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Les femmes ont-elles une histoire ? Pourquoi cette histoire n’a-t-elle pas été écrite dans le passé et pourquoi se développe-t-elle depuis une dizaine d’années ? De quelles sources dispose-t-on à cet égard et cette démarche implique-t-elle des méthodes particulières ? Que signifient « mémoire », « culture », « pouvoir » des femmes ? La catégorie de sexe est-elle, comme celle des âges, une variable historique issue des nouveaux classements induits par le développement de l’individualisme ? ou quelque chose de plus ? Voilà quelques unes des questions abordées dans ce livre qui prend en compte le changement de direction du regard historique lorsque l’on pose la question du rapport des sexes comme central. Avec la participation d’Alain Corbin, Arlette Farge, Agnès Fine, Catherine Fouquet, Geneviève Fraisse, Christiane Klapisch, Yvonne Knibiehler, Michelle Perrot, Elisabeth Ravoux-Rallo, Jacques Revel, Anne Roche, Pauline Schmitt-Pantel, Sylvie Van de Casteele, Danièle Voldman.
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«Récit remarqué par la critique. L'ombre du père et la genèse d'un remord, celui d'une intellectuelle d'origine modeste devenue "bourgeoise". Prix Renaudot 1984.»-- [SDM].
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For the past thirty years, Hal Foster has pushed the boundaries of cultural criticism, establishing a vantage point from which the seemingly disparate agendas of artists, patrons, and critics have a telling coherence. In The Anti-Aesthetic, preeminent critics such as Jean Baudrillard, Rosalind Krauss, Fredric Jameson, and Edward Said consider the full range of postmodern cultural production, from the writing of John Cage, to Cindy Sherman's film stills, to Barbara Kruger's collages. With a redesigned cover and a new afterword that situates the book in relation to contemporary criticism, The Anti-Aesthetic provides a strong introduction for newcomers and a point of reference for those already engaged in discussions of postmodern art, culture, and criticism. Includes a new afterword by Hal Foster and 12 black and white photographs.
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Paris, Artcurial, 1983, broché sous couverture illustrée, 64 pp., (27,5 x 21 cm). Exposition mai-juillet 1983. Importante illustration couleur et noir et blanc (reproductions et photographies). Biographie sommaire autour des artistes :Sonia DELAUNAY, Alexandra EXTER, Marie VASSILIEFF, Marianne WEREFKIN, Natalia GONTCHAROVA, Lioubov POPOVA, Nadiejda OUDALTSOVA, Olga ROZANOVA, Nina KOGAN, Vera PESTEL, Vera ERMOLAIEVA, Xenia ENDER, etc.
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Sous le regard de l'Autre. Par l'auteure d'Histoire et linguistique (Colin, 1973) et d'une étude sur l'écriture juive (Le Sorbier, 1983), un récit dans lequel ce professeur d'université française, d'origine judéo-russe, qui enseigna à Montréal, Laval et Sherbrooke relate, pour le bénéfice de ses étudiants, l'histoire de sa découverte du Québec entre 1974 et 1981. Régine Robin, de formation marxiste, manifeste une attention particulière aux luttes ouvrières (grèves, etc.), politiques, idéologiques. L'éditeur parle avec justesse d'un livre d'émigrante sur l'exil, la langue et la vie d'ici. Composition en mosaïque. Inventaires, comparaisons, fragments, altérités.
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"This book is a detailed study of the powerful and innovative role women artists played in the development and expansion of performance art. This hybrid art form, which combines the visual arts with ingredients drawn from experimental dance, theater, music, and poetry, emerged in the late 1960's at the same time as the women's movement. Many women artists turned to performance art in order to translate and capture visually the concerns, demands and visions of the women's movement; thus women led the way in performance art's explorations of autobiography, ritual, mass spectacle and the creation of characters and personae. The Amazing Decade, edited by Moira Roth, with an introduction by Mary Jan Jacob, culls the best from women's performance history, highlighting pivotal works, chronicling changes and projecting future directions: the book contains a major essay by Roth on the history and character of women's performance art; individual profiles on thirty-seven artists and collectives; an extensive bibliography; and a year-by-year chronology from 1956 onward in which women's performance art is set in the context of history and the women's movement. Profusely illustrated, The Amazing Decade is an indispensable reference book and an invaluable teaching tool"--
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In this, her first collection of nonfiction, Alice Walker speaks out as a black woman, writer, mother, and feminist. Among the thirty-six pieces are essays about other writers, accounts of the civil rights movement of the 1960s and the anti-nuclear movement of the 1980s, and a vivid memoir of a scarring childhood injury and her daughter’s healing words.
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Catalogue de l'exposition Art et féminisme qui eut lieu en 1982 au Musée d'Art Contemporain de Montréal (MAC).
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A long-needed corrective and alternative view of Western art history, these seventeen essays by respected scholars are arranged chronologically and cover every major period from the ANcient 2gypt to the present. While several of the essays deal with major woman artists, the book is essentially about western art history and the extent to which it has been distorted, in every period, by sexual bias. With 306 illustrations.
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Créée au Théâtre expérimental des femmes en décembre 1981, traduite en anglais et jouée à Toronto. « Pour Violette Leduc, écrivaine, le vampire est toujours à son poste. Le vampire qui suce la vie, l'ampute de sa chair, refuse ses manuscrits. Violette Leduc internée, s'évadant pour retrouver celle dont elle est affamée, Simone de Beauvoir. Et Violette Leduc écrira, sera publiée et censurée, connaîtra une gloire éphémère à la fin de sa vie, écrira jusqu'à ce qu'elle en meure parce qu'elle avait fait le serment d'avoir la passion de l'impossible. » (extrait)
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L'autre moitié de l'avant-garde, 1910-1940 est une importante exposition qui s'est tenue à Milan au printemps 1980, puis à Rome, Venise, Amsterdam, Stockholm. D'une rare qualité, elle a remis à jour les démarches et recherches qui, dans la période féconde des années 1930, ont été fondamentales pour l'élaboration d'un langage contemporain. « Préparer ce travail a été, pour moi, une découverte continue : quinze mois passés à chercher dans les caves des musées, à faire ouvrir aux artistes leurs tiroirs. Rares sont les oeuvres que j'ai trouvées accrochées à un mur ! [...] L'exposition évoque les années du Blaue Reiter, du cubisme, du futurisme, du dadaïsme, du Bauhaus. Je voulais voir si les femmes avaient eu ou non, dans ces groupes, la possibilité d'être des forces motrices. Et j'ai découvert, par exemple, que dans l'avant-garde russe, les femmes ont eu un rôle tout à fait décisif...» L.V. Le catalogue rassemble ces monographies, largement illustrées des productions des femmes peintres et sculptrices, et retrace ces mouvements novateurs.
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Catalogue d'exposition. Il s'agit de la première exposition rassemblant les oeuvres de femmes peintres, organisée au Los Angeles Country Museum of Art par Ann Sutherland Harris, conservateur au Metropolitan Museum of Art de New York et Linda Nochlin, enseignante en histoire de l'art à l'université de Vassar. Ces oeuvres jusque-là dispersées dans divers musées et collections privées, et rassemblées dans cette exposition et ce catalogue devenu un ouvrage de référence, font apparaître la place des femmes et leur influence parfois marquante dans l'histoire de l'art occidental. D'Italie en Flandres, en France, en Allemagne, en URSS, aux États-Unis, la vie et l'oeuvre de : Catherina Van Hemessen, Sofonisba Anguissola, Fede Galizia, Judith Leyster, Clara Peeters, Élisabeth Vigée Le Brun, Rosa Bonheur, Sonia Delaunay... Et bien d'autres.
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How was it possible, by the later twentieth century, to have erased women as artists from art history so comprehensively that the idea of 'the artist' was exclusively masculine? Why was this erasure more radical in the twentieth century than ever before? Why is everything that compromises greatness in art coded as 'feminine'? Has the feminist critique of Art History yet effected real change? With a new Preface by Griselda Pollock, this new edition of a truly groundbreaking book offers a radical challenge to a women-free Art History. Parker and Pollock's critique of Art History's sexism leads to expanded, inclusive readings of the art of the past. They demonstrate how the changing historical social realities of gender relations and women artists' translation of gendered conditions into their works provide keys to novel understandings of why we might study the art of the past. They go further to show how such knowledge enables us to understand art by contemporary artists who are women and can contribute to the changing self-perception and creative work of artists today.
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Ecrire Amantes, pour Nicole Brossard, c'est, nous semble-t-il, tenter de prouver que l'approche du délire est compatible avec l'esprit (cf. p. 13). Dans cette optique, la fiction pratiquée ne peut-être qu'"excès de réalisme". L'oeuvre, comme l'indique l'autrice, ne fait pas de confidences et cependant quelque chose est confié à la compagne-lectrice privilégiée, qui représente le lecteur, sans cesser d'exister. Un lecteur masculin, implicitement exclu, peut-il rendre justice à un tel ouvrage : "entre femmes, la mémoire revient comme une conscience". Il est en tous cas frappé par la façon dont l'abstraction ("excès de réalisme"?) y exerce son pouvoir ("toute vision est en soi mathématique de l'espace"), même si l'autrice multiplie les ancrages dans le réel (banalisé) d'un temps employé, et fait appel à un implicite émotif très fort ("l'expérience infligée au corps des femmes incite à la réalité"). Entre l'essai et le poème, ce texte manifeste une ligne de pensée ferme, l'allusion étant au service exclusif de la thèse. Mais la passion ("de l'intime au politique"), figure centrale de ce livre, fait plus souvent figure de rhétorique, que d'"opéra du dedans." Il s'agit de la poésie de Nicole Brossard, qui s'est imposée comme théoricienne et écrivaine féministe lesbienne et comme figure de proue des écrivain.e.s postmodernistes québécois.e.s. Son travail brouille les frontières entre fiction et théorie, subvertissant les fictions que le discours patriarcal a tissées sur la vie des femmes en travaillant avec les « réalités » de la vie des femmes qui se situent en dehors des codes de la fiction.
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Ecrire Amantes, pour Nicole Brossard, c'est, nous semble-t-il, tenter de prouver que l'approche du délire est compatible avec l'esprit (cf. p. 13). Dans cette optique, la fiction pratiquée ne peut-être qu'"excès de réalisme". L'oeuvre, comme l'indique l'auteure, ne fait pas de confidences et cependant quelque chose est confié à la compagne-lectrice privilégiée, qui représente "le" lecteur, sans cesser d'exister. Un lecteur masculin, implicitement exclu (?), peut-il rendre justice à un tel ouvrage: "entre femmes, la mémoire revient comme une conscience". Il est en tous cas frappé par la façon dont l'abstraction ("excès de réalisme"?) y exerce son pouvoir ("toute vision est en soi mathématique de l'espace"), même si l'auteure multiplie les ancrages dans le réel (banalisé) d'un temps employé, et fait appel à un implicite émotif très fort ("l'expérience infligée au corps des femmes incite à la réalité"). Entre l'essai et le poème, ce texte manifeste une ligne de pensée ferme, l'allusion étant au service exclusif de la thèse. Mais la passion ("de l'intime au politique"), figure centrale de ce livre, fait plus souvent figure de rhétorique, que d'"opéra du dedans".
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Catalogue for the exhibition Issue: social strategies by women artists, which took place in 1980 at the ICA, in London UK. Lucy Lippard, the exhibition’s organiser, described this as ‘the first establishment-approved women’s show in London’.36 She conceived it as ‘a framework for a transatlantic and cross-cultural dialogue’ about feminist art practice, and responses to various issues including ecology, unemployment, war and violence against women. The exhibition included many American women artists, including: Ariadne: A Social Art Network (Suzanne Lacy and Leslie Labowitz), Candace Hill-Montgomery, Jenny Holzer, Maria Karras, Mary Kelly, Margia Kramer, Beverly Naidus, Adrian Piper, Martha Rosler, Bonnie Sherk, Nancy Spero, May Stevens and Mierle Laderman Ukeles. Kelly, an American artist resident in England for many years, sensed that ‘in most of the work by American artists ... any emphasis on the “personal” appeared to detract from what they would consider “wider social issues”’.37 In this she distinguished it from European feminist work in which ‘the social and the psychic haven't been seen as necessarily antagonistic or contradictory’.
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If men and women are equally capable of genius, why have there been no female artists of the stature of Leonardo, Titian or Poussin? In seeking to answer this question, Germaine Greer introduces us to major but underestimated figures in the history of Western painting--Angelica Kauffmann, Natalia Goncharova, Suzanne Valadon, Berthe Morisot, Kathe Köllwitz--and produces a brilliantly incisive and richly illustrated study. She explains the obstacles as both external and surmountable and internal and insurmountable in the race for achievement.