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Résultats 36 ressources
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Une formation pour prévenir le harcèlement en culture.
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Le MOOC Ohtehra’, l’art autochtone aujourd’hui vous fera découvrir la vitalité de l’art et de la culture des Premiers Peuples à travers les œuvres des collections du Musée des beaux-arts de Montréal. Plus d’une vingtaine de personnalités autochtones (artistes, historiens et historiennes de l’art, conservateurs et conservatrices de musée) vous expliqueront en quoi l’art autochtone d’aujourd’hui dialogue avec les grands courants de l’art moderne et contemporain, mais s’en distingue aussi sur des points essentiels. Ils vous parleront également des lois coloniales qui ont cherché à éradiquer leur culture et la façon dont ils ont résisté, artistiquement et politiquement, à cette assimilation forcée. Ce cours vous offre un regard unique sur l’art et la culture autochtone d’aujourd’hui, celui des Autochtones eux-mêmes.
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« [C]ette boîte à outils sur l’impact collectif vous fournira les connaissances nécessaires pour ancrer solidement votre initiative d’impact collectif. Nous souhaitons également vous doter d’outils pratiques et utiles pour explorer les conditions préalables, les conditions de mise en œuvre et les phases d’une initiative d’impact collectif à long terme. Les outils et les ressources de cette boîte à outils sont le fruit de plus de vingt ans de travail dans le domaine du développement des communautés et de partenariats avec des acteurs et actrices de changement qui agissent à l’échelle locale partout dans le monde » (p. 6-7). On trouve dans la boîte à outils quelques indications sur le rôle des acteur·trices en recherche [Résumé équipe ORPCC]
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« Ce document présente différents outils pour développer un projet concerté dans un approche ADS+. Il est particulièrement pertinent pour les urbanistes souhaitant adopter des perspectives participatives » [Résumé équipe ORPCC]
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Les recommandations qui suivent sont formulées à partir des résultats d’une vaste programmation de recherche portant sur l’accès à la justice pour les femmes victimes de violences sexospécifiques (violence conjugale, violences sexuelles et exploitation sexuelle, sachant que ces formes de violence ne sont pas mutuellement exclusives). Trois rapports sont nés de ces nombreuses années de recherche collective. Le premier documente l’expérience des femmes victimes de violence face au système pénal à partir de leurs témoignages (Phase 1). Le second s’intéresse à l’accès à la justice pour les femmes davantage marginalisées (notamment les femmes issues de l’immigration, racisées, autochtones, en situation de handicap, sourdes et des minorités sexuelles et de genre) en s’appuyant sur les connaissances qu’en ont les intervenantes communautaires travaillant à leur côté (Phase 2). Le troisième présente les perspectives d’acteur·trice·s du système pénal concernant l’accueil et l’accompagnement des femmes dans le système judiciaire (Phase 3). Ces recommandations découlent des grands constats issus des trois phases de la recherche.
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« Ce guide, accompagné d'une vidéo et d'une balado, et croisant les paroles des groupes et des universitaires, propose un processus et des principes éthiques féministes à prendre en compte dans une recherche partenariale et participative » [Résumé équipe ORPCC]
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« Ce guide entend soutenir l’établissement de pratiques de collaboration plus égalitaires en recherche participative. Il offre une grille des éléments à considérer et à discuter pour y parvenir ainsi qu’un exemple type d’entente de recherche. Pour les membres et complices de Relais-femmes, les utilisations de cet outil dépassent largement le seul contexte de la recherche » [Résumé original]
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« La boîte à outils décoloniale offre au public un parcours d'autoformation sur les réalités autochtones. Ce parcours éducatif rassemble des ressources gratuites soigneusement sélectionnées et rédigées par des Autochtones, ou encore des ressources s’appuyant sur les connaissances autochtones. [...] Notre objectif est de fournir des ressources, nourrir vos réflexions et aider à comprendre la complexité de la décolonisation et à intégrer ce changement dans la vie quotidienne. Nous espérons que ces tremplins vous guideront dans votre cheminement personnel vers la décolonisation et vers une alliance significative entre les peuples » [Résumé original]. Plusieurs outils et principes présentés sont hautement pertinents en contexte de recherche avec les populations autochtones [Résumé équipe ORPCC]
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« En 2018, l'Incubateur universitaire de Parole d'excluEs a intégré le comité de coordination du Plan d'aménagement du Nord-Est (PANE), afin de conduire une étude sur la démarche participative et la co-construction de ce projet mis en œuvre par l'Arrondissement de Montréal-Nord et la Table de quartier de Montréal-Nord (TQMN), en collaboration avec plusieurs organismes du milieu. Cette étude visait également à identifier et accompagner les changements de posture et de pratiques opérés par les porteurs au cours du processus. [...] Cette fiche fait la synthèse du dernier module de transfert de connaissances portant sur les changements de posture et de pratiques adoptés par les professionnelLEs et cadre municipaux en contexte de co-construction. [...] Elle vise à outiller les professionnelLEs souhaitant mener des projets participatifs et co-construits avec les acteurs du milieu et les citoyenNEs. » [portions du résumé original]
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« Qui a dit que l’éthique en recherche était exclusive à l’université ? Relais‐femmes et l’Institut genre, sexualité et féminisme (Université McGill), dans le cadre de leur participation au Chantier du RéQEF sur la recherche partenariale et la coconstruction des connaissances, ont convié des représentantes des milieux de pratique à partager leurs expériences en recherche au regard de l’éthique. Huit d’entre elles ont mutualisé leurs récits afin d’expliciter les principes éthiques qui orientent leur contribution au sein de projets partenariaux. Nous présentons ici la synthèse de ces échanges qui se sont déroulés en trois temps. Un premier groupe réunissait la moitié des participantes et un second groupe, l’autre moitié. Un dernier échange auquel elles ont toutes été conviées a permis de dégager le point de vue des milieux de pratique qui est présenté en fin de document. » [Résumé original]
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« Offert dans le cadre de la série d'ateliers « enjeux de la recherche », organisée conjointement par le Service aux collectivités (SAC), le Service de la recherche et de la création (SRC) et le Service des partenariats et du soutien à l'innovation (SePSI) de l'UQAM, cette présentation aborde les dimensions à prendre en considération lors du développement d’une proposition de recherche ou de formation en partenariat avec des groupes sociaux. Elle traite des distinctions entre recherche-action participative et formation-accompagnement et des différences entre consultation et co-construction en contexte partenarial » [Résumé original]
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Depuis plus d’une décennie, les Centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) se sont investis dans l’adoption d’une approche intersectionnelle, celle-ci faisant écho à une nécessité émanant de leurs pratiques quotidiennes. Les résultats partiels de la recherche-action qui a accompagné les CALACS dans cette démarche indiquent que, malgré des efforts importants et une reconnaissance des besoins, plusieurs obstacles limitent la possibilité d’une transformation en profondeur : les résistances politiques, le choix de stratégies de premières étapes, le manque de transversalité et la présence de contraintes structurelles importantes. Ainsi, au-delà des prises de conscience, un engagement mitigé envers l’intersectionnalité, combiné aux difficultés structurelles prépondérantes et à la concrétisation ardue de principes théoriques, limite la portée du changement effectué dans les CALACS au cours des dernières années.
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Vous tenez entre les mains le résultat du travail collectif réalisé par le Comité femmes du Front commun des personnes assistées sociales du Québec (FCPASQ) et de la Fédération des femmes du Québec (FFQ). Ce livret a été écrit à partir de notre expérience, de nos réflexions et de nos recherches. Nous espérons qu’il sera utile pour un grand nombre de militantes féministes dans leur processus de création de comités femmes ou d’autres comités anti-oppressifs non mixtes !
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En 2016, nous avons réalisé une étude visant à documenter l’expérience des femmes qui témoignent en ligne de leur(s) agression(s) à caractère sexuel. Cette recherche exploratoire, intitulée « Témoigner en ligne de son agression à caractère sexuel », a été menée en collaboration avec le RQCALACS et le collectif Je Suis Indestructible (JSI), dans le cadre du Service aux collectivités de l’UQAM. Cette recherche est basée sur des entretiens menés en face à face ou par courriel avec 12 femmes âgées de 18 ans et plus, vivant au Québec, qui avaient réalisé un ou plusieurs témoignages de leur(s) agression(s) à caractère sexuel sur différents médias sociaux au cours des deux dernières années. Les femmes rencontrées nous ont donné accès à 27 témoignages qu’elles avaient produits. Nous avons mené une analyse qualitative de ce corpus, qui met l’accent sur les formes, les conditions de production et les espaces de publication des témoignages, les motivations des femmes à s’exprimer en ligne, le sens qu’elles attribuent à cette démarche, son inscription dans leur parcours et les bénéfices et les risques pour les femmes qui ont témoigné. Nous présentons ici les éléments que nous souhaitons inspirants pour les personnes (intervenantes ou pairs-es aidantes) qui soutiennent des femmes envisageant de témoigner de leur(s) agression(s) à caractère sexuel sur les médias sociaux.
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« Ce premier feuillet d’info de la série « Apprentissages croisés des systèmes de connaissances autochtones et occidentaux et l’intersectionnalité » sert d’introduction à l’approche de recherche, aux principales considérations et utilisations de ce travail. Ces feuillets d’information survolent certains éléments des modes de savoirs autochtones et occidentaux. Ils explorent les liens potentiels entre approches autochtones et occidentales en matière de création de savoirs, fournissent des exemples et identifient les risques. En outre, les feuillets d’information présentent et explorent l’intersectionnalité en tant qu’important concept complémentaire pouvant renforcer l’analyse et appuyer le travail de vérité et de réconciliation. Sept grands principes visent à orienter les universitaires, les décisionnaires politiques et toute autre personne intéressée à mener une recherche à l’écoute de la réconciliation par l’entremise de l’intersectionnalité. Enfin, douze méthodes sont illustrées par des exemples démontrant comment mener des recherches reliant des modes de savoirs autochtones et occidentaux et l’intersectionnalité » [Résumé original]
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« Ce deuxième feuillet d’info de la série « Apprentissages croisés des systèmes de connaissances autochtones et occidentaux et l’intersectionnalité » présente les fondements dans le cadre de la transposition des perspectives autochtones et occidentales. Toutefois, il n’existe pas de mode unique de savoirs autochtones ou occidentaux et donc on doit éviter de réduire des traditions vastes et variées à des termes simplistes et généraux. On souligne les risques que comporte l’intégration de ces visions du monde et on explore les cadres de recherche qui réunissent les perspectives autochtones et occidentales à la création de savoirs » [Résumé original]
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« Ce cinquième feuillet d’info de la série « Apprentissages croisés des systèmes de connaissances autochtones et occidentaux et l’intersectionnalité » s’appuie sur les sept principes mis en lumière au sein des feuillets d’informations précédents et la mise en pratique par le biais d’une foule de méthodes de recherche. Ces méthodes de recherches sont issues de savoirs autochtones et occidentaux provenant de toute l’Île de la Tortue et au-delà. Les auteures soulignent que l’utilisation de ces méthodes ne signifie toutefois pas que les principes sont automatiquement respectés. En réalité, les méthodes de recherche doivent être choisies soigneusement en prêtant attention au contexte et aux perspectives des personnes avec qui l’on travaille, afin d’éviter l’effacement des différences par la généralisation du « savoir autochtone. Ce feuillet d’information conclut la série » [Résumé original]
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« Ce site se veut à la fois le récit de Kaianishkat, un projet de formation à la recherche destinée à des femmes autochtones en communauté, et un espace de partage des outils d’accompagnement à la recherche qui ont été codéveloppés tout au long de ce projet, [...] sous forme de courtes fiches explicatives des principaux éléments à considérer dans le cadre de la réalisation d’une recherche. Ces fiches, destinées en premier lieu à des femmes autochtones souhaitant réaliser des projets de recherche en communauté, peuvent, en revanche, être utiles à quiconque veut amorcer un processus de recherche » [Portion du résumé original]
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Plus du tiers (38,6%) des 2747 élèves du secondaire sondés dans le cadre de cette étude rapportent avoir été victimes d’au moins un acte de violence en milieu scolaire, parce qu’ils sont ou parce qu’on pense qu’ils sont lesbiennes, gais, ou bisexuel-les (LGB). Au collégial, 4,5% des répondant-es rapportent avoir vécu de la violence homophobe. Ces résultats de la recherche "Impact de l’homophobie et de la violence homophobe sur la persévérance et la réussite scolaires" (Line Chamberland, chercheure principale, UQAM) révèlent que la violence à caractère homophobe n’est pas uniquement le lot d’une minorité d’élèves LGB, mais bien d’une grande proportion d’élèves, sans égard à leur orientation sexuelle, à leur sexe, à leur langue d’origine, à leur lieu de naissance ou de scolarisation, ou encore à leur niveau scolaire. Cette recherche, menée en collaboration avec des chercheur-es des universités UQAM, Concordia et McGill, visait à dresser le portrait du climat scolaire des écoles secondaires et des établissements collégiaux du Québec, en lien avec l’homophobie, ainsi qu’à étudier les impacts de la violence homophobe sur le cheminement scolaire des jeunes de minorités sexuelles qui en sont ou en ont été victimes. Dans un premier temps, un questionnaire sur l’homophobie et l’homosexualité en milieu scolaire a été rempli par des élèves de niveau secondaire 2e cycle (n=2747) et de niveau collégial (n=1844). Des entrevues ont également été menées, individuellement ou en groupe, auprès de 73 jeunes de 14 à 24 ans s’identifiant comme lesbiennes, gais, bisexuel-le-s ou en questionnement (LGBQ), provenant de familles homoparentales (F) ou s’identifiant comme transsexuel-les (T). Les questions d’entrevue portaient sur leurs expériences scolaires et personnelles en lien avec leur orientation sexuelle (ou celle d’un parent) et/ou leur identité de genre.
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This article explores the ways in which teachers describe their pedagogical and intervention practices relative to sexual diversity in Québec (Canada). Three variables closely associated with teachers who report inclusive practices emerge: experiential training (based on the experience of a lesbian, gay, or bisexual [LGB] teacher), contact training (from close acquaintance with LGB individuals), and professional training. These factors impact the probability that a teacher will refer to homosexuality, intervene when homophobic incidents occur to deconstruct prejudices, and become the confidant of LGBQ students. Results are discussed based on research on minority teachers and on the roles of straight allies in education.
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