": Ouvrir La Voix est un film documentaire Afroféministe, matérialiste et intersectionnel qui s'intéresse aux Afro-descendantes d'Europe francophone. Sa sortie publique est prévue pour l'automne 2015. https://www.facebook.com/OuvrirLaVoix Durant cette discussion, la réalisatrice et des participantes du film débattent de sujets aussi divers que l'Afroféminisme, l'intersectionnalité, le racisme de gauche, les identités Afro-descendantes d'Europe, les LGBTQIAphobies, la lutte des classes, le validisme, etc. Intervenantes: Mrs Roots (https://mrsroots.wordpress.com/) Equimauves (https://equimauves.wordpress.com/) Many Chroniques (http://manychroniques.blogspot.fr/) Dictat Indignés (perleantilles.wordpress.com) Ndella Paye Amandine Gay -la réalisatrice du film-: (https://badassafrofem.wordpress.com/)
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Ce rapport vise à dresser un portrait des pratiques judiciaires en matière de criminalisation de la prostitution, de façon à justement mettre la question des rapports sociaux de sexe à l’avant-plan. Ce travail est exploratoire, notre étude s’étant limitée à un historique de la législation et à l’analyse de 128 décisions pratique de la prostitution. D’autre part, une seconde position défend l’idée d’une normalisation de l’industrie de la prostitution. On désire ici décriminaliser complètement la prostitution voire légaliser sa pratique au nom de la sécurité et de la lutte à la stigmatisation des prostituées. » (2015, 2)
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« La recherche-action collaborative permet de faire émerger toute la richesse des échanges entre praticiens réflexifs et chercheurs professionnels, tous désireux de faire évoluer la connaissance en sciences humaines et sociales. Ce livre témoigne de cette aventure collective et dresse un état des lieux de ces pratiques de recherche. En quoi tentent-elles de construire le savoir d’une manière différente, renouvelée, par rapport aux approches académiques classiques ? Que disent-elles du rapport à la réalité des acteurs sociaux et des chercheurs ? En quoi transforment-elles éventuellement le réel et quels en sont les enjeux épistémologiques ? Tour à tour les auteurs rendent compte d’expérimentations méthodologiques menées sur le terrain bien-être à l’école, accompagnement spécialisé, aide sociale à l’enfance ou développement territorial et explorent les liens complexes qui naissent de la collaboration, voire de la confrontation entre recherche et action. Si les chercheurs interrogent les pratiques, inversement les pratiques posent la question du rapport de la recherche avec la réalité. L’interrogation mutuelle permet de dépasser les frontières des disciplines et donne lieu à une politique et une éthique de la connaissance qui n’hésitent pas à reconnaître la part d’ignorance pour se définir en termes d’ouverture et de dialogue. Cet ouvrage pluridisciplinaire, rassemblant des auteurs de quatre pays, contribuera à la réflexion des étudiants et des formateurs en travail social, mais également d’autres sphères professionnelles, sur le renouvellement de la connaissance dans un « monde incertain ». Il invite les décideurs publics et acteurs du monde éducatif à poser les questions épistémologiques fondamentales et à interroger la distinction entre « le savant et le politique » (4e de couverture)
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Au Québec, il existe encore très peu de travaux sur les interventions féministes dansées. Pourtant, en intervenant directement sur le corps, la danse se présente comme une réponse d'intérêt aux préoccupations féministes. En effet, deux études québécoises indiquent que la danse peut servir à lutter contre les violences faites aux femmes et contribuer au développement, chez les participantes, d'un pouvoir d'agir qui passe par le corps. Bien que ces travaux développent des pistes intéressantes à l'égard de l'apport de la danse à l'intervention féministe, celles-ci demeurent cependant limitées (Frigon et Jenny, 2009, 2010, 2012 ; Mitta, 2008). Défrichant le terrain sur le sujet, la question de recherche suivante a été posée : Quelles sont les interventions féministes dansées au Québec et qu'en retirent les individus qui y participent? Les objectifs ont été de 1) documenter et dresser un portrait sommaire de l'intervention féministe dansée au Québec, 2) recueillir les points de vue de personnes qui y participent et 3) analyser et discuter les résultats en lien avec des théories féministes traitant du pouvoir et du corps. Ancrée dans une méthodologie féministe et qualitative, une recherche documentaire a permis de recenser quarante-cinq interventions féministes dansées au Québec entre les années 2000 et 2014. De plus, dix entretiens semi-dirigés avec des participantes ont été réalisés. L'analyse et la discussion des résultats ont contribué à offrir une vision complexifiée des résistances et du pouvoir d'agir développés par les participant-e-s dans le cadre des interventions féministes dansées. Il a été possible de constater que ces interventions sont des espaces où émergent des résistances de réappropriation du corps, de réappropriation de l'espace public et de re-signification culturelle en relation à la violence et aux oppressions vécues. En ce qui concerne le pouvoir d'agir, les ressources individuelles et collectives – dont la conscience critique corporelle – mises à l'œuvre par les participant-e-s ont été discutées. En conclusion, des pistes de réflexion sur les identités, la sexualité et l'image corporelle – telles qu'abordées par les interventions féministes dansées – permettent de faire des suggestions concernant le renouvellement de l'intervention féministe au Québec dans une perspective de troisième vague. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : danse, corps, intervention féministe au Québec, travail social féministe, troisième vague féministe, pouvoir d'agir, résistances, violence
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Depuis quelques années, l’idée que les hommes vont mal gagne des adeptes. Cette prétendue crise de la masculinité aurait une cause: les femmes, et surtout les féministes, qui domineraient la société québécoise. Des partisans de la «cause des hommes» grimpent sur les ponts pour y déployer des banderoles, intentent des poursuites judiciaires contre des militantes, prennent la parole en commissions parlementaires, font du lobbyisme auprès d’institutions politiques, publient des livres et multiplient les attaques sur le web. Certains vont même jusqu’à harceler des groupes de femmes. La première édition de cet ouvrage pionnier paru en 2008 a reçu des échos très enthousiastes jusqu’en Europe. Actualisée et bonifiée, la réédition s’intéresse au nouveau souffle de ce courant résolument antiféministe, qui tend à se cristalliser autour des réseaux sociaux. En plus de documenter le mouvement masculiniste québécois et d’expliquer comment il nuit à l’égalité entre les hommes et les femmes, ce livre expose une facette peu connue du sexisme contemporain et recense plusieurs stratégies de résistance féministe. Des textes de Janik Bastien Charlebois, Mélissa Blais, Louise Brossard, Francis Dupuis-Déri, Karine Foucault, Mathieu Jobin, Sarah Labarre, Diane Lamoureux, Ève-Marie Lampron, Josianne Lavoie, Émilie Saint-Pierre et Marie-Eve Surprenant.
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This article offers insights on how students experienced and made sense of their learning in a trimester-long high school Gay and Lesbian Literature course. Drawing on questionnaires and interviews that the students completed as part of a larger ethnographic study of this class, the author shows how a queer-themed literature curriculum is relevant for both LGBTQ-identifying and straight-identifying students and contributes to a better school climate.
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Cet article présente une étude de cas approfondie sur la manière dont les lesbiennes contemporaines utilisent les étiquettes dans le site de rencontres de niche « WomynLink.com ». En m'appuyant sur cinq mois d'ethnographie en ligne entre novembre 2011 et mars 2012, j'examine et compare l'utilisation par les membres butch, femme et queer des étiquettes et des présentations corporelles dans le salon de discussion (vidéo), les forums et les profils de WomynLink. J'ai également mené 21 entretiens en ligne via le service de discussion gratuit de WomynLink ou des services de messagerie externes tels que Skype. Je m'appuie sur la littérature sur la création de limites pour illustrer comment les membres femmes, butch et queer s'engagent dans différentes formes de travail sur les limites pour atteindre la désirabilité en ligne en réconciliant les tensions entre leur présentation corporelle genrée, l'utilisation des étiquettes et les perceptions que les autres membres ont d'eux. Les membres femmes cherchaient à mettre en valeur leur féminité, le travail de délimitation des butches mettait en évidence leur intérêt sexuel et les membres queer défendaient leur catégorie de sexe en tant que femme et leur identité sexuelle en tant que lesbienne. Ces modèles de travail sur les frontières donnent un aperçu de la façon dont l’importance des étiquettes de genre lesbiens a évolué, en particulier à l’ère contemporaine en ligne.
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Cette publication célèbre les 20 ans de FéminÉtudes et revient sur les moments forts de la revue. *** FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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Evidence shows that secure land rights have positive effects on poor people in general and women in particular, especially where households previously had little security. Several countries in Africa have been undertaking land reform initiatives that prohibit gender-based discrimination; however, the results revealed a substantial gap between the development of laws and their effective implementation. This paper draws attention to the political systems within which land tenure and property rights operate, especially for women. It also points out the main challenges in securing women’s land rights in Africa and highlights the economic, social and environmental benefits of increasing women’s access to land. The analysis shows that although many of the changes in policy and law appear to be legal and technical, access to and control over land is in practice related to socio-economic characteristics and governed by cultural practices and power relations at the family, community and country levels. The paper therefore recognizes the need for innovative approaches that go beyond property rights in operationalising strategies that strengthen women’s access to land. It is not enough for land legislation to be gender-sensitive; it must be gender-transformational. Land markets could potentially contribute to this transformation but their role is still limited by poor institutional capacity. The roles that different actors (women, men, women’s organizations, community leaders, donors) can play would be crucial in the process of securing women’s access to land in Africa.
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L'empowerment des femmes est devenu un terme omniprésent dans le domaine du développement depuis les années 1990. Face à la dépolitisation de la notion depuis sa cooptation dans le paradigme dominant du développement, il importe de remettre à l'ordre du jour la définition féministe radicale de l'empowerment, qui met l'accent sur la remise en question des rapports sociaux de domination. Ce mémoire met en lumière les aspects collectifs de l'empowerment, comme l'augmentation des capacités d'action et l'implication des individus et des groupes dans la sphère sociale et politique en vue d'une transformation des rapports de pouvoir. L'étude des rapports sociaux de domination liés au sexe, à la race et à la classe et de leur imbrication est essentielle pour comprendre la portée du concept d'empowerment dans les projets de développement. Puisque les projets d'économie sociale, tels que les coopératives féminines, en sont un type souvent implanté en vue de favoriser le renforcement du pouvoir des femmes, ce mémoire tente de comprendre la portée des projets de coopératives à favoriser l'empowerment collectif des femmes. Ce mémoire vise à illustrer le processus d'empowerment des femmes au sein d'une coopérative de travail en particulier et à comprendre les facteurs institutionnels et structurels qui l'influencent. L'étude de la consubstantialité des rapports sociaux de sexe, de race et de classe vécus par les membres de Ricomida nous éclaire sur la manière dont fonctionne l'empowerment des femmes de la coopérative. L'imbrication particulière de ces rapports sociaux, de même que la manière dont le projet est conçu et évalué, favorisent plutôt les aspects individuels de l'empowerment des femmes de Ricomida, comme le « pouvoir intérieur » et le « pouvoir sur ». Les aspects collectifs du renforcement du pouvoir des femmes, le « pouvoir de » et le « pouvoir avec » semblent toutefois se confronter à un ensemble d'obstacles. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : empowerment, femmes, coopérative, intersectionnalité, consubstantialité des rapports sociaux, Bolivie, développement.
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À l’automne 2013, au moment de la controversée Charte des valeurs visant à interdire aux fonctionnaires le port de signes religieux dits ostentatoires, des femmes et des féministes se sont organisées. Pendant que certaines se regroupaient sous des bannières faisant de la laïcité la seule garante de l’égalité des sexes, des féministes se sont saisies d’espaces de parole alternatifs pour dénoncer le déni des droits fondamentaux et la stigmatisation des femmes issues de minorités. Si l’analyse des intersections entre racisme et sexisme fait partie intégrante du champ des études féministes depuis la fin des années 1960, le contexte politique récent ramène à l’avant-plan ces questions difficiles et nous force à les revoir sous un éclairage nouveau. Qui est le sujet-femme dont parle le féminisme? Qui fait partie de ce «Nous» et quelles femmes en sont implicitement tenues à la marge? Est-ce que les revendications au cœur du féminisme actuel représentent bien les préoccupations profondes des femmes minorisées, racisées? Compte tenu de l’effervescence que connaît le féminisme ces derniers temps, il était devenu incontournable de rassembler dans un même ouvrage ces réflexions sur le thème des femmes racisées, une première dans le monde francophone. Avec des textes de Leïla Benhadjoudja, Sonia Ben Soltane, Ryoa Chung, Julie Cunningham, Naïma Hamrouni, Gaëlle Kingué Élonguélé, Chantal Maillé, Ida Ngueng Feze, Geneviève Pagé, Sandrine Ricci, Karine Rosso et Diahara Traoré. Avec la participation de Alia Al-Saji, Alexa Conradi, Viviane Michel, Maria Nengeh Mensah et Geneviève Rail.
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The following is a visual* of the Medical Industrial Complex (MIC) and is offered as a tool for our work for collective liberation.
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Most research on sexuality courses in US higher education was conducted in the 1980s and 1990s. Less is known about what is being taught in undergraduate sexuality courses today; this study sought to fill that gap. Reviewing content based on 161 courses (provided by 150 different instructors) from all regions of the USA, this study examined overall descriptions of course content and pedagogical strategies in relation to the academic position of the instructor, region of the country and course enrolment size. Results indicated similar content and pedagogical strategies employed with limited differences based on demographic characteristics. The most commonly taught subjects were sexual orientation (95.0%), communication (93.8%), gender identity (93.2%) and gender roles (93.2%). Most courses included reference to contraception (89.4%), HIV and AIDS (88.2%) and STIs (85.7%). Some notable differences included the fact that tenured or tenure-track instructors were more likely to lecture compared to non-tenure-track instructors, and 100% of courses in the West and Northeast addressed sexual orientation compared to 96% for the Midwest and 85% for the South. Most courses included discussion of pleasure (91.1%) and incorporated sexually explicit content (61.9%). The benefits and challenges of having guidelines for sexuality courses at the university/college level were explored.
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