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Initié sous l’égide de l’Institut de recherches et d’études féministes de l’Université du Québec à Montréal (IREF-UQAM), le projet Pour une diversification des voix féministes dans l’enseignement francophone: traduction de textes théoriques à des fins pédagogiques cherche à rendre disponible à la communauté universitaire francophone des textes théoriques en provenance des études féministes, queers et décoloniales. L’objectif est de valoriser la diffusion de textes encore peu lus et étudiés dans la recherche en langue française, ainsi que de promouvoir des écrits de personnes historiquement marginalisées qui ne sont toujours pas disponibles en français. Soucieuses d’accroître la diversité et l’inclusion des voix minorisées dans la recherche féministe francophone, les membres de l’équipe souhaitent faire traduire des textes fondateurs issus des marges. Ce projet est actuellement mené par des chercheuses cisgenres eurodescendantes qui désirent se positionner en alliées et faciliter le partage d’expériences et de sensibilités différentes des leurs. En cohérence avec cette démarche, toutes les étapes de production des textes se veulent les plus inclusives possibles, dans le but de mettre en place un vivier d’échange, de transfert et de collaboration entre traducteurices, réviseur∙es et lecteurices sensibles issu·es d’une diversité d’expériences (de sexe, de genre, de race, etc.). Par ailleurs, la « Note sur la traduction » qui accompagne chacun des textes témoigne en toute transparence du processus de production des textes et détaille les choix posés par l’équipe. ISSN 2818-0704
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C’est là un ouvrage de référence qui présente la recherche sur la musique, les genres et les sexualités, et plus largement la vie musicale non dominante au Québec depuis le dernier quart du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. Issu des travaux réalisés en 202-2022 par le pôle universitaire DIG! Différences et inégalités de genre dans la musique au Québec (D!G), un réseau interdisciplinaire et intersectoriel qui réunit les chercheur·ses, publics, artistes et autres professionnel·les de la musique qui s’intéressent à cette thématique, l’ouvrage comprend une revue de la littérature et une bibliographie de plus de 800 ressources scientifiques.
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« L’objectif principal du guide est de présenter les outils essentiels à la mobilisation des connaissances. Grâce à ce guide, vous serez en mesure de/d’ : • Interroger votre posture au sein d’un projet de recherche et la finalité de votre travail; • Réfléchir aux conditions de réalisation d’un projet ancré dans le milieu; • Acquérir une meilleure compréhension des principes qui sous-tendent la mobilisation des connaissances, dont celui de coconstruction; • Élaborer une stratégie de recherche qui favorise le dialogue entre la science et la société; • Sélectionner et utiliser les outils et les méthodes appropriés pour un projet de mobilisation des connaissances.» [Extrait original page 6]
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« Ce guide a été créé dans l'objectif d'outiller les étudiantes et les étudiants des cycles supérieurs sur certains aspects de la recherche et de la publication scientifique. Il offre des réponses et identifie des ressources sur les enjeux du travail collaboratif et les questions concernant le droit d'auteur, le plagiat ou la co-auteurité. Il vise ainsi à prévenir les conflits pouvant survenir au sein des équipes de travail et à apporter une meilleure compréhension des droits et responsabilités de chacune et chacun dans un cadre collaboratif » [Portion du résumé original]. On y trouve également des outils s'appliquant en contexte de recherche partenariale [Résumé équipe ORPCC]
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Voici enfin traduit en français Borderlands/La Frontera, le chef-d’œuvre de la féministe chicana Gloria Anzaldúa, le livre fondateur de la pensée queer décoloniale étatsunienne. Ce livre hybride mêle les genres (essai et poésie) et les langues (anglais, différentes formes d’espagnol et quelques touches de langue indigène aztèque), pour mieux évoquer l’existence méconnue et précaire de celleux qui vivent entre deux mondes, à la frontière entre les cultures et les langues : les Chicanx dans la culture anglo-saxonne, les femmes dans la culture hispanique, les lesbiennes dans le monde hétéronormé, etc. Pour Anzaldúa, la frontière ne délimite pas des espaces, géographiques ou symboliques. Au contraire, elle crée de nouveaux territoires, les Borderlands. Dans ces « Terres frontalières » se construit une identité autre, « la nouvelle mestiza », qui rend possibles des façons inédites d’être au monde.
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Lieu commun dans les sciences sociales et dans certains cercles militants, féministes et antiracistes en particulier, la notion d’intersectionnalité alimente dernièrement l’une des grandes paniques morales dont notre époque est coutumière : elle serait synonyme de « communautarisme », de « séparatisme ». Ce n’est absolument pas le cas, comme le montre ce livre riche, synthétique et vivant, qui a pour ambition d’introduire le concept auprès d’un large lectorat. Il s’agit d’un outil d’analyse des situations de tort, généralement constituées d’oppressions imbriquées. L’analyse intersectionnelle ne consiste pas à plaquer des notions génériques (la triade « race, classe, genre ») sur des faits, mais à développer une perception fine et située du caractère relationnel des oppressions. L’intersectionnalité est en outre une pratique critique ayant la justice sociale pour horizon. En ce sens, elle ne se réduit pas au champ académique, loin de là. Les autrices font commencer son histoire dans les années 1960-1970, avec les pratiques intellectuelles et politiques de femmes non blanches et, plus spécifiquement encore, avec le féminisme noir et chicano de cette période. Puis elles expliquent comment cette approche s’est institutionnalisée et mondialisée à partir de la fin des années 1980. La pédagogie critique inspirée de Paulo Freire constitue un autre axe généalogique, plus inattendu, développé dans l’ouvrage. Ni communautariste, ni individualiste, ni victimaire, l’approche intersectionnelle souligne donc le caractère social et concret des identités, individuelles comme collectives, dans une perspective émancipatrice.
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Lauréat du prix Eisner 2023 du meilleur travail académique/érudit Contributions de Michelle Ann Abate, William S. Armour, Alison Bechdel, Jennifer Camper, Tesla Cariani, Matthew Cheney, Hillary Chute, Edmond (Edo) Ernest dit Alban, Ramzi Fawaz, Margaret Galvan, Justin Hall, Alison Halsall, Lara Hedberg, Susanne Hochreiter, Sheena C. Howard, Rebecca Hutton, Remus Jackson, Keiko Miyajima, Chinmay Murali, Marina Rauchenbacher, Katharina Serles, Sathyaraj Venkatesan, Jonathan Warren et Lin Young Le lecteur d'études sur les bandes dessinées LGBTQ+ explore le trésor exemplaire de bandes dessinées LGBTQ+ qui se sont regroupées dans les scènes de bandes dessinées underground et alternatives du milieu des années 1960 et dans les décennies qui ont suivi. À travers des essais perspicaces et des entretiens avec des personnalités de premier plan de la bande dessinée, les contributeurices du volume éclairent les opportunités critiques, les interactions actuelles et les orientations futures de ces bandes dessinées. Ce volume largement illustré s'intéresse au travail d'artistes éminent.e.s du monde entier, tels que Howard Cruse, Edie Fake, Justin Hall, Jennifer Camper et Alison Bechdel, dont les œuvres emblématiques sont reproduites dans le volume. En outre, il aborde et remet en question les possibilités des bandes dessinées LGBTQ+ à partir de diverses positions scientifiques et de multiples avantages géographiques, couvrant une gamme d'expériences vécues queer. En cours de route, certaines pierres de touche LGBTQ+ émergent de manière organique et inévitable : la fierté, le coming out, les familles choisies, la santé sexuelle, le genre, le risque et la libération. Présentant des personnalités de la bande dessinée dans toute la gamme de l'industrie, des universitaires renommé.e.s aux créateurices émergent.e.s et artistes de webcomics, le livre explore une gamme d'approches de la bande dessinée LGBTQ+ : histoire queer, théorie du genre et de la sexualité, études de la mémoire, médecine graphique, études de genre, biographie, et plus encore – et témoigne de la diversité des formes de publication et des médias qui façonnent les bandes dessinées queer et leurs communautés de lecture.
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L'intersectionnalité est une théorie féministe qui analyse les différentes formes d’oppression et les hiérarchies de pouvoir. En plus du genre, elle prend en compte plusieurs facteurs sociodémographiques et elle examine comment ces facteurs peuvent interagir de façon simultanée. Cette théorie permet de mettre en évidence les rapports de pouvoir qui existent entre différents groupes. Elle appelle à réfléchir sur les positions qu’une personne occupe et sur les privilèges dont elle dispose là où elle vit. La théorie de l'intersectionnalité suscite beaucoup d'intérêt et elle provoque des débats qui contribuent à faire progresser l'analyse dans les mouvements sociaux et féministes.
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« Par quel étrange paradoxe le contrat social, censé instituer la liberté et l'égalité civiles, a-t-il maintenu les femmes dans un état de subordination ? Pourquoi, dans le nouvel ordre social, celles-ci n'ont-elles pas accédé, en même temps que les hommes, à la condition d'« individus » émancipés ? Les théories du contrat social, héritées de Locke et de Rousseau, et renouvelées depuis Rawls, ne peuvent ignorer les enjeux de justice que soulève le genre. Carole Pateman montre, dans cet ouvrage désormais classique, que le passage de l'ordre ancien du statut à une société moderne du contrat ne marque en rien la fin du patriarcat. La philosophe met ainsi au jour l'envers refoulé du contrat social : le « contrat sexuel », qui, via le partage entre sphère privée et sphère publique, fonde la liberté des hommes sur la domination des femmes. Il s'agit là moins d'exploitation que de subordination, comme le démontre l'autrice en analysant le contrat de mariage, mais aussi l'ensemble des contrats touchant à la propriété de la personne, de la prostitution à la maternité de substitution, jusqu'à l'esclavage et au salariat. Ainsi s'engage, à partir du féminisme, une critique de la philosophie politique libérale dans son principe même : pour Carole Pateman, un ordre social libre ne peut en aucun cas être de type contractuel. »-- Quatrième de couverture.
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« La Boîte à outils des principes de la recherche en contexte autochtone s’adresse à tous ceux qui souhaitent apprendre ou approfondir leurs connaissances dans le domaine de la recherche en contexte autochtone. La Boîte à outils vise à rassembler et à mettre à la disposition de tous des outils existants (questionnaires d’évaluation, formulaires de consentement, réflexions sur le sujet de l’éthique et de la collaboration, vidéos explicatives, etc.) qui peuvent s’avérer utiles dans l’élaboration d’une recherche collaborative à la fois éthique, respectueuse, équitable et réciproque » [Résumé tiré de : https://observatoire-ia.ulaval.ca/boite-a-outils-des-principes-de-la-recherche-en-contexte-autochtone-ethique-respect-equite-reciprocite-collaboration-et-culture/]
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« Au croisement étoilé de la négritude et de la transidentité, l’accidentelle et lumineuse poésie de nos vies lancée au monde. » Dans cet ouvrage collectif, la parole est donnée exclusivement à des personnes trans noires, vivant en France pour la grande majorité. Ce recueil coordonné par Michaëla Danjé, femme trans membre et co-fondatrice de Cases Rebelles, contient des essais, de la fiction, de la poésie, des interviews, etc. Ce livre est constitué d’une multiplicité de voix, de perspectives et d’expériences diverses. Différentes générations sont également représentées. AfroTrans est beau, complexe, riche de lumière, d’amour et de force !
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Plutôt que de réduire le féminisme à des revendications faites à l’État, au patron, au chef ou à papa, pour plus de lois, plus de “sécurité”, à n’être que le porte-drapeau ou le cache-misère du capitalisme, de tel ou tel gouvernement nationaliste, ces histoires des féminismes présents rappellent et font résonner ensemble nos vies féministes. Ce livre fonctionne comme un abécédaire, un manuel, une boîte à outils, un dictionnaire amoureux, dans lequel échanger des idées, affûter des armes, écouter des voix, partager des expériences et des pratiques, vibrer pour des luttes présentes. Il s’adresse à tous·tes : il contient à la fois des ressources et foisonne de références utiles, de notions, mais il est fabriqué par des plumes et des voix, des points de vue situés sur des retours d’expériences collectives, des itinéraires politiques et intimes, des réflexions et des rétrospections sur des parcours, des engagements, des révoltes et des espoirs. En pluralisant les styles, en se situant à la fois du côté de la théorie et de la pratique, de la création, des écritures au “nous” et au “je”, il témoigne de la force d’une approche féministe de l’histoire intellectuelle et politique. Il est dédié à toutes les résistantes anonymes au quotidien des violences les plus crasses, à celles qui embrasent les tribunaux, cassent des genoux et brisent les vitrines, à celles qui inventent mille tactiques imperceptibles pour survivre et se mettre à l’abri, à la mémoire de celles dont les noms recouvrent les murs de nos villes la nuit, à la puissance des collectifs qui se font, à ceux qui se sont défaits, qui se sont (re)constitués ailleurs ou autrement, à ce qui nous lie.
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Stone butch blues raconte l’histoire de Jess, né·e aux États-Unis dans les années 1950 au sein d’une famille juive et prolétaire. De son enfance rythmée par les interrogations des passant·e·s sur son genre (« c’est un garçon ou c’est une fille ? ») à son adolescence et sa découverte des bars de nuit où se côtoient lesbiennes, drag queens et travailleuses du sexe, de ses premières embauches en usine avec d’autres butchs à sa transition, jusqu’à sa rencontre avec le mouvement LGBT naissant, son parcours traverse les décennies et nous parle d’amour, d’amitié, de politique, d’identité. Par dessus tout, Stone butch blues est un hommage à la solidarité et à la construction de ces communautés qui nous permettent de tenir ensemble et de survivre à la violence de ce monde.
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Ce lexique, non-exhaustif, permet de se familiariser avec les termes et concepts fréquemment utilisés en études et recherches féministes. Non prescriptif et destiné à des fins pédagogiques, ce lexique propose des définitions de termes présents dans les textes relatifs aux études féministes. Il ne s'agit pas d'un guide des bonnes pratiques en vigueur, mais plutôt d’un reflet de la pluralité des termes qui ont été utilisés au fil du développement de la discipline, afin de mieux comprendre leurs contraintes, leurs portées et leurs impacts dans les études féministes. Ce lexique a été produit à des fins pédagogiques et ne se veut pas une source de référence à être reproduite et distribuée, puisque les sources utilisées pour construire le document ne sont pas identifiées pour chaque item précisément. La bibliographie ci-dessous indique les sources consultées pour construire le lexique, qui est librement inspiré et/ou retranscrit dans son entièreté.
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A groundbreaking collection tracing the history of intellectual thought by Black Lesbian writers, in the tradition of The New Press’s perennial seller Words of Fire “Briona Simone Jones’s anthology Mouths of Rain is an audacious, unapologetic, transgressive collection of Black ‘queer’ writing across genre, time, identity, age, and political leanings. This sister/companion to Words of Fire, published thirty years ago, makes visible—again—our passionate and unwavering commitments to the eradication of all oppressions. It bears witness to the necessity and power of the field of Black Lesbian Studies and is a love offering to us all.” —Beverly Guy-Sheftall, Anna Julia Cooper Professor of Women’s Studies at Spelman College and editor of Words of Fire: An Anthology of African-American Feminist Thought Winner, Publishing Triangle’s Judy Grahn Award for Lesbian Nonfiction Winner, Lambda Literary Award in LGBTQ Anthology African American lesbian writers and theorists have made extraordinary contributions to feminist theory, activism, and writing. Mouths of Rain, the companion anthology to Beverly Guy-Sheftall’s classic Words of Fire, traces the long history of intellectual thought produced by Black Lesbian writers, spanning the nineteenth century through the twenty-first century. Using “Black Lesbian” as a capacious signifier, Mouths of Rain includes writing by Black women who have shared intimate and loving relationships with other women, as well as Black women who see bonding as mutual, Black women who have self-identified as lesbian, Black women who have written about Black Lesbians, and Black women who theorize about and see the word lesbian as a political descriptor that disrupts and critiques capitalism, heterosexism, and heteropatriarchy. Taking its title from a poem by Audre Lorde, Mouths of Rain addresses pervasive issues such as misogynoir and anti-blackness while also attending to love, romance, “coming out,” and the erotic
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« This handbook is for community-serving organizations including, but not limited to, community groups, not-for-profit organizations, public and private foundations and local, provincial and federal government agencies. This handbook is designed to help community organizations gain a practical understanding of community-engaged research. It also provides a guiding framework for developing a CER project. This handbook can also be useful for students, early-career researchers and anyone who is curious about using research to advance community interests » (p. 7)
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« Ce livre/site est composé d'une série de courts chapitres synthétiques, accompagnés de références commentées, qui nourriront la réflexion des lecteurs et lectrices sur le type de recherche qu'ils et elles souhaitent faire et qui les accompagneront dans la rédaction de leur projet de recherche » [Portion du résumé original], incluant recherche collaborative, recherche-action et recherche partenariale [Résumé équipe ORPCC]
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« Le Cadre de référence en recherche par et pour les Autochtones en milieu urbain au Québec vise à améliorer l’exercice de la recherche afin : • d’améliorer les compétences et l’autonomie en recherche des organisations autochtones urbaines, dont les Centres d’amitié et le RCAAQ; • de rétablir la confiance des Autochtones envers le monde scientifique de la recherche en fondant la démarche sur une collaboration équitable et des rapports égalitaires; • d’assurer que la recherche bénéficie aux Autochtones et à leurs organisations en milieu urbain. Il est utile pour les personnes suivantes : • les Autochtones, qui vivent ou sont de passage en milieu urbain, et qui participent à un projet de recherche dans un des Centres d’amitié autochtones du Québec; • les organisations autochtones urbaines, dont les Centres d’amitié et le RCAAQ, ainsi que leurs membres et leurs équipes; • les chercheurs, les étudiants, les groupes de recherche et les comités d’éthique du milieu universitaire ou privé; • les autres acteurs touchés, de près ou de loin, par la recherche autochtone en milieu urbain » (p. 9)
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This handbook provides a much-needed holistic overview of disability and sexuality research andscholarship. With authors from a wide range of disciplines and representing a diversity of nationalities, it provides a multi-perspectival view that fully captures the diversity of issues and outlooks. Organised into six parts, the contributors explore long-standing issues such as the psychological, interpersonal, social, political and cultural barriers to sexual access that idsabled people face and their struggle for sexual rights and participation. The volume also engages issues that have been on the periphery of the discourse, such as sexual accomodations and support aimed at facilitating disabled people's sexual well-being; the socio-sexual tensions confronting disabled people with intersecting stigmatised identities such as LGBTBI or asexual; and the sexual concerns of disabled people in the Global South. It interrogates disability and sexuality from diverse perspectives, from more traditional psychological and sociological models, to various subversive and post-theoretical perspectives and queer theory. This handbook examines the cutting-edge, and sometimes ethically contentious, concerns that have been repressed in the field. With current, international and comprehensive content, this book is essential reading for students, academics and researchers in the areas of disability, gender and sexuality, as well as applied disciplines such as healthcare pratictionners, counsellors, psychology trainees and social workers.
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La capsule «Rédaction féministe et inclusive» (2020) présente des méthodes inclusives pour la rédaction et l’expression orale au quotidien, et justifie l’importance de tels outils. Elle a été produite par le Carrefour pédagogique et technopédagogique de l’UQAM grâce à une subvention accordée en 2018-2019, par le Vice-rectorat aux systèmes d’information de l’UQAM, dans le cadre du programme d’aide pour l’enseignement en ligne.