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Spanning 125 years, Art and Queer Culture is the first major historical survey to consider the ways in which the codes and cultures of homosexuality have provided a creative resource for visual artists. Attempts to trouble the conventions of gender and sexuality, to highlight the performative aspects of identity and to oppose the tyranny of the normal are all woven into the historical fabric of homosexuality and its representation. From Oscar Wilde to Ryan Trecartin, from the molly houses of eighteenth-century London to the Harlem drag balls of the 1920s, the flamboyant refusal of social and sexual norms has fuelled the creation of queer art and life throughout the modern period. Although the book proceeds in a chronological fashion, it does not propose a progressive narrative in which homosexuals become increasingly adept at negotiating the circumstances of censorship and overcoming the terms of stigma and invisibility. The dialogue between art and queer culture does not move towards ever more affirmative images of equality and dignity. Rather than countering homophobia with 'positive' images of assimilation, many of the artists and photographers featured in this book draw upon, and even draw out, the deviant force of homosexuality. Art and Queer Culture includes not only pictures made and displayed under the rubric of fine art but also those intended for private, underground or otherwise restricted audiences. Scrapbooks, amateur artworks, cartoons, bar murals, anonymous photographs, activist posters, all appear in its pages, as do paintings, sculptures, art photographs and video installations. Writing queer culture into the history of art means redrawing the boundaries of what counts as art as well as what counts as history. It means searching for cracks in the partition that separates 'high' art from 'low' culture and in the divide between public achievement and private life
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"À l'initiative du collectif "Décoloniser les arts", Leila Cukierman, Gerty Dambury et Françoise Vergès analysent, avec quinze artistes, la colonialité à l'œuvre dans le monde des arts et de la culture en France et proposent des pistes pour une décolonisation des formations, des institutions et des contenus. Décolonisons les arts!, vaste et passionnant objectif, est abordé à partir de pratiques et de textes critiques qui étudient l'absence de formes de narrations prenant à rebours le récit national. L'ouvrage est une invitation à ouvrir le regard et à prêter l'oreille à la transversalité des récits, un appel à se rassembler pour transformer le champ culturel et artistique où la décolonisation vise à l'émancipation créatrice et à une nécessaire et urgente transformation du monde."--Page 4 de la couverture.
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À partir de son expérience personnelle comme commissaire d’exposition, de constats effectués au cours de l’été 2008 en Suède et des travaux de différents chercheurs, l’historien d’art Patrik Steorn formule une critique queer du musée permettant non seulement de considérer une plus grande multitude de sexualités et de genres (homo-, bi-, trans-), mais aussi de dénoncer l’hétéronormativité des regards, des discours et des pratiques en place ; le queer relevant autant de l’identité que d’un outil analytique critique de cette même identité. Il part d’un constat assez simple : celui de la non-prise en compte des critères relatifs aux sexualités (hétéro-, homo-, bi-, trans-) dans les bases de données des collections muséales qu’il étudie et explique alors comment ces critères de recherche reconduisent les catégories établies et produisent du sens quant à la manière (partielle et partiale) de voir et de vouloir montrer du musée.
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En 1975, Laura Mulvey publie Plaisir visuel et cinéma narratif, texte polémique qui met en lumière la manière dont la forme filmique serait structurée par l’inconscient de la société patriarcale. C’est l’essai fondateur des études féministes sur le cinéma. Rédigés entre 1975 et 2011, les textes choisis dans ce volume sont marqués par la redécouverte féministe de la psychanalyse et les transformations induites par le développement des technologies numériques. Qu’elle s’attache à des genres ou à des auteurs incontournables (le western, le mélodrame, Ophüls, Hitchcock, Godard), qu’elle incarne l’avènement d’un « spectateur pensif », qu’elle analyse les paradoxes de l’esthétique hollywoodienne ou la compilation de films de propagande coloniale, Laura Mulvey fait preuve d’une cinéphilie active et engagée.
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Otherwise: Imagining queer feminist art histories" is the first publication to address queer feminist politics, methods and theories in relation to the visual arts, including new media, installation and performance art. Despite the crucial contribution of considerations of 'queer' to feminism in other disciplines of the humanities, and the strong impact of feminist art history on queer visual theory, a visible and influential queer feminist art history has remained elusive. This book fills the gap by offering a range of essays by key North American and European scholars, both emerging and renowned, who address the historiographic and political questions arising from the relationship between art history and queer theory in order to help map exclusions and to offer models of a new queer feminist art historical or curatorial approach.
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Entre 1750 et 1850, l'univers des beaux-arts connaît de profondes mutations, dont l'une des conséquences est la banalisation d'une image positive de la dame artiste. Progressivement, des barrières s'abaissent, des contraintes se desserrent et la pratique de la peinture est rendue plus accessible aux femmes. S'ouvre alors une période de créativité foisonnante associée aux noms--parfois oubliés aujourd'hui--d'Elisabeth Vigée-Lebrun, Adélaïde Labille-Guiard, Marie-Guillemine Benoist, Marguerite Gérard, Constance Mayer, Victoire Jaquotot, Lizinka de Mirbel, Rosa Bonheur ...
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La place et le rôle des femmes dans l'art et dans le spectacle vivant, entre 1912 et 2012, aux lisières de la performance et de la danse. A l'heure des re-enactements et autres remakes des performances historiques, il semblait important de s'interroger sur la place des femmes dans les avant-gardes des années 1910-1970. Quel regard portons-nous, aujourd'hui, sur les pionnières qui ont profondément modifié la danse et la performance, en Europe et aux Etats-Unis ? Réunis pour la première fois, des historiens, des philosophes, des danseurs et deux chorégraphes ont accepté de faire le point sur leurs recherches. Par-delà les catégories artistiques (danse, performance, action, pantomime, théâtre, music-hall...) et les clivages (théorie / pratique ; forme / fond), ce livre est une invitation à partager leurs questionnements sur le spectacle vivant « au féminin », ses archives et ses références. Femmes, attitudes performatives rassemble dix contributions, une « interview performative » de La Ribot et un entretien sur La Part du rite de Latifa Laâbissi et Isabelle Launay.
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La volonté de ce projet de maîtrise consiste à analyser la manière dont les représentations de figures genderqueers en art actuel participent à une réflexion critique des notions d'identité et de sexualité comme lieux privilégiés de résistance à l'hétéronormativité. Je souhaite démontrer à quel point la représentation du corps queerisé peut agir comme espace stratégique d'une repolitisation de la sexualité et de l'identité et ainsi contribuer à une micropolitique de résistance. Par le truchement des politiques et théories queers et féministes, les pratiques artistiques polymorphes de J.J. Levine, Dorothée Smith, Nina Arsenault et Virginie Jourdain questionnent et critiquent l'hétéronormativité et ses discours pour en dévoiler les principaux axiomes idéologiques et ainsi en déconstruire l'apparente naturalité. Dans l'objectif de comprendre et d'articuler les enjeux que sous-tendent les théories féministes et queers actuelles, je vais m'attarder plus spécifiquement à en circonscrire les prémisses enracinées dans le contexte postmoderne. En revisitant des auteurs clés tels Michel Foucault et Judith Butler, je souhaite mettre en lumière leurs contributions intellectuelles et théoriques pour la constitution d'une pensée critique des identités et des sexualités. Les représentations de figures genderqueers en art actuel participent ainsi d'une déconstruction des présupposés immanents de l'hétéronormativité dont le genre est en quelque sorte l'ancrage ontologique. En jouant de ces codes hégémoniques de manière à en désamorcer la violence symbolique, Smith, Levine, Jourdain et Arsenault participent à une remise en cause des concepts même d'identité et de sexualité pour nous faire entrevoir de possibles subjectivations dissidentes. À la source de mes réflexions, il y a ainsi une volonté épistémologique de produire un savoir mutant, progéniture androgyne d'une multitude de penseurs qui n'ont de cesse de nourrir la discipline de l'histoire de l'art. Ce mémoire est donc le mariage polygame de méthodologies hétéroclites dont l'objectif ultime est la production d'un savoir queer riche et sensible. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : postmodernisme, queer, identités, sexualités, genderqueer, J.J. Levine, Dorothée Smith, Virginie Jourdain, Nina Arsenault, micropolitique de résistance, subjectivités dissidentes, hétérotopies identitaires, hétéronormativité, pharmacopornographie.
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Ce mémoire porte sur la présence de l'ironie comme stratégie esthétique et politique. Les œuvres analysées le sont dans l'objectif de connaître comment cette figure s'articule à l'intérieur de créations à contenu féministe et quels indices de l'ironie apparaissent de façon parfois récurrente. Ne prétendant pas universaliser le mode fonctionnel de l'ironie dans la militance féministe, ni dans les arts visuels, ce mémoire cherche plutôt à saisir de quelle manière l'ironie, en tant que méthode rhétorique, agit à l'intérieur de pratiques artistiques précises et distinctes les unes des autres. Le concept d'ironie est analysé principalement à partir des définitions qu'en donnent Catherine Kerbrat-Orecchioni, Linda Hutcheon et le Groupe MU, c'est-à-dire une figure avançant une affirmation et qui, à l'aide de certains éléments, en suggère à la fois la négation. Ce paradoxe qui conduit à la notion d'ambiguïté permet d'éliminer ce qui peut être perçu telle une attitude totalitaire, menant de force ou forcément le récepteur ou la réceptrice vers une Vérité. En fait, la stratégie ironique oblige à la réflexion et exerce l'esprit critique dans la mesure où le public oscille entre deux lectures contradictoires. Cette incitation à faire preuve d'une pensée critique à l'égard de thèmes fondamentaux à l'étude, notamment la notion de genre, révèle le type particulier d'engagement que propose la stratégie ironique. Ce travail se concentre sur divers courants féministes et conceptions du genre. Parmi les écoles de pensée abordées, une attention particulière est portée à l'égard de la philosophe et féministe Judith Butler. Celle-ci propose d'ouvrir les possibilités identitaires et de miser sur les différences, au-delà de la pensée binaire contraignante. Son concept de pratiques parodiques du genre a été retenu afin d'analyser subséquemment ce que la psychanalyste Joan Riviere qualifie de " mascarade de la féminité "· À partir de ces concepts, les pratiques artistiques de deux collectifs d'artistes, soit les Guerrilla Girls et Les Fermières Obsédées, ainsi que de l'artiste Dana Wyse seront abordées de sorte à faire voir des variantes postmodernes qui élargiraient la définition d'un art militant. Mots clés : art et féminisme, ironie, genre, pratiques parodiques, Guerrilla Girls, Les Fermières Obsédées, Dana Wyse.
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"Si l'histoire de l'art s'est depuis longtemps intéressée à ceux qui la pensent et l'écrivent, donnant matière à maints études et ouvrages de fond (dictionnaires, essais, anthologie ...), ce n'est que relativement récemment, depuis la toute fin des années 1980, qu'elle prend en compte les femmes à l'oeuvre dans la pratique et l'écriture de l'histoire des arts visuels. Issu d'un colloque consacré aux historiennes de l'art à l'époque de Juliette Récamier, cet ouvrage explore et donne à voir les carrières, les postures et les points de vue de femmes sur l'art durant une petite centaine d'années de 1760 à 1840, période d'intenses bouleversements dans toute Europe faisant se confronter des regards français, anglais et allemands de praticiennes comme Élisabeth Vigée-Lebrun, de salonnières et romancières comme Marie d'Agoult ou Germaine de Staël, ou encore de restauratrice de tableaux, de journalistes ou de critiques d'art. Ces essais mettent en évidence la variété des écrits et des stratégies mises en place par les femmes pour s'octroyer une place elle-même variable selon les cas dans un univers essentiellement masculin."--Page [4] de la couv.
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Cette anthologie, la première du genre en langue française, retrace l'histoire complexe de quarante années de théories féministes anglo-américaines en histoire de l'art, à partir d'exemples détaillés et emblématiques. Les premiers écrits abordent l'histoire des pionnières de cette théorisation féministe, avec des écrits de Lucy Lippard, une analyse rétrospective des caractéristiques du mouvement californien des années 1970 ou des réceptions polémiques de The Dinner Party. Une seconde partie est consacrée à des textes qui s'attachent à une relecture de l'histoire de l'art des siècles passés, que ce soit le point de vue de Griselda Pollock, des « vieilles maîtresses » à une théorisation des espaces de la féminité, ou des approches plus marxistes du travail des artistes. Le troisième volet regroupe de nouvelles perspectives : l'analyse des masculinités à l'époque moderne et dans les performances des années 1960-1970, puis une approche des problématiques spécifiques aux artistes de couleurs, notamment afro-américaines. Enfin, deux études permettent de faire le point sur le développement postféministe en art et les questions queer. Cette sélection, issue d'un vaste répertoire, permet d'aborder les différentes conceptions théoriques des études féministes, de genre et queer en art qui se sont succédées et répondues des années 1970 aux années 2000.
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L'histoire de l'accès des femmes à la pratique artistique depuis la fin du XIXe siècle. Etudie l'ouverture des académies parisiennes aux femmes, les femmes dans les avant-gardes du XXe siècle (fauvisme, cubisme, surréalisme, etc.), leur place dans la danse, la photographie, les arts décoratifs et le cinéma, les réseaux et galeries réunissant des femmes artistes, le féminisme dans l'art, etc.
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Extrait de la couverture : "Etendue d'une information véritablement européenne, ouverture, multiplicité des apporches, diversités des points de vue et des regards croisés composent un ensemble touffu, foisonnant et stimulant. Ce qui frappe d'abord, c'est l'ampleur des perspectives spatiales - de la Russie aux Etats-Unis, de l'Angleterre, dominante, à l'Italie et à l'Espagne - et tout autant temporelles : du Moyen Age au féminisme actuel de Susan fAludi. Grâce à la variété culturelle des auteurs, on respire hors des confins de l'hexagone. Il y a, dans ce livre, une volonté critique, un désir de lutter contre les idées reçues, notamment en ce qui concerne la chronologie de l'histoire des femmes, la revalorisation d'une époque moderne qu'on ne cesse de redécouvrir et l'impact des Révolutions, qu'on dévaluerait plutôt. Cet ouvrage fournit, en outre, un panorama comparatif des recherches littéraires sur les femmes en Europe, un état des lieux particulièrement exhaustif pour la Grande-Bretagne, mais aussi pour l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne. Instrument de travail, il offre un bilan réconfortant. On mesure à quel point ce type d'études s'est développé depuis trente ans. La mise en perspective européemme de ce livre est salutaire... De ce point de vue, ce livre sonne comme un avertissement et une invitations. Signe d'aviditlé, il dit l'urgence de l'ouverture et la nécessité de dépasser les frontières pour confluer vers l'objet commun (extraits de la préface de Michelle Perrot)"
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"Adresses Internet p. 112-113."Contient : Editorial : un raz de marée, par Catherine Millet et Richard Leydier, p. 5-7. Chapitre 1 : Elles débarquent! : L'acte pour l'art, par Louis-José Lestocart, p. 10-14 ; Bandes de femmes, par Bernard Joubert, p. 15-21 ; Éros féminin surréel, par Victoria Combalía, p. 22-27 ; Ellen von Unwerth. Naughty Girls!, interview par Richard Leydier, p. 28-31 ; Organes et orgasmes. Sur quelques chanteuses sexy, par Stéphane Pencréac'h, Stéphane Ruiz et Richard Leydier, p. 32-36; Dans le train fantôme de Catherine Breillat, témoignages recueillis par Brigitte Ollier, p. 37-40 ; Clarisse Hahn. La sexualité dans le tissu de la vie, interview par Catherine Millet et Louis-José Lestocart, p. 41-44 ; Portfolio #1 : Aude du Pasquier-Grall, Sonia Koumskoff-Raissi, Nicole Tran Ba Vang, Ornela Vorpsi, Friedl Kubelka, Anne Dion., p. 45-50. Chapitre 2 : Un autre porno : Angela, Loulou et les autres ... Quand les femmes prennent la caméra, par Stéphane Ruiz, p. 52-60 ; Monika Treut. Female Misbehavior, par Thibaut de Ruyter, p. 61-65 ; Maria Beatty. De la surface à la profondeur, par Catherine Corringer, p. 66-70 ; Shu Lea Cheang. Un genre en soi, Interview par Louis-José Lestocart, p. 71-74 ; Il y a une vie après le X : Brigitte, Tabatha, Ilona et Traci, par Laurent Goumarre, p. 75-80 ; Ovidie, plus librement, interview par Laurent Goumarre, p. 81-84 ; Portfolio #2 : Kiki Seror, Virginie Boursette, Béatrice Cussol, Bettina Rheims, Pascale Lafay, Diana Michener, p. 85-90. Chapitre 3 : Autoportraits : Lamia Ziadé. "Je suis une vraie petite femme d'intérieur", interview par Brigitte Ollier, p. 92-96 ; Chloë des Lysses. Une femme en danger, interview par Richard Leydier, p. 97-101 ; Madeleine Berkhemer. Élastique, érotique, par Alix Rozès, p. 102-105 ; Elke Krystufek. Le miroir qui met à nu, interview par Joerg Bader, p. 106-109 ; La pornographie, to remember, par Judith Brouste, p. 110-111 ; Les femmes sur le Web, par Chloë des Lysses, p. 112-113.
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Finally, a look at the role of women in the shaping of the high-spirited—but hardly feminist—Dada monement. For all of its iconoclasm, the Dada spirit was not without repression, and the Dada movement was not without misogynist tendencies. Indeed, the word Dada evokes the idea of the male—both as father and as domineering authority. Thus female colleagues were to be seen not heard, nurturers not usurpers, pleasant not disruptive.This book is the first to make the case that women's changing role in European and American society was critical to Dada. Debates about birth control and suffrage, a declining male population and expanding female workforce, the emergence of the New Woman, and Freudianism were among the forces that contributed to the Dadaist enterprise. Among the female dadaists discussed are the German émigré Baroness Elsa von Freytag-Loringhoven; Berlin dadaist Hannah Höch; French dadaists Juliette Roche and Suzanne Duchamp; Zurich dadaists Sophie Taeuber and Emmy Hennings; expatriate poet and artist Mina Loy; the "Queen of Greenwich Village," Clara Tice; Margaret Anderson and Jane Heap, the lesbian couple who ran The Little Review; and Beatrice Wood, who died in 1998 at the age of 105. The book also addresses issues of colonialist racism, cross-dressing and dandyism, and the gendering of the machine. The bibliography was compiled by the International Dada Archive (Timothy Shipe and Rudolf E. Kuenzli). Contributors Eleanor S. Apter, Barbara J. Bloemink, Willard Bohn, Carolyn Burke, William A. Camfield, Whitney Chadwick, Dorothea Dietrich, Susan Fillin-Yeh, Paul B. Franklin, Renée Riese Hubert, Marisa Januzzi, Amelia Jones, Marie T. Keller, Rudolf E. Kuenzli, Maud Lavin, Margaret A. Morgan, Dickran Tashjian, Elizabeth Hutton Turner, Barbara Zabel
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Amazons of the Avant-Garde presents work by six Russian women who contributed to the development of modern art in the first quarter of the 20th century: Alexandra Exter, Natalia Goncharova, Liubov Popova, Olga Rozanova, Varvara Stepanova, and Nadezhda Udaltsova. The catalogue includes several essays that discuss the hindrances and influences affecting women in Russian avant-garde art circles. In addition, each artist featured in the exhibition is individually discussed at length, along with biographical timelines and excerpts of their writings from letters and publications. Color reproductions of the works in the exhibition accompany the essays to form a cohesive illustration of the art world in Russia during the first decades of the 20th century and the women who changed the aesthetic canons of their time. Alexandra Exter -- Natalia Goncharova -- Liubov Popova -- Olga Rozanova -- Varvara Stepanova -- Nadezhda Udaltsova
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Dresse un panorama complet des arts vivants depuis 1960 : happenings, théâtre et opéra d'avant-garde, danse contemporaine, art vidéo, installations multimédias. Yves Klein, Joseph Beuys, Robert Wilson, Tadeusz Kantor, Pina Bausch, Gilbert & George, Philippe Decouflé, entre autres, sont évoqués. L'ouvrage est illustré d'oeuvres européennes, américaines, japonaises et australiennes.
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How have women artists taken possession of the female body? What is the relationship between looking and embodiment in art made by women? In a series of original readings of the work of artists from Kathe Kollwitz and Georgia O'Keeffe to Helen Chadwick and Laura Godfrey-Isaacs, Rosemary Betterton explores how women artists have addressed the changing relationship between women, the body and its representation in art. In detailed critical essays that range from the analysis of maternal imagery in the work of German artists at the turn of the century to the unrepresented body in contemporary abstract painting, Betterton argues that women's art practices offer new ways of engaging with our fascinations with and fears about the female body. Reflecting the shift within feminist art over the last decade, An Intimate Distance sets the reinscription of the body within women's art practice in the context of current debates on the body, including reproductive science, maternal subjectivity and the concept of 'body horror' in relation to food, ageing and sex. Drawing on recent theories of embodiment developed within feminist philosophy and psychoanalytic theory, the essays reveal how the permeable boundaries between nature and culture, the female body and technology are being crossed in the work of women artists.
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"D'après la mythologie grecque, Ganymède était le plus bel adolescent vivant sur la terre. Zeus, le dieu suprême, étant tombé amoureux du jeune homme, prit la forme d'un aigle pour l'enlever et en faire son compagnon dans le ciel. Le rapt de Ganymède est resté le symbole de l'audace nécessaire à un amour qui défie les règles communes. Quand j'étais étudiant, deux mots étaient synonymes : homosexuel et paria. Aux hommes et aux femmes de ma génération a manqué la possibilité de découvrir, chez des modèles que le monde entier admire, une légitimation de goûts que l'opinion publique réprouve sous l'épithète de "contre nature". J'ai voulu montrer, d'une part que la persécution de l'homosexualité à partir du XIXe siècle s'explique par des raisons exclusivement économiques et politiques, d'autre part que certains des plus grands esprits, des meilleurs poètes et romanciers, compositeurs de musique, peintres et cinéastes de tous les temps, de Sapho à Platon, de Whitman à Cavafy, de Melville à Yourcenar, du Caravage à David, de Mozart à Schubert, d'Eisenstein à Visconti, ont tissé un réseau d'oeuvres qui peuvent servir désormais de culture, c'est-à-dire d'exemple et d'encouragement. Bien mieux que les paternes et hypocrites absolutions prononcées depuis cent ans par les psychiatres et psychanalystes, véritable imposture de notre temps, dévoilée ici dans un sottisier réjouissant. D.F." -- Site de l'éditeur
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