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Publié clandestinement au Québec en 1948, ce pamphlet et poème a valu à l'auteur d'être démis de ses fonctions d'enseignant. Peintre et sculpteur, il fonde en 1942 le groupe Les Automatistes. Inspiré du surréalisme, le manifeste de 1948 critique la société québécoise en rejetant l'Eglise et le rendement marchand pour appeler à une révolution poétique.
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Ce roman historique publié en 1900 est centré sur la fondation de Montréal. il a pour héros Lambert Closse. Il a été couronné par l'Académie française (Prix Montyon, 1902). Sources documentaires de l'auteur: l'«Histoire du Canada depuis sa découverte jusqu'à nos jours» de F. X. Garneau et les «Relations des Jésuites». [SDM].
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Pour ce troisième épisode, nous recevons Billie-Lou: artiste visuel.le queer en situation de handicap qui prône l’inclusion. Nous échangeons sur les enjeux de performance dans la sexualité et l’estime de soi.Bonne écoute!RessourcesInstagram : @billielouwhoFQPN : Facebook / Instagram / site web Les 3 sex* : Facebook / Instagram / site webSourcesHannier, S., Baltus, A. et de Sutter, P. (2017). L’implication des facteurs cognitifs, corporels et sociétaux dans la compréhension de l’estime de soi sexuelle féminine. Sexologies, 26(2), 65-73. https://doi.org/10.1016/j.sexol.2016.04.004Toft, A. (2020). Identity Management and Community Belonging: The Coming Out Careers of Young Disabled LGBT+ Persons. Sexuality & Culture, 24(6), 1893-1912. https://doi.org/10.1007/s12119-020-09726-4
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Explorons ensemble des pistes de réflexion pour utiliser les outils féministes à toutes les étapes de la production artistique et culturelle. Que ce soit dans le milieu du journalisme, de l'édition et la création littéraire, de l'humour ou de l'audiovisuel, les intervenantes partagent des outils d'analyse pour repérer les biais patriarcaux et et des stratégies pour créer des pratiques plus libératrices. Avec: Audrey Boutin, Stéfany Boisvert, Claire Ross, Mélissa Thériault, Louise Richer, Madioula Kébé Kamara, Ariane Gibeau, Katia Belkhodja, Maude Goyer Épisode enregistré durant la Foire féministe de l'IREF (27, 28 février et 1er mars 2025 - https://sites.grenadine.uqam.ca/sites/dsj/fr/foire-feministe-feministes-dans-la-cite). Ecrit par Nerea Aizpuru et Juliette Chevet, monté par Juliette Chevet. Avec le soutien financier du CRSH.
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Est-ce que c'est féministe de se mettre nue devant une caméra ? Comment peut-on jouer avec la caméra jusqu'à reprendre pouvoir sur notre image ? Amélie Fontaine-Dupont nous partage ses résultats de recherche sur l'artiste Hannah Wilke et montre comment l'auto-objectification sexuelle peut être une posture féministe et permettre d’approfondir la réflexion sur la culpabilisation et la répréhension des femmes qui font usage de leur corps et de leur sexualité à des fins d’émancipation. Biographie: Amélie Fontaine-Dupont est étudiante à la maîtrise en histoire de l'art à l'UQAM et détient un baccalauréat en histoire de l'art de l'Université Laval. S’intéressant autant aux études féministes qu’à l’art contemporain, ses recherches actuelles portent sur l'auto-objectification sexuelle comme forme d’agentivité et d’activisme féministe dans les œuvres performatives de l'artiste états-unienne Hannah Wilke. Amélie est membre étudiante de l'Institut de recherches et d'études féministes de l’UQAM et du Réseau québécois en études féministes. Elle occupe également le poste de responsable des communications de l'Association des cycles supérieurs en histoire de l'art de l'UQAM. En parallèle à ses études, elle travaille à la Galerie de l'UQAM et intervient ponctuellement en tant que médiatrice culturelle à l'occasion d'évènements artistiques et d’expositions. Enregistré durant la Tournée des cégeps à l’automne 2024 (https://iref.uqam.ca/babillard/tournee-des-cegeps-foire-feministe-feministes-dans-la-cite/)par Rajae Anys et Juliette Chevet. Ecrit et monté par Juliette Chevet. Avec le soutien financier du CRSH
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Et si nous faisions partie intégrante du vivant, au lieu de le considérer comme un simple décor à exploiter ? Dans cet épisode, Vickie Grondin, étudiante en pratique des arts à l’UQAM, nous parle d’écoféminisme, de transcorporalité et de son lien profond avec les Îles-de-la-Madeleine. Elle interroge notre interdépendance avec le vivant, par une recherche basée sur l’expérience du corps avec le territoire ainsi que notre rapport à la nature, au capitalisme et aux oppressions croisées que subissent les femmes et les écosystèmes. C’est par la photographie, la poésie, la vidéo et la cueillette, que sont générés des savoirs alternatifs dans une ère numérique et consumériste. Un appel à repenser notre place dans le monde vivant. Biographie : Graduée de l’École de danse contemporaine de Montréal (2014), Vickie Grondin entame par la suite un baccalauréat en communication à l’UQAM. En 2021, son livre Il fait bleu, coécrit avec Alphiya Joncas, est publié aux éditions OMRI (Noroît). Des résidences d’artistes l'amènent en Gaspésie (Salon58), aux Îles de la Madeleine (Admare) et à Québec (VU, Folie/Culture, l’Oeil de Poisson). Réalisatrice de films de danse depuis 2016, sa plus récente oeuvre, Ce qui subsiste, est diffusée à l'international (Brésil, Australie, Argentine, Roumanie, États-Unis, Allemagne, Canada). Elle se voit parallèlement octroyer plusieurs bourses universitaires, dont la Bourse d'excellence de la Faculté des arts et la Bourse d'excellence en recherche ReVe pour ses travaux sur la Zostère marine. Son intérêt pour le corps en danse s’est transposé dans une réflexion écologique à la maîtrise en arts visuels et médiatiques à l’UQÀM, où elle articule une réflexion incorporée avec le territoire des Îles de la Madeleine, Munagesunook, à partir d'une perspective hydroféministe située. Finaliste au prix Horizons nouveaux de la Fondation Grantham pour l’art et l’environnement, son travail y sera présenté à l’automne 2024. Enregistré durant la Tournée des cégeps à l’automne 2024 (https://iref.uqam.ca/babillard/tournee-des-cegeps-foire-feministe-feministes-dans-la-cite/) par Estelle Santerre, écrit et monté par Rajae Anys.. Avec le soutien financier du CRSH
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Maxime Fecteau nous présente quelques femmes de sciences et la manière dont elles ont utilisé leur pratique d'écriture pour diffuser leurs résultats et raconter leurs découvertes. Dans cet épisode, on explore plus spécifiquement l'exemple de Suzanne Simard. Elle montre comment l’écoféminisme propose des approches plus coopératives et éthiques envers le monde vivant, ouvrant la voie à de nouvelles façons de connaître et d’habiter la Terre. Un regard historique et sociopolitique sur les liens entre science, littérature, féminisme et environnement. Biographie: Maxime Fecteau poursuit un doctorat en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal sous la direction de Martine Delvaux. Sa recherche explore comment des scientifiques-écrivaines canadiennes, britanniques et américaines, de Rachel Carson (Under the Sea-wind, 1941) à Suzanne Simard (Finding the Mother Tree, 2021), élaborent une pensée écologique à travers le récit, l’analogie et l’autobiographie. Son recueil d’essais lyriques Fragments d’un enfant du millénaire a été publié aux éditions Nota bene en 2021. Ses textes ont paru dans plusieurs revues et collectifs, dont BESIDE, MuseMedusa et Regard d’Annie Dillard (Nota bene, 2023). Il est aussi mentor au sein de l’organisme Camp LIFT, où il outille les élèves du secondaire à apaiser leur écoanxiété en tissant des liens avec le vivant. Enregistré durant la Tournée des cégeps à l’automne 2024 (https://iref.uqam.ca/babillard/tournee-des-cegeps-foire-feministe-feministes-dans-la-cite/) par Rajae Anys et Juliette Chevet. Ecrit et monté par Juliette Chevet. Avec le soutien financier du CRSH
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Et si danser devenait un acte de résistance, un territoire à soi quand tout disparaît ? Dans cet épisode, nous partons en Arménie avec Sona Pogossian, où la danse devient un pilier identitaire face à l’enclavement, à la perte de terres, et aux blessures de l’histoire. La danse, architecture vivante et mouvante, est un territoire immatériel que l’on porte en soi. Les femmes y incarnent un double pilier : celui de la mère et celui de la nation. Dans une société où la femme est le noyau de l’identité nationale, comme dans bien d’autres luttes pour l’autodétermination, la figure maternelle devient le symbole d’un « NOUS » collectif, profond et résistant. Biographie : Artiste de la scène, Sona a suivi de multiples formations en anthropologie et pratiques des arts scéniques, dont au sein du conservatoire de Lyon, de l’université d’État de Moscou d’Art et de Culture, de l’université Paris 8, entre autres. Son parcours pluriel l’amène aujourd’hui à réaliser un doctorat (thèse-création) à l’UQAM en études et pratiques des arts, où elle tente de mettre en lumière les corporalités des femmes en phénomène de guerre. Enregistré durant la Tournée des cégeps à l’automne 2024 (https://iref.uqam.ca/babillard/tournee-des-cegeps-foire-feministe-feministes-dans-la-cite/)par Juliette Chevet et Rajae Anys. Écrit et monté par Rajae Anys. Avec le soutien financier du CRSH.
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Laissez-nous raconter : L’histoire crochie | Les femmes autochtones fortes, insoumises et libres ont toujours joué un rôle important au sein de leur société, mais la culture occidentale les a stéréotypées en les montrant devant être sauvées par l'homme blanc. Pocahontas, popularisé par Disney, en est le meilleur exemple. Mamu, ensemble, on réajuste les perceptions et on décolonise l'image des Autochtones. | Accédez au rattrapage et découvrez les musiques diffusées ainsi que les références de l'émission
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A multi-media project profiling the spaces of the Indian reservation and Palestinian refugee camp: spaces of exception whose position in the struggle for native and Palestinian autonomy are essential. The Native and the Refugee will culminate in a feature-length documentary film.
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Après le succès de sa première diffusion avec plus de 41 000 inscriptions, le MOOC "Elles font l'art" réouvre ! Ce cours en ligne gratuit et ouvert à toutes et tous, constitué de vidéos, de quiz et d’activités, se consacre aux femmes artistes de 1900 à nos jours. Plasticiennes, peintres, photographes, vidéastes ou performeuses de toutes nationalités, elles ont fait ou font encore l’art des 20e et 21e siècles. A travers un parcours chronologique, nous vous invitons à découvrir une autre histoire de l’art moderne et contemporain dédiée aux créatrices. C'est une nouvelle manière pour le Centre Pompidou d'affirmer avec force son engagement auprès des femmes, et en faveur de l’égalité entre les genres.
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Émilie Monnet trace des parallèles entre la vie de Marguerite Duplessis et la cause des femmes, et plus particulièrement des femmes autochtones. Accompagnée de ses invité·e·s, Émilie parle de la tragédie des femmes disparues et de l’objectification dont elles sont encore victimes aujourd’hui,...