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"En 1990, Julie Delporte n'a encore jamais vu de butch, mais sa tante préférée chasse et fume le cigare. Presque vingt ans plus tard, elle publie un livre sur Tove Jansson dans lequel elle raconte avec joie que cette artiste finlandaise est la première femme à qui elle s'identifie, seulement elle était lesbienne et pas Julie. À 35 ans, après avoir surligné de toutes les couleurs son exemplaire de La pensée straight de Monique Wittig, Julie Delporte arrête de porter des robes et prend son avenir en main. Dans ce roman graphique qui fait suite à Moi aussi je voulais l'emporter, l'autrice retrace l'histoire de sa sexualité. Une histoire marquée par la violence malheureusement trop banale des agressions, comme par celle des clichés et des injonctions liés à une culture de la performance et de l'hétéronormativité."--
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Guerrilla Girls: The Art of Behaving Badly is the first book to catalog the entire career of the Guerrilla Girls from 1985 to present. The Guerrilla girls are a collective of political feminist artists who expose discrimination and corruption in art, film, politics, and pop culture all around the world. This book explores all their provocative street campaigns, unforgettable media appearances, and large-scale exhibitions. Captions by the Guerrilla Girls themselves contextualize the visuals. Explores their well-researched, intersectional takedown of the patriarchy In 1985, a group of masked feminist avengers'known as the Guerrilla Girls'papered downtown Manhattan with posters calling out the Museum of Modern Art for its lack of representation of female artists. They quickly became a global phenomenon, and the fearless activists have produced hundreds of posters, stickers, and billboards ever since. More than a monograph, this book is a call to arms. This career-spanning volume is published to coincide with their 35th anniversary. Perfect for artists, art lovers, feminists, fans of the Guerrilla Girls, students, and activists You'll love this book if you love books like Wall and Piece by Banksy, Why We March: Signs of Protest and Hope by Artisan, and Graffiti Women: Street Art from Five Continents by Nicholas Ganz.
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À partir de son expérience personnelle comme commissaire d’exposition, de constats effectués au cours de l’été 2008 en Suède et des travaux de différents chercheurs, l’historien d’art Patrik Steorn formule une critique queer du musée permettant non seulement de considérer une plus grande multitude de sexualités et de genres (homo-, bi-, trans-), mais aussi de dénoncer l’hétéronormativité des regards, des discours et des pratiques en place ; le queer relevant autant de l’identité que d’un outil analytique critique de cette même identité. Il part d’un constat assez simple : celui de la non-prise en compte des critères relatifs aux sexualités (hétéro-, homo-, bi-, trans-) dans les bases de données des collections muséales qu’il étudie et explique alors comment ces critères de recherche reconduisent les catégories établies et produisent du sens quant à la manière (partielle et partiale) de voir et de vouloir montrer du musée.
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This article explores the complex relationship between processes of making, memory, healing, and social activism activated by Walking With Our Sisters, a large-scale commemorative installation intended to foster awareness for missing and murdered Indigenous women in Canada.
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"Publication, célébrant les 40 ans d'engagement de la Centrale qui se voue au développement de l'histoire des pratiques artistiques féministes et soutient la visibilité d'artistes et d'initiatives moins ou peu représenté-es auprès des institutions culturelles établies"--Page 40.
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Solidement ancrée dans l’histoire et dans le travail des membres et artistes des dernières décennies, La Centrale Galerie Powerhouse a l’ultime privilège de pouvoir repousser les limites, questionner les frontières, mettre en place des projets de toutes sortes et diffuser une multiplicité de perspectives féministes. Aujourd’hui, le centre d’artistes présente une programmation d’expositions régulières et garde une certaine latitude pour accueillir des propositions spontanées. La passion renouvelée d’une génération à l’autre est responsable d’une tendance hyperactive qui se reflète notamment dans la programmation. Féminismes électriques revient sur la programmation des dix dernières années et les visions de membres passionnées qui ont, entre autres, donné de la visibilité à plus de 530 artistes à travers quelque 120 expositions, 14 projets de maîtrise, plus de 100 performances, 20 projections de vidéos et films d’art et plus de 75 présentations d’artistes et conférences. Cet ouvrage souligne ainsi le souffle nouveau qu’a connu le féminisme dans la dernière décennie, comment une nouvelle génération s’y intéresse, le décortique, le revendique. On y perçoit aussi un désir d’inclure les sous-représentés de l’histoire de l’art traditionnelle, des réflexions maintenant au coeur de la programmation de La Centrale. Grâce au travail effectué par ses membres et alliées, La Centrale Galerie Powerhouse occupe une place importante sur la scène de l’art actuel montréalaise et est devenue un modèle inspirant pour d’autres institutions féministes.
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Depuis la fin des années 1960, le mouvement féministe a été à l'origine d'innovations, à la fois théoriques et pratiques, qui figurent parmi les plus intéressantes de l'art contemporain. Par ailleurs, certains succès politiques du mouvement féministe ont été obtenus grâce aux artistes, qui ont proposé de nouvelles manières d'envisager les domaines privé et public, l'objet de l'art et son sujet. En soulignant la différence des sexes, le courant féministe a aussi attiré l'attention sur le rôle de l'âge, de la classe sociale, de la race et de la sexualité dans la création artistique et dans sa réception. À la fois critiques et actrices du monde de l'art, les artistes féministes ont donné un nouvel élan à l'art considéré comme démarche à la fois politique et esthétique. Cet ouvrage, conçu par Helena Reckitt, présente les expériences, les idées et les démarches actuelles d'artistes majeures, et met en évidence le lien existant entre les différentes générations d'artistes. L'essai de Peggy Phelan, théoricienne de l'art et de la performance, jette un regard original sur les interprétations classiques de l'art des femmes et propose de nouvelles clés pour comprendre les rapports mouvants entre idées et idéaux du féminisme et pratiques artistiques.
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Catalogue for the exhibition Global Feminisms, that took place at the Brooklyn Museum in 2007. The first international exhibition exclusively dedicated to feminist art from 1990 to the present. The show consists of work by approximately eighty women artists from around the world and includes work in all media—painting, sculpture, photography, film, video, installation, and performance. Its goal is not only to showcase a large sampling of contemporary feminist art from a global perspective but also to move beyond the specifically Western brand of feminism that has been perceived as the dominant voice of feminist and artistic practice since the early 1970s.This exhibition is arranged thematically and features the work of important emerging and mid-career artists.
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"Self/Image explores the ways in which contemporary artists have deployed new technologies of representation, from analogue photography to more recent artistic practices including digital imaging, performance, robotics, film and video installations, to explore and articulate shifting modes of subjectivity. This book is one of the first full-length studies to investigate the complex intersubjective relations among these diverse artistic practices." "Including over 100 illustrations from mainstream film to independent film, video art, performance and the visual arts, this important and original book provides an excellent companion to more general studies of contemporary art history, and media and cultural studies in the post-1960 period."--Résumé de l'éditeur.
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Il y a plus de 20 ans, en tant qu’historienne de l’art, j’avais posé la question à savoir si l’apport des femmes en art contemporain allait changer quelque chose à la pratique artistique et comment, de même qu’à la pratique de la critique et de l’histoire de l’art1. Ce qui suit est une évocation des principaux questionnements que l’art des femmes et les féminismes en art ont amenés au sein de l’art contemporain. La pratique de l’art mais aussi les pratiques muséologiques ont-elles été affectées par l’arrivée en nombre des femmes sur la scène de l’art moderne et contemporain ? La question des femmes recèle-t-elle encore une pertinence dans le monde de l’art contemporain d’aujourd’hui ?
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"Adresses Internet p. 112-113."Contient : Editorial : un raz de marée, par Catherine Millet et Richard Leydier, p. 5-7. Chapitre 1 : Elles débarquent! : L'acte pour l'art, par Louis-José Lestocart, p. 10-14 ; Bandes de femmes, par Bernard Joubert, p. 15-21 ; Éros féminin surréel, par Victoria Combalía, p. 22-27 ; Ellen von Unwerth. Naughty Girls!, interview par Richard Leydier, p. 28-31 ; Organes et orgasmes. Sur quelques chanteuses sexy, par Stéphane Pencréac'h, Stéphane Ruiz et Richard Leydier, p. 32-36; Dans le train fantôme de Catherine Breillat, témoignages recueillis par Brigitte Ollier, p. 37-40 ; Clarisse Hahn. La sexualité dans le tissu de la vie, interview par Catherine Millet et Louis-José Lestocart, p. 41-44 ; Portfolio #1 : Aude du Pasquier-Grall, Sonia Koumskoff-Raissi, Nicole Tran Ba Vang, Ornela Vorpsi, Friedl Kubelka, Anne Dion., p. 45-50. Chapitre 2 : Un autre porno : Angela, Loulou et les autres ... Quand les femmes prennent la caméra, par Stéphane Ruiz, p. 52-60 ; Monika Treut. Female Misbehavior, par Thibaut de Ruyter, p. 61-65 ; Maria Beatty. De la surface à la profondeur, par Catherine Corringer, p. 66-70 ; Shu Lea Cheang. Un genre en soi, Interview par Louis-José Lestocart, p. 71-74 ; Il y a une vie après le X : Brigitte, Tabatha, Ilona et Traci, par Laurent Goumarre, p. 75-80 ; Ovidie, plus librement, interview par Laurent Goumarre, p. 81-84 ; Portfolio #2 : Kiki Seror, Virginie Boursette, Béatrice Cussol, Bettina Rheims, Pascale Lafay, Diana Michener, p. 85-90. Chapitre 3 : Autoportraits : Lamia Ziadé. "Je suis une vraie petite femme d'intérieur", interview par Brigitte Ollier, p. 92-96 ; Chloë des Lysses. Une femme en danger, interview par Richard Leydier, p. 97-101 ; Madeleine Berkhemer. Élastique, érotique, par Alix Rozès, p. 102-105 ; Elke Krystufek. Le miroir qui met à nu, interview par Joerg Bader, p. 106-109 ; La pornographie, to remember, par Judith Brouste, p. 110-111 ; Les femmes sur le Web, par Chloë des Lysses, p. 112-113.
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Cette publication du début du millénaire porte sur les femmes artistes. *** FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.