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Résultats 8 ressources
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C’est là un ouvrage de référence qui présente la recherche sur la musique, les genres et les sexualités, et plus largement la vie musicale non dominante au Québec depuis le dernier quart du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. Issu des travaux réalisés en 202-2022 par le pôle universitaire DIG! Différences et inégalités de genre dans la musique au Québec (D!G), un réseau interdisciplinaire et intersectoriel qui réunit les chercheur·ses, publics, artistes et autres professionnel·les de la musique qui s’intéressent à cette thématique, l’ouvrage comprend une revue de la littérature et une bibliographie de plus de 800 ressources scientifiques.
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Voici enfin traduit en français Borderlands/La Frontera, le chef-d’œuvre de la féministe chicana Gloria Anzaldúa, le livre fondateur de la pensée queer décoloniale étatsunienne. Ce livre hybride mêle les genres (essai et poésie) et les langues (anglais, différentes formes d’espagnol et quelques touches de langue indigène aztèque), pour mieux évoquer l’existence méconnue et précaire de celleux qui vivent entre deux mondes, à la frontière entre les cultures et les langues : les Chicanx dans la culture anglo-saxonne, les femmes dans la culture hispanique, les lesbiennes dans le monde hétéronormé, etc. Pour Anzaldúa, la frontière ne délimite pas des espaces, géographiques ou symboliques. Au contraire, elle crée de nouveaux territoires, les Borderlands. Dans ces « Terres frontalières » se construit une identité autre, « la nouvelle mestiza », qui rend possibles des façons inédites d’être au monde.
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Lauréat du prix Eisner 2023 du meilleur travail académique/érudit Contributions de Michelle Ann Abate, William S. Armour, Alison Bechdel, Jennifer Camper, Tesla Cariani, Matthew Cheney, Hillary Chute, Edmond (Edo) Ernest dit Alban, Ramzi Fawaz, Margaret Galvan, Justin Hall, Alison Halsall, Lara Hedberg, Susanne Hochreiter, Sheena C. Howard, Rebecca Hutton, Remus Jackson, Keiko Miyajima, Chinmay Murali, Marina Rauchenbacher, Katharina Serles, Sathyaraj Venkatesan, Jonathan Warren et Lin Young Le lecteur d'études sur les bandes dessinées LGBTQ+ explore le trésor exemplaire de bandes dessinées LGBTQ+ qui se sont regroupées dans les scènes de bandes dessinées underground et alternatives du milieu des années 1960 et dans les décennies qui ont suivi. À travers des essais perspicaces et des entretiens avec des personnalités de premier plan de la bande dessinée, les contributeurices du volume éclairent les opportunités critiques, les interactions actuelles et les orientations futures de ces bandes dessinées. Ce volume largement illustré s'intéresse au travail d'artistes éminent.e.s du monde entier, tels que Howard Cruse, Edie Fake, Justin Hall, Jennifer Camper et Alison Bechdel, dont les œuvres emblématiques sont reproduites dans le volume. En outre, il aborde et remet en question les possibilités des bandes dessinées LGBTQ+ à partir de diverses positions scientifiques et de multiples avantages géographiques, couvrant une gamme d'expériences vécues queer. En cours de route, certaines pierres de touche LGBTQ+ émergent de manière organique et inévitable : la fierté, le coming out, les familles choisies, la santé sexuelle, le genre, le risque et la libération. Présentant des personnalités de la bande dessinée dans toute la gamme de l'industrie, des universitaires renommé.e.s aux créateurices émergent.e.s et artistes de webcomics, le livre explore une gamme d'approches de la bande dessinée LGBTQ+ : histoire queer, théorie du genre et de la sexualité, études de la mémoire, médecine graphique, études de genre, biographie, et plus encore – et témoigne de la diversité des formes de publication et des médias qui façonnent les bandes dessinées queer et leurs communautés de lecture.
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« Au croisement étoilé de la négritude et de la transidentité, l’accidentelle et lumineuse poésie de nos vies lancée au monde. » Dans cet ouvrage collectif, la parole est donnée exclusivement à des personnes trans noires, vivant en France pour la grande majorité. Ce recueil coordonné par Michaëla Danjé, femme trans membre et co-fondatrice de Cases Rebelles, contient des essais, de la fiction, de la poésie, des interviews, etc. Ce livre est constitué d’une multiplicité de voix, de perspectives et d’expériences diverses. Différentes générations sont également représentées. AfroTrans est beau, complexe, riche de lumière, d’amour et de force !
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Plutôt que de réduire le féminisme à des revendications faites à l’État, au patron, au chef ou à papa, pour plus de lois, plus de “sécurité”, à n’être que le porte-drapeau ou le cache-misère du capitalisme, de tel ou tel gouvernement nationaliste, ces histoires des féminismes présents rappellent et font résonner ensemble nos vies féministes. Ce livre fonctionne comme un abécédaire, un manuel, une boîte à outils, un dictionnaire amoureux, dans lequel échanger des idées, affûter des armes, écouter des voix, partager des expériences et des pratiques, vibrer pour des luttes présentes. Il s’adresse à tous·tes : il contient à la fois des ressources et foisonne de références utiles, de notions, mais il est fabriqué par des plumes et des voix, des points de vue situés sur des retours d’expériences collectives, des itinéraires politiques et intimes, des réflexions et des rétrospections sur des parcours, des engagements, des révoltes et des espoirs. En pluralisant les styles, en se situant à la fois du côté de la théorie et de la pratique, de la création, des écritures au “nous” et au “je”, il témoigne de la force d’une approche féministe de l’histoire intellectuelle et politique. Il est dédié à toutes les résistantes anonymes au quotidien des violences les plus crasses, à celles qui embrasent les tribunaux, cassent des genoux et brisent les vitrines, à celles qui inventent mille tactiques imperceptibles pour survivre et se mettre à l’abri, à la mémoire de celles dont les noms recouvrent les murs de nos villes la nuit, à la puissance des collectifs qui se font, à ceux qui se sont défaits, qui se sont (re)constitués ailleurs ou autrement, à ce qui nous lie.
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Stone butch blues raconte l’histoire de Jess, né·e aux États-Unis dans les années 1950 au sein d’une famille juive et prolétaire. De son enfance rythmée par les interrogations des passant·e·s sur son genre (« c’est un garçon ou c’est une fille ? ») à son adolescence et sa découverte des bars de nuit où se côtoient lesbiennes, drag queens et travailleuses du sexe, de ses premières embauches en usine avec d’autres butchs à sa transition, jusqu’à sa rencontre avec le mouvement LGBT naissant, son parcours traverse les décennies et nous parle d’amour, d’amitié, de politique, d’identité. Par dessus tout, Stone butch blues est un hommage à la solidarité et à la construction de ces communautés qui nous permettent de tenir ensemble et de survivre à la violence de ce monde.
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A groundbreaking collection tracing the history of intellectual thought by Black Lesbian writers, in the tradition of The New Press’s perennial seller Words of Fire “Briona Simone Jones’s anthology Mouths of Rain is an audacious, unapologetic, transgressive collection of Black ‘queer’ writing across genre, time, identity, age, and political leanings. This sister/companion to Words of Fire, published thirty years ago, makes visible—again—our passionate and unwavering commitments to the eradication of all oppressions. It bears witness to the necessity and power of the field of Black Lesbian Studies and is a love offering to us all.” —Beverly Guy-Sheftall, Anna Julia Cooper Professor of Women’s Studies at Spelman College and editor of Words of Fire: An Anthology of African-American Feminist Thought Winner, Publishing Triangle’s Judy Grahn Award for Lesbian Nonfiction Winner, Lambda Literary Award in LGBTQ Anthology African American lesbian writers and theorists have made extraordinary contributions to feminist theory, activism, and writing. Mouths of Rain, the companion anthology to Beverly Guy-Sheftall’s classic Words of Fire, traces the long history of intellectual thought produced by Black Lesbian writers, spanning the nineteenth century through the twenty-first century. Using “Black Lesbian” as a capacious signifier, Mouths of Rain includes writing by Black women who have shared intimate and loving relationships with other women, as well as Black women who see bonding as mutual, Black women who have self-identified as lesbian, Black women who have written about Black Lesbians, and Black women who theorize about and see the word lesbian as a political descriptor that disrupts and critiques capitalism, heterosexism, and heteropatriarchy. Taking its title from a poem by Audre Lorde, Mouths of Rain addresses pervasive issues such as misogynoir and anti-blackness while also attending to love, romance, “coming out,” and the erotic
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« Ce livre/site est composé d'une série de courts chapitres synthétiques, accompagnés de références commentées, qui nourriront la réflexion des lecteurs et lectrices sur le type de recherche qu'ils et elles souhaitent faire et qui les accompagneront dans la rédaction de leur projet de recherche » [Portion du résumé original], incluant recherche collaborative, recherche-action et recherche partenariale [Résumé équipe ORPCC]