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Résultats 6 ressources
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"Cherchant toutes à répondre à la question 'Comment prend forme la coconstruction dans ma pratique féministe de recherche?',l'interrogation nous fait plonger dans l'intimité praxéologique d'universitaires embrassant des aspirations de justice sociale. Le dévoilement des embûches, des doutes et d'expériences moins réussies offre ainsi un matériel pour tirer des leçons. [...] La parité des contributions étudiantes et professorales fait aussi la singularité de cette publication" (Préface, p. 10)
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C’est là un ouvrage de référence qui présente la recherche sur la musique, les genres et les sexualités, et plus largement la vie musicale non dominante au Québec depuis le dernier quart du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. Issu des travaux réalisés en 202-2022 par le pôle universitaire DIG! Différences et inégalités de genre dans la musique au Québec (D!G), un réseau interdisciplinaire et intersectoriel qui réunit les chercheur·ses, publics, artistes et autres professionnel·les de la musique qui s’intéressent à cette thématique, l’ouvrage comprend une revue de la littérature et une bibliographie de plus de 800 ressources scientifiques.
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Le présent cahier de données identifie les principales mesures (politiques, comités, services, outils) en matière d’égalité femmes -hommes et de développement inclusif au sein des universités du Québec et des autres régions francophones du Canada depuis les années 1960. Il souligne l’existence de deux générations de mesures, dont une première de 1960 à 2000 et une deuxième depuis 2000. À partir des années 2000, les politiques d’égalité femmes-hommes prennent un caractère plus générique. De plus, elles sont labellisées « équité, diversité et inclusion » à la suite de la publication du programme des Chaires de recherche du Canada (CRC) en matière d’équité, de diversité et d’inclusion du gouvernement canadien en 2017. Le cahier de données montre qu’il existe des périodes de convergence importantes sur le plan des mesures adoptées par les universités, en raison de l’adoption de politiques gouvernementales favorables à l’égalité femmes-hommes et au développement inclusif. En conclusion il soulève un certain nombre de questions à approfondir pour de futures recherches et plaidoyers.
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Regards sur l’éducation est le rapport de référence sur l’état de l’éducation dans le monde. Ce rapport étudie la structure, le financement et la performance des systèmes d’éducation des pays de l’OCDE et d’un certain nombre de pays partenaires. Avec plus d’une centaine de tableaux et graphiques – et de nombreux liens vers la base de données de l’OCDE sur l’éducation – Regards sur l’éducation foisonne d’informations sur les résultats des établissements d’enseignement ; l’impact de l’apprentissage ; l’accès à l’éducation, les taux de scolarisation et les parcours scolaires ; les investissements dans l’éducation ; et les enseignants, l’environnement d’apprentissage et l’organisation de l’enseignement. L’édition 2021 s’intéresse à la question de l’équité : elle étudie dans quelle mesure le sexe, le milieu socio-économique, le pays d’origine ou encore la situation géographique influencent le parcours éducatif des élèves et étudiants, et ont un impact sur les résultats en termes d’apprentissage et d’emploi. Un chapitre spécifique est consacré à la cible 4.5 de l’objectif de développement durable 4 sur l’équité dans l’éducation. Il situe les pays membres et partenaires de l’OCDE par rapport aux objectifs en matière d’égalité d’accès à une éducation de qualité à tous les niveaux d’enseignement. Deux nouveaux indicateurs sur les mécanismes et les formules utilisés pour allouer les fonds publics aux établissements et sur le taux d’attrition des enseignant.e.s complètent l’édition 2021.
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La place qu'occupe la religion dans l'espace public suscite depuis plusieurs années des débats difficiles dans la société québécoise. La Loi sur la laïcité de l'État, adoptée hâtivement par le gouvernement de la CAQ en 2019, en est la plus récente illustration. Tant par son contenu que par le processus de son adoption, la Loi 21 a provoqué des réactions passionnées. Mais que veut dire vivre et réguler la religion au quotidien au Québec à l'aune de la Loi sur la laïcité de l'État? C'est là la question à laquelle les 15 essais réunis ici tentent de répondre en examinant de façon critique les choix politiques faits par le gouvernement Legault et leurs conséquences immédiates et possibles. À partir de disciplines et de perspectives théoriques différentes, les auteurs et autrices proposent un arsenal argumentatif dont l'objectif premier est de déconstruire les raisons invoquées par le gouvernement Legault en faveur de la Loi sur la laïcité de l'État . Il apporte ainsi une contribution essentielle à un débat qui est loin d'être clos.
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Ce numéro des Cahiers de l’action est le résultat des échanges de longue durée qui ont eu lieu au sein du groupe de travail sur « les intermédiations action-recherche » impulsé par la plateforme Alliance Sciences et Sociétés (ALLISS). L’idée de ce groupe de travail faisait suite aux discussions engagées dans le cadre du colloque-forum IRISS de 2015 et du livre blanc Prendre au sérieux la société de la connaissance publié en 2017. Ces étapes de réflexion ont permis de souligner l’importance des activités de mise en relation entre sciences et sociétés. Elles contribuent à valoriser dans l’espace public la question de l’ouverture de la recherche scientifique et à populariser les enjeux politiques et scientifiques de la reconnaissance des recherches citoyennes. Or cette relation entre sciences et sociétés ne va pas de soi. Elle suppose d’être identifiée et envisagée comme un phénomène engageant une mutation des pratiques professionnelles, des rapports aux savoirs et aux lieux de production des connaissances dans un but d’enrichissement mutuel. L’objet de ce numéro est de tirer quelques enseignements des discussions qui ont pu être menées sur ce sujet depuis 2015, en particulier autour de la notion d’intermédiation Ce numéro cherche donc à restituer à la fois la variété des pratiques évoquées lors des échanges et une analyse de ces séquences afin de mieux circonscrire l’intermédiation. Pour autant, il n’en propose pas de définition stabilisée. Certains auteurs ont tenté d’établir des critères, de donner des exemples de situations d’intermédiation. D’autres, au contraire, ont souhaité prendre des distances avec une notion jugée trop « jargonnante », lui préférant par exemple celle de « médiation de recherche ». Par touches successives, ce numéro permet néanmoins de rendre compte d’un processus collectif de réflexion sur une réalité contemporaine : les enjeux d’un renforcement des coopérations de recherche entre le monde académique et les acteurs de la société (associations, ONG, collectifs, etc.).