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S'appuyant sur l'incroyable richesse de la diversité des langues, des cultures et des mouvements dans lesquels les féminismes lesbiens se sont articulés, ce livre confronte la dévalorisation historique de la politique lesbienne-féministe au sein du discours anglo-américain et déclenche une discussion transnationale et transgénérationnelle sur la pertinence des féminismes lesbiens. dans le monde d'aujourd'hui, une discussion qui remet en question la vision du féminisme lesbien comme statique et essentialiste. En examinant attentivement les débats contemporains, ces écrivai.n.es, théoricien.n.e.s, universitaires et militant.e.s examinent la place plus large des féminismes lesbiens au sein de la théorie queer, du féminisme postcolonial et du mouvement pour les droits LGBT. Il examine comment les féminismes lesbiens peuvent contribuer aux discussions sur l'intersectionnalité, s'engager dans l'activisme trans et le besoin de trans-inclusion, pour finalement montrer comment les féminismes lesbiens peuvent offrir une approche transformatrice des politiques sexuelles et de genre d'aujourd'hui.
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This encyclopedia covers LGBTQ topics in Africa, Asia, Europe, Latin America and the Caribbean, and the Middle East, as well as North America, and takes an interdisciplinary approach to the subject, using film, literature, human rights, politics, landmark legislation, activism, the arts, language, sports, and historical events as points of entry into the content.
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"Cette anthologie rassemble des points de vue d'écrivain.e.s et des textes théoriques. À la fois personnels et engagés, ces écrits montrent la richesse et la fécondité de la pensée autochtone. En plus de fournir des clefs pour la lecture et l'enseignement des littératures des Premières Nations, des Métis et des Inuits, ce livre permet de mieux comprendre les enjeux liés à leurs territoires, leurs cultures et leurs imaginaires. Ces voix invitent à penser le monde à partir des histoires qui nous fondent."--Page 4 de la couverture.
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Qu’est-ce que le féminisme au juste ? Ce dictionnaire apporte une réponse large (la contestation de l’inégalité entre les sexes), plurielle (les mouvements de femmes, les philosophies ou idéologies qui les nourrissent) et contextualisée. Il n’y a pas de définition universelle et diachronique du féminisme, forme de résistance à un contexte oppressif spécifique. La diversité des vies de militant.e.s, des moyens d’action et d’expression, des revendications et objectifs montre au contraire combien le féminisme prend les couleurs du temps et des lieux qu’il investit. Mais il est aussi, en retour, une force de transformation culturelle sociale et politique de tout premier plan. Issu de recherches universitaires récentes, ce dictionnaire est à la fois biographique et thématique. Il rend compte, avec méthode et pédagogie, de toute la richesse du mouvement féministe en France. Il pourra accompagner les découvertes et les approfondissements pour tous les publics, à l’université, dans les médias, dans les mouvements militants. En effet, le féminisme reste un mouvement peu connu ; il est pourtant à l’œuvre dans l’une des plus profondes transformations sociétales des deux derniers siècles : le recul de la domination masculine, les progrès de l’égalité des sexes et des libertés, la mise en question de la différenciation hiérarchisée (le genre). Autant de luttes toujours d’actualité, même si le féminisme d’aujourd’hui se différencie des premières mobilisations collectives pour les droits civils et politiques.
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"Arts visuel" est l'un des soixante-six textes thématiques de cette encyclopédie explorent les reconfigurations en cours des études de genre. Trois axes transversaux organisent cette enquête collective: le corps, la sexualité, les rapports sociaux. Les inégalités liées au genre sont de plus en plus envisagées en relation avec celles liées à la classe sociale, la couleur de peau, l'apparence physique, la santé ou encore l'âge. Cette approche multidimensionnelle des rapports sociaux a transformé radicalement les manières de penser la domination au sein des recherches sur le genre. En analysant les concepts, les enquêtes empiriques et les débats caractéristiques de ces transformations saillantes, les contributrices et contributeurs de cet ouvrage dessinent une cartographie critique des études de genre en ce début de XXIe siècle.
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« Ce protocole de recherche est en premier lieu un instrument collectif pour les chefs et les gestionnaires des communautés qui sont invités à participer à des projets de recherche ou à collaborer à ceux-ci. Cet instrument sert de guide aux Premières Nations, aux communautés et aux organisations régionales des Premières Nations, mais aussi indirectement à la communauté scientifique, afin de réglementer et encadrer les activités de recherche qui se déroulent sur le territoire des Premières Nations ou auprès de leur peuple respectif. […] [C]et instrument n’est pas un substitut aux outils, politiques ou guides existant au sein des Premières Nations, des communautés et des organisations des Premières Nations. Nous réitérons le fait que les Premières Nations doivent exercer leur gouvernance en matière de gestion de l’information et des connaissances collectives et qu’elles ont la responsabilité de protéger et de conserver leur patrimoine informationnel. Cet instrument est donc un outil supplémentaire pour poursuivre les actions entreprises dans ce secteur ». [Résumé original]
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« Le but de cette publication est d’offrir un guide succinct visant à initier aux modes de féminisation. Il vise surtout à encourager les pratiques de féminisation au quotidien, autant dans les activités courantes que dans la vie académique. Il vise également à étendre les pratiques de féminisation au-delà des milieux militants et féministes, en proposant une pluralité de modes de féminisation qui puissent convenir aux plus de contextes possible. Finalement, il propose aux personnes intéressées des guides et des ressources pertinentes pour approfondir le sujet. » (2014, 1) ***
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Ce Dictionnaire, unique en son genre, aborde un sujet, certes bien connu, mais qui n'en continue pas moins de susciter beaucoup d'interrogations. Sa première originalité est de traiter des sexualités dans leur ensemble et sans tabou. Autrement dit, de prendre en compte les réalités d'aujourd'hui. Très longtemps, on a parlé de la sexualité au féminin singulier. La norme était celle de l'hétérosexualité. Mais on a assisté à la multiplication des identités reconnues dans ce domaine : lesbiennes, gais, bisexuels, transgenres, queers, intersexués. Tel est aujourd'hui l'univers « des» sexualités. L'autre singularité de cet ouvrage tient à la diversité de ses approches. Il montre comment l'évolution des pratiques sexuelles a été perçue selon les pays et les civilisations, les religions, les lois, les principales familles politiques, les grandes périodes de l'histoire. Comment ces pratiques ont été abordées aussi à travers la littérature, la philosophie, la psychanalyse, la musique, le cinéma, la peinture, la danse... De nombreuses notices sont consacrées aux thèmes « incontournables » : amour, désir, érotisme, plaisir, amant, hédonisme, partenaires, rapports sexuels, séduction ou sensualité... D'autres nous entraînent vers des sujets plus insolites comme la folie, les nanosciences, la mode ou les procès pour impuissance... Janine Mossuz-Lavau a fait appel non seulement à des experts, mais aussi à des « témoins » qui relatent parfois leurs propres expériences, telle Catherine Robbe-Grillet à propos du SM. Textes et documents originaux abondent, parmi lesquels des entretiens avec Françoise Héritier et Brigitte Lahaie. Pédagogique et ludique à la fois, ce Dictionnaire fourmille d'informations inédites sur la place que les différentes formes de sexualité occupent plus que jamais dans nos vies.
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Les personnes bispirituelles, identifiées par de nombreux noms et positions tribales spécifiques au sein de leurs communautés, vivent, aiment et créent de l'art depuis des temps immémoriaux. Ce n’est cependant que dans les années 1970 que la littérature autochtone queer contemporaine a attiré l’attention du public. Même aujourd’hui, seule une poignée de livres en parlent spécifiquement, notamment la collection de 1988 Living the Spirit: A Gay American Indian Anthology. Depuis la publication de ce livre il y a vingt-trois ans, aucune autre collection n'a été publiée se concentrant explicitement sur l'écriture et l'art des peuples autochtones bispirituels et queer. Cette collection historique s'efforce de refléter la complexité des identités au sein des communautés autochtones gaies, lesbiennes, bisexuelles, transgenres, queer et bispirituelles (GLBTQ2). Rassemblant le travail d'écrivains confirmés et de nouvelles voix talentueuses, cette anthologie couvre les genres (fiction, non-fiction, poésie et essai) et les thèmes (mémoire, histoire, sexualité, indigénéité, amitié, famille, amour et perte) et représente un tournant décisif. moment dans les littératures amérindiennes et autochtones, les études queer et les intersections entre les deux. En collaboration, les pièces de Sovereign Erotics démontrent non seulement la diversité radicale des voix des écrivains autochtones GLBTQ2 d'aujourd'hui, mais également la beauté, la force et la résilience des personnes autochtones GLBTQ2 au XXIe siècle. Contributeurs : Indira Allegra, Louise Esme Cruz, Paula Gunn Allen, Qwo-Li Driskill, Laura Furlan, Janice Gould, Carrie House, Daniel Heath Justice, Maurice Kenny, Michael Koby, M. Carmen Lane, Jaynie Lara, Chip Livingston, Luna Maia , Janet McAdams, Deborah Miranda, Daniel David Moses, DM O'Brien, Malea Powell, Cheryl Savageau, Kim Shuck, Sarah Tsigeyu Sharp, James Thomas Stevens, Dan Taulapapa McMullin, William Raymond Taylor, Joel Waters et Craig Womack
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Cette monographie a été réalisée sur le mode de la recherche-action. Cette approche méthodologique suppose que les membres du collectif recensé participent activement à la production de connaissances sur leur groupe, sur leur mode d’organisation. Ce faisant, on espère que la réflexion qui s’en dégage participe aussi de la dynamique d’émancipation, d’appropriation et de partage des savoirs et des savoir-faire. On suppose donc qu’un projet vraiment émancipateur implique les actrices et acteurs du début à la fin : de la conceptualisation, à la réalisation et, finalement, à la diffusion des résultats. Concrètement, en tant que membre du CRAC-K, Julie Grolleau a approché les membres des Panthères roses à l’automne 2006. Les entrevues individuelles ont pu commencer. Sur la base des éléments dégagés de ces entrevues, un entretien collectif de retour et d’approfondissement a été effectué. Ce matériau a été analysé en suivant la codification du CRAC-K sur les questions concernant l’autonomie collective et en tenant compte des textes diffusés sur le site des Panthères roses (communiqués d’action, images, textes). Une première version de la monographie a été soumise aux membres du groupe, afin de s’assurer qu’illes s’y reconnaissent et soient en accord avec son contenu. Une seconde version mise en page leur a enfin été envoyée et c’était la fin d’un long et stimulant processus.