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Discipline
  • Sciences humaines
Thématiques
  • Famille

Résultats 68 ressources

Date décroissanteDate croissanteAuteur A-ZAuteur Z-ATitre A-ZTitre Z-A
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • Page 1 de 4
Résumés
  • Aarntzen, Lianne, Derks, Belle, van Steenbergen, Elianne et van der Lippe, Tanja. (2023). When work–family guilt becomes a women’s issue: Internalized gender stereotypes predict high guilt in working mothers but low guilt in working fathers. British Journal of Social Psychology, 62(1), 12‑29. https://doi.org/10.1111/bjso.12575

    Les stéréotypes de genre prescrivent aux mères, mais pas aux pères, de donner la priorité à leur famille plutôt qu’à leur travail. Par conséquent, l’intériorisation des stéréotypes de genre peut prédire une culpabilité plus élevée chez les mères que chez les pères dans des situations où ils privilégient leur travail plutôt que leur famille. L’étude 1 (135 mères et 116 pères) a en effet révélé que plus les stéréotypes de genre implicites des pères étaient forts (mesurés à l’aide d’une tâche d’association implicite genre-carrière), moins les pères se déclaraient coupables dans une situation fictive d’interférence du travail dans la famille. Bien que les mères aient en moyenne déclaré une culpabilité plus élevée que les pères, cet effet n’a pas été atténué par leurs stéréotypes de genre implicites. L’étude 2 (étude du journal quotidien auprès de 105 mères) a toutefois révélé des preuves de l’effet modérateur des stéréotypes de genre implicites sur la culpabilité des mères qui travaillent. Plus les stéréotypes de genre implicites des mères étaient forts, plus elles déclaraient avoir des conflits entre le travail et la famille et de la culpabilité les jours où elles travaillaient de longues heures. Ces résultats montrent que les stéréotypes de genre implicites façonnent la façon dont les parents perçoivent leurs choix travail-famille.

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  • Deslauriers, Annick. (2023). Articulation famille-travail : exploration auprès de mères pratiquant le travail du sexe [Mémoire accepté, Université du Québec à Montréal]. https://archipel.uqam.ca/17145/

    Malgré l’entrée massive des femmes sur le marché du travail et les avancées que l’on doit aux mouvements féministes, le patriarcat demeure un paradigme dominant à l’égard de la question familiale (Descarries et Corbeil, 2002ª). Dans sa version plus contemporaine, le consensus social concernant la famille est aussi imprégné de l’influence de l’épidémiologie sociale, un paradigme qui supporte une ambition scientiste et normative (Parazelli et al., 2003 et Parazelli, 2013). Comme la mère porte implicitement la responsabilité de l’ordre familial et par extension, de l’ordre social, cette normativité est étroitement liée au genre (Cardi, 2007; 2010 et 2015). Cette recherche s’ancre dans les épistémologies féministes. Elle propose une démarche qualitative, exploratoire et critique en s’intéressant à la réalité des mères qui pratiquent le travail du sexe à partir de l’idée selon laquelle « on ne peut être mère et putain à la fois » (Ovidie, 2018). Le stéréotype de la mère s’oppose effectivement à celui de la putain dans l’imaginaire social (Descarries et Mathieu, 2009). Les mères qui pratiquent le travail du sexe doivent ainsi réconcilier leur posture d’être humain discrédité en regard de leur travail et leur identité de mère, laquelle est soumise à des injonctions normatives de plus en plus élevées (Samtani et Trejos-Castillo, 2015). Nous exposons les données issues d’entrevues semi-dirigées réalisées auprès de huit mères exerçant le travail du sexe afin d’explorer leur expérience de l’articulation famille-travail. Cette expérience est traversée par la gestion des temps et des espaces de la vie familiale et du travail, laquelle relève surtout de la mobilisation de stratégies personnelles par les mères. Ces constats correspondent aux connaissances portant sur l’articulation famille-travail (Descarries et Corbeil 2002ᵇ; Malenfant, 2002; Tremblay, 2003 et Seery, 2014 et 2020). S’agissant des mères que nous avons rencontrées, cette expérience a cependant de particulier qu’elles doivent composer avec le stigmate de putain (Pheterson, 2001). Nous avons donc recours à certains travaux portant sur la stigmatisation symbolique et structurelle aux fins d’analyse et de discussion de nos résultats de recherche. On relève deux grands types de stratégies employées par ces femmes pour faire face au stigmate de putain : elles s’en distancient ou elles lui résistent. La valorisation dans le travail compte parmi les stratégies de résistance. À ce sujet, elles énoncent des réalités et des compétences se rapportant au travail du care. Ainsi, la perspective du care est également mobilisée dans notre cadre conceptuel. Nous réfléchissons notamment au travail du sexe comme travail du care à la lumière des concepts de travail émotionnel (Hochschild, 2003 et 2012), de sale boulot (Lhuilier, 2005 et Molinier 2011) et de défenses collectives féminines et viriles (Molinier, 2000; 2002 et 2004), alors qu’une part importante du travail du care demeure stigmatisée en tant que sale boulot (Molinier, 2011) et que le travail émotionnel est sous-pesé dans l’appréhension de la valeur du travail du care (Molinier, 2011 et 2020). De plus, bien que la dimension du care soit transversale aux activités de soins et de services aux personnes, elle est généralement occultée du sexuel (Molinier, 2009 et 2011). Ces idées nous permettent d’éclairer le discrédit porté à l’endroit des mères pratiquant le travail du sexe et de réfléchir à leurs avenues de reconnaissance et de citoyenneté. _____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : travail du sexe, mères, articulation famille-travail, féminisme, patriarcat, imaginaire social, discours sociaux dominants, significations imaginaires sociales, stigmatisation, stigmate de putain, travail du care, travail émotionnel, sale boulot, défenses collectives

    Consulter sur archipel.uqam.ca
  • Abromaviciute, Jurgita et Carian, Emily K. (2022). The COVID-19 pandemic and the gender gap in newly created domains of household labor. Sociological Perspectives, 65(6), 1169‑1187. https://doi.org/10.1177/07311214221103268

    In this study, we draw on interview data from 62 matched different-sex, dual-career spouses raising young children to examine the mechanisms behind the gender gap in household labor during the COVID-19 pandemic. We argue that the pandemic represents a unique case of social uncertainty and an opportunity to observe how structural conditions shape the gendered division of household labor. We find that under the rapid social transformation imposed by the pandemic, gender serves as an anchor and orienting frame for couples with young children. We argue that the pandemic (1) expanded traditional gender expectations to new domains of household labor and (2) heightened the importance of gendered explanations for the division of labor that justified intra-couple inequality. Our findings suggest that the particular structural conditions that characterize different times of uncertainty work through slightly different mechanisms, yet produce the same outcome: gender inequality, with long-lasting and wide-ranging implications. © The Author(s) 2022.

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  • Chávez, Sergio, Paige, Robin et Edelblute, Heather. (2021). Emotion work and gender inequality in transnational family life. Journal of Family Issues, 44(3), 703‑724. https://doi.org/10.1177/0192513X211054472

    This study examines the emotion work of non-migrant women as they seek to sustain family life across borders. We draw on in-depth interviews with 59 non-migrant women in Guanajuato, Mexico who had immigrant spouses in the USA to assess emotion work dynamics between partners. Our analysis reveals that non-migrant women do emotion work that entails imagining lives abroad and then tailoring emotional support that addresses the needs of spouses. We also discuss how the difficulties associated with prolonged separation leads women to suppress their own needs and feelings, which can lead to emotional burnout and marital conflict. Putting non-migrant women and their activities at the center of our analysis highlights the emotional costs of migration for those who remain behind and the ways in which emotion work is a highly gendered activity that reinforces inequality through communication. We highlight how women’s subordinated status in transnational Mexican families and the need to keep the remittances flowing help explain why emotion work falls largely on women. © The Author(s) 2021.

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  • Pugliese, Maude. (2021). « La propriété d’une maison pavillonnaire dans l’imaginaire de la famille et les conditions économiques des familles avec enfants » dans Des imaginaires aux réalités conjugales et familiales: perspectives interdisciplinaires et internationales. Dans Laurence Charton et Chantal Bayard, Des imaginaires aux réalités conjugales et familiales: perspectives interdisciplinaires et internationales (p. 247‑268). Presses de l’Université du Québec. https://uqam-bib.on.worldcat.org/oclc/1241087664

    "La réalisation des projets de couple et familiaux constitue des préoccupations importantes des individus contemporains. Ces projets font l'objet de représentations sociales générées par diverses sources?: œuvres littéraires, philosophiques, scientifiques, populaires, mais aussi cinématographiques ou médiatiques. Ces représentations proposent des modèles et fournissent des supports à des imaginaires alimentant les scénarios personnels, créant des attentes qui se heurtent aux réalités quotidiennes, et qui entrainent souvent des désillusions et des déceptions, mais aussi des adaptations. Dans le but de mieux saisir les logiques à l'œuvre dans les attentes conjugales et familiales, cet ouvrage composé de treize chapitres rédigés par des chercheuses et chercheurs québécois, canadiens et internationaux (Brésil, Espagne, France, Suisse), issus de disciplines variées (anthropologie, démographie, psychologie, sexologie, sociologie et travail social), vise à mettre en évidence l'influence des imaginaires sur les itinéraires conjugaux et familiaux. La richesse des contributions à cet ouvrage collectif devrait aider à mieux saisir l'importance des études sur les imaginaires familiaux, autant pour la communauté scientifique que pour toute personne intéressée à mieux comprendre, et possiblement à mieux accompagner, les imaginaires, les attentes et les désillusions conjugales et familiales vécues par les individus et les couples."

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  • Duncan, Simon. (2020, 6 juillet). Why so many women still take their husband’s last name. The Conversation (Angleterre), section Politics. http://theconversation.com/why-so-many-women-still-take-their-husbands-last-name-140038

    While some women may be actively involved in choosing their marital name, taking the man’s name remains the norm.

    Consulter sur theconversation.com
  • Antoshchuk, Irina A et Gevinner, Irina. (2020). Still a superwoman? How female academics from the former Soviet Union negotiate work-family balance abroad. Monitoring Obshchestvennogo Mneniya: Ekonomicheskie i Sotsial’nye Peremeny, 155(1), 408‑435. https://doi.org/10.14515/monitoring.2020.1.17

    Since the 1930s, a peculiar 'working mother' gender contract was dominant in the Soviet Union formally empowering women. The pressing expectation of this contract and a necessity to combine motherhood, housework and employment led to the image of the near superwoman who 'has it all'. This paper examines whether highly-skilled Russian-speaking female academics continue to adhere to this cultural ideal striving for work-life balance after migration to the UK and Germany. Based on qualitative interviews with 22 female scholars, the article provides a typology of scenarios for negotiating professional and private life. It elaborates on how role-related partners contribute to achieving balance between paid employment and mothering and explores the consequences for women's well-being. Moreover, the study suggests a feminist approach to analyzing work-family balance, which valorises women's point of view, emphasizing motherhood, children and family relations as an essential personal and social value, while also documenting the increasing challenges faced in the realization of these life priorities. © 2020 Russian Public Opinion Research Center, VCIOM. All rights reserved.

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  • Belleau, Hélène et Lavallée, Carmen. (2020). Unions et désunions conjugales au Québec. Deuxième partie: Désunions et parentalité. https://uqam-bib.on.worldcat.org/oclc/1227944144

    Ce rapport brosse un portrait descriptif des premiers résultats qui se dégagent du volet « extrapatrimonial » du projet de recherche intitulé : Unions et désunions conjugales au Québec : regards croisés sur les pratiques et les représentations sociales et juridiques de la vie à deux. L’enquête réalisée auprès de 3250 répondants âgés de 25 à 50 ans et vivant en couple vise à cerner les arrangements financiers et juridiques des familles qui comptent au moins un enfant. Les aspects tels que le souhait de se marier ou non, la garde des enfants, le support financier, le recours au contrat de vie commune et la question de l’héritage ont été abordés. Une attention particulière a été portée sur les familles recomposées afin de déterminer si certaines différences pouvaient être observées comparativement aux familles intactes. Nous tentons aussi de jeter un éclairage sur le phénomène de la beau-parentalité au Québec puisque le Code civil ne reconnaît toujours par de statut particulier au beau-parent. Notre enquête permet notamment de constater que le fait d’avoir un enfant semble influencer le désir de se marier, et ce, plus particulièrement pour les femmes. Elle nous montre aussi que la garde partagée est un idéal-type envisagé par la majorité des couples, mais qui se réalise moins fréquemment en réalité. De plus, dans les familles recomposées ayant la garde d’un ou de plusieurs enfants issus d’unions précédentes, les dépenses relatives aux enfants sont considérées comme relevant exclusivement du parent, même si le couple gère ses revenus et dépenses en commun. Bien que l’on puisse s’attendre à ce que les couples qui ont déjà vécu une séparation veuillent se protéger davantage dans une relation ultérieure, les résultats montrent qu’il n’en est rien. Enfin, l’enquête nous démontre que la durée de la cohabitation entre un enfant et un beau-parent influence la force du lien entre eux et qu’un bon nombre de beaux-parents croient qu’ils auraient droit à une garde partagée dans l’éventualité d’une rupture ou, à tout le moins, qu’ils garderaient contact quelques fois par année avec l’enfant de leur conjoint.e.

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  • Belleau, Hélène, Piazzesi, Chiara et Seery, Annabelle. (2020). L’amour conjugal sous l’angle sociologique: des pratiques à la théorie. Institut national de la recherche scientifique. https://uqam-bib.on.worldcat.org/oclc/1197086145

    Cet article propose une réflexion sociologique sur l’amour conjugal contemporain d’un point de vue théorique et empirique. À partir de données recueillies sur les arrangements financiers de personnes vivant en couple et de la littérature sociologique sur l’amour, les auteures dégagent une sémantique de la conjugalité contemporaine illustrée par huit « règles de sens », mobilisées par les acteurs pour répondre aux défis des relations intimes. L’analyse permet d’observer les décalages entre différentes logiques amoureuses d’une part, et de l’autre entre les logiques de l’amour et les réalités sociales. Les propos des conjoints révèlent l’intégration d’éléments qui tiennent de logiques divergentes dans un même univers de sens : des règles de sens favorisant l’idéalisation mythique conjuguées à celles organisées autour des images du travail sur la relation, de la communication thérapeutique et de la prise en charge entrepreneuriale de la relation. Cette analyse empirique conduit les auteures à cerner une double confusion dans la littérature contemporaine sur l’amour et les couples.

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  • Christopher, Emily. (2020). Capturing conflicting accounts of domestic labour: The household portrait as a methodology. Sociological Research Online, 26(3), 451‑468. https://doi.org/10.1177/1360780420951804

    Drawing on data from a UK study conducted in 2014/2015, based on qualitative interviews with 25 working parent, heterosexual couples on their domestic division of labour, I argue that the interactive methodology of the ‘Household Portrait’ not only provides data on the distribution of household labour but also reveals gender differences in how domestic labour is conceptualised and measured. Disagreements and inconsistencies between couples over who ‘mostly’ does various tasks embody gendered perceptions of the meaning of doing domestic tasks and the appropriate temporal frame for evaluating individual contributions. Partners’ joking competition over their respective contributions highlight not just the normative expectations guiding what women and men feel they should do but also the criteria that they think should be used to measure their contributions. © The Author(s) 2020.

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  • Chung, Heejung. (2020). Return of the 1950s housewife? How to stop coronavirus lockdown reinforcing sexist gender roles. https://theconversation.com/return-of-the-1950s-housewife-how-to-stop-coronavirus-lockdown-reinforcing-sexist-gender-roles-134851

    Alors que le virus COVID-19 se propage à travers le monde, de nombreux gouvernements ont fermé les écoles , les crèches et autres établissements de garde d'enfants. Avec de plus en plus de personnes travaillant à domicile , il est probable que de nombreuses familles se retrouveront dans une situation où les deux parents essaient de travailler depuis la table de la cuisine tout en essayant de faire l'école à la maison aux enfants . En plus des tâches ménagères habituelles, comme la cuisine et le ménage, ces tâches peuvent représenter une charge supplémentaire pour de nombreux parents à l'heure actuelle. Il est cependant probable que même si les deux parents sont désormais à la maison, une grande partie des tâches « domestiques » reposera toujours sur les épaules des femmes de la maison. Tout comme la ménagère des années 1950, les femmes devront non seulement préparer des repas savoureux, garder la maison propre et bien rangée et divertir les enfants, mais elles devront également faire tout cela tout en travaillant à domicile.

    Consulter sur theconversation.com
  • Côté, Isabel et Lavoie, Kévin. (2020). Représentations et récits pluriels au sein des familles homoparentales: Reconnaître la diversité familiale pour mieux contrer l’hétéronormativité. Service social, 66(1), 49‑58. https://doi.org/10.7202/1068919ar

    Cet article propose une mise en récit du parcours de deux chercheur·e·s dont les intérêts de recherche et d’enseignement portent sur les familles issues de la diversité sexuelle. En mettant à l’épreuve le modèle hétéronormatif traditionnel, les familles homoparentales, notamment celles qui ont recours à la procréation assistée, font émerger de nouvelles trames familiales et relationnelles, en plus de rendre visibles les normes culturelles associées à la parenté, à la parentalité et à la concrétisation du désir d’enfant. Dès lors, une compréhension de la diversité familiale en adéquation avec les pratiques sociales contemporaines s’actualise par une prise en compte de la pluralité des expériences vécues par les parents de même sexe et de leurs enfants.

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  • Ellie Lee et Jan Macvarish. (2020). Le « parent hélicoptère » et le paradoxe de la parentalité intensive au XXIe siècle. Lien Social et Politiques, (85). https://doi.org/10.7202/1073740ar

    Le terme « parent hélicoptère » est aujourd’hui très présent dans les discours public et professionnel sur l’éducation des enfants, ainsi que dans la culture de façon plus générale, particulièrement en Amérique du Nord et au Royaume-Uni. Un petit nombre de travaux sociologiques ont mis en évidence le caractère paradoxal de ce phénomène, qui réside dans une inquiétude souvent exagérée envers l’investissement « excessif » de ces parents dits « hélicoptères » auprès de leurs enfants, au sein même d’une culture de la parentalité intensive. Cet article développe ces travaux de deux manières. Nous resituons d’abord l’utilisation désormais omniprésente du terme « parent hélicoptère » et les qualificatifs qui y sont associés en examinant ses antécédents discursifs dans la terminologie du XXe siècle — comme l’overparenting (surparentalité), le smothering (parent poule ou parent qui couve) ou le coddling (dorlotement) — et en soulignant leur coexistence avec les récits de « mauvaises mères », considérées comme distantes et non impliquées. Ensuite, en analysant l’utilisation du terme helicopter parent faite dans les médias britanniques depuis la fin du XXe siècle, nous analysons comment se construisent les préoccupations actuelles concernant le surinvestissement des parents dans l’éducation de leurs enfants. Nous avons observé que les thèmes les plus récurrents de la couverture médiatique concernaient l’amour parental qui a mal tourné (gone wrong), la pression parentale (parental pushiness), ainsi que la classe sociale du parent hélicoptère. Notre analyse suggère que l’expression « parent hélicoptère » peut être mieux comprise comme un aspect du langage vernaculaire du XXIe siècle qui exprime une certaine aversion envers les résultats perçus d’une parentalité intensive, mais qui laisse intactes les prémisses concernant la responsabilité parentale en matière de pathologies individuelles et sociales. Nous concluons que, pour les sociologues, une caractéristique importante du parent hélicoptère est qu’il est généralement perçu comme un parent « à problèmes » issu de la classe moyenne, et nous suggérons que cette construction de l’origine sociale des défaillances parentales est une question importante à prendre en considération à l’avenir dans les études sur la culture de la parentalité.

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  • Mathieu, Sophie et Tremblay, Diane-Gabrielle. (2020). Évolution et transformation de la politique familiale québécoise depuis 1997. Enfances, Familles, Générations, (35). https://doi.org/10.7202/1077682ar

    Cadre de la recherche : Le consensus établi autour de l’exceptionnalisme de la politique familiale québécoise dissimule certains enjeux et défis liés à l’accessibilité et à la disponibilité des mesures de soutien aux familles. Objectifs : L’objectif de la recherche consiste à proposer une réflexion sur le caractère universel souvent attribué à la politique familiale québécoise en documentant l’évolution de l’architecture des trois principales mesures de soutien aux familles depuis 1997, soit les services de garde, les congés parentaux et les prestations monétaires. Méthodologie : Le texte repose sur une revue systématique d’archives, de documents gouvernementaux et de recherches scientifiques sur l’évolution et la transformation de la politique familiale québécoise. Le point de départ de l’analyse est l’examen du Livre blanc Nouvelles dispositions de la politique familiale : les enfants au cœur de nos choix. Résultats : En dépit de son penchant social-démocrate, la politique familiale québécoise n’est pas universelle dans son ensemble et toutes les familles ne sont pas égales dans le soutien qu’elles reçoivent de l’État. Nous montrons l’existence historique de quatre régimes de service de garde, dont les caractéristiques varient selon la nature des services offerts, leurs coûts et la possibilité d’y avoir accès. Nous montrons aussi qu’en raison de l’architecture du Régime québécois d’assurance parentale (RQAP), certains parents ne se qualifient pas pour l’obtention de prestations parentales. Enfin, nous montrons que même si toutes les familles reçoivent depuis 2005 des prestations monétaires, le montant de ces dernières varie selon le revenu. Conclusions : Même si le Québec offre une politique familiale généreuse, la province n’échappe pas entièrement aux caractéristiques des sociétés libérales, dont le Canada fait partie. Contribution : L’article contribue à la réflexion sur la perspective universaliste attribuée à la politique familiale québécoise.

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  • Ballakrishnen, Swethaa, Fielding-Singh, Priya et Magliozzi, Devon. (2019). Intentional invisibility: Professional women and the navigation of workplace constraints. Sociological Perspectives, 62(1), 23‑41. https://doi.org/10.1177/0731121418782185

    Drawing on an in-depth case study at a large nonprofit organization, we find, in line with previous scholarship, that women professionals continue to face biased expectations at work and at home. We leverage data from interviews and participant observation to identify a new strategy that women use to navigate professional constraints created by the second shift and workplace double binds: "intentional invisibility." Intentional invisibility refers to a set of risk-averse, conflict-avoidant strategies that women professionals in our study employ to feel authentic, manage competing expectations in the office, and balance work and familial responsibilities. We find women across the organization reporting intentionally remaining behind the scenes in attempts to avoid backlash and maintain a professional status quo. While intentional invisibility allows women to successfully navigate gender unequal professional and personal landscapes, it could simultaneously present an additional challenge to career advancement. [ABSTRACT FROM AUTHOR]Copyright of Sociological Perspectives is the property of Sage Publications Inc. and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)

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  • Biland, Émilie. (2019). Gouverner la vie privée: l’encadrement inégalitaire des séparations conjugales en France et au Québec. ENS Éditions. https://uqam-bib.on.worldcat.org/oclc/1127906051

    "L'implication de l'État dans la vie privée pose problème : les individus ont davantage de droits que par le passé, mais certains de leurs comportements, jugés problématiques pour la collectivité, justifient un interventionnisme renouvelé, dans lequel acteurs privés et mécanismes de marché occupent une place croissante. En tension entre libéralisme et normalisation, cette action publique participe aux recompositions des rapports sociaux, entre les classes sociales, entre les genres, ainsi qu'entre la population majoritaire et les personnes racisées. Objet de vifs débats et de réformes récurrentes, la régulation par le droit des séparations conjugales est un observatoire précieux de ces recompositions, ici analysées à partir de trois enquêtes collectives, qualitatives et quantitatives, menées des deux côtés de l'Atlantique. En France comme au Québec, l'accès aux procédures, les interactions avec les professionnel.les et l'encadrement des modes de vie sont les trois dimensions constitutives du gouvernement de la vie privée. Cependant, chacun des contextes n'articule pas de la même manière inégalités de classe et inégalités de genre. En scrutant la production institutionnelle des inégalités privées, cet ouvrage invite à imaginer des voies alternatives, dans la sphère privée comme dans la sphère publique, pour que la politique des droits tienne ses promesses émancipatrices."

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  • Gu, Chien-Juh. (2019). Bargaining with confucian patriarchy: Money, culture, and gender division of labor in Taiwanese immigrant families. Qualitative Sociology, 42(4), 687‑709. https://doi.org/10.1007/s11133-019-09427-x

    Previous studies of immigrant families have reported consistent findings concerning the positive effects of employed wives’ financial contributions and Western gender ideologies on women’s bargaining power in the family. This paper revisits this thesis. Data presented in this article are derived from a larger project based on 45 life-history interviews with Taiwanese immigrant women in a Midwest urban region. Findings suggest that women’s employment does not serve as a key factor that shapes spousal power relations in Taiwanese immigrant families. Rather, gendered work-family boundaries and individuals’ abilities construct main rationales in women’s interpretations of their division of labor at home and their dominance in financial management. None of the women interviewed consider Western culture as an inspiration for egalitarian gender ideology. In contrast, Confucian culture is often used by husbands and mothers-in-law to demand traditional gender practice, which is further reinforced and surveilled by the Taiwanese ethnic community. Therefore, the interconnections of work, family, money, culture, and power and their interactive effects on spousal relations are more complicated than previously suggested. This study also reveals varied forms of patriarchal bargaining in Taiwanese immigrant families. Married women tend to accommodate patriarchy in their housework assignment, but actively bargain in their management of family finances and persistence to seek employment. The findings suggest that heterogeneity within the research sample, household structure, and individuals’ subjectivities must be examined to understand the nuances and complexity of women’s gender strategies and bargaining power in immigration families. Theoretical implications of the study are also discussed.

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  • Knapp, Stan J. et Wurm, Greg. (2019). Theorizing Family Change: A Review and Reconceptualization. Journal of Family Theory & Review, 11(2), 212‑229. https://doi.org/10.1111/jftr.12329

    We review how recent family scholarship theorizes recent family change as either a process of deinstitutionalization, in which family can no longer be understood in institutional terms, or a process of diversification, in which family life is expanding but not losing its institutional character. We argue that both approaches emerge out of and depend on a social institutional framework for understanding family that was developed in 20th-century sociology. Despite producing a wealth of research, both approaches have difficulty adequately conceptualizing the institutional character of family and providing ways of theorizing family change. We introduce an alternative to a social institutional framework, a Weberian institutional logics approach, which provides a different way to understand the institutional character of family life and thereby affords new interpretations and avenues for theory and research on family change in the 21st century.

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  • Piazzesi, Chiara, Blais, Martin et Belleau, Hélène. (2019). Frontières de l’intimité conjugale et familiale: de la théorie aux approches empiriques. Enfances, Familles, Générations, (34). https://doi.org/10.7202/1070305ar

    Cadre de la recherche: Cet article traite des frontières symboliques, discursives et pratiques des relations intimes. Notre approche est inspirée par la théorie des systèmes de Niklas Luhmann. La « frontière » est conçue comme une opération de la relation par rapport à elle-même : la relation se définit elle-même par ses opérations communicatives et elle définit ainsi les attentes légitimes de ses membres. La relation existe alors en tant que frontière par ses opérations de communication, qui statuent directement ou indirectement sur ce qu’elle est et sur ce qu’elle n’est pas. Les symboles, les règles de sens et les références sémantiques sont des outils mobilisés dans le travail de frontière. Cependant, ces symboles ne définissent pas les façons de les utiliser dans ce travail. Objectifs: L’article vise deux objectifs principaux. Premièrement, en mobilisant en en définissant les concepts de « frontières » et de « travail de frontière », l’article offre des outils théoriques novateurs pour les recherches sur l’intimité. Deuxième, il montre l’utilité empirique de ce concept par la discussion d’exemples de son application à l’étude des formes et des processus de l’intimité en sciences sociales. Méthodologie: Ayant surtout une visée théorique, l’article procède par clarification conceptuelle et définition des notions de « frontières » et de « travail de frontière » en sciences sociales, pour ensuite discuter des applications de ce concept aux relations intimes, conjugales et familiales. Résultats: Les frontières des relations émergent de l’opérationnalisation de symboles, références sémantiques ou règles de sens dans la communication entre partenaires ou membres des relations. Les symboles mobilisés ne déterminent pas les modalités de leur opérationnalisation, ce qui impose d’observer directement les opérations du travail de frontière afin de les décrire et de les comprendre. Conclusions : Avoir exploré les fondements théoriques et empiriques du concept de frontières dans la sociologie des relations intimes, cet article documente la place centrale de la sémantique et du discours dans le travail de frontières qui définit les relations intimes. Il montre également comment le concept permet de saisir les opérations d’autodéfinition dont les relations mêmes ont besoin pour continuer à exister. Contribution : Cet article offre une synthèse des connaissances sur le concept de frontières et en montre le potentiel heuristique pour aborder les relations intimes, conjugales ou familiales. Les articles rassemblés dans ce numéro y contribuent également en montrant sa pertinence pour analyser une diversité de relations intimes, peu importe leur composition, leur durée ou leurs degrés de stabilité ou d’institutionnalisation.

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  • Robertson, Lindsey G., Anderson, Tamara L., Hall, M. Elizabeth Lewis et Kim, Christina Lee. (2019). Mothers and mental labor: A phenomenological focus group study of family-related thinking work. Psychology of Women Quarterly, 43(2), 184‑200. https://doi.org/10.1177/0361684319825581

    Le travail mental est une composante peu étudiée et longtemps invisible du travail familial. Les chercheurs ont décrit le travail mental comme important, éprouvant et effectué de manière disproportionnée par les mères par rapport aux pères. Cependant, les définitions opérationnelles utilisées dans ces études n'étaient que préliminaires et manquaient de terminologie unifiée. En réponse aux appels à une vision élargie du travail domestique et à de meilleures définitions de son contenu, nous avons entrepris une enquête phénoménologique sur le travail mental familial effectué par les mères. Notre analyse phénoménologique interprétative de sept entretiens de groupe a produit une définition du travail mental des mères et de ses composantes qui était empiriquement fondée sur l'expérience vécue des mères de jeunes enfants ( N = 25). Distinct des tâches ménagères, de la garde des enfants et du travail émotionnel, le travail mental est apparu comme une activité de réflexion effectuée dans le but d'atteindre des objectifs familiaux. Nous avons identifié six formes de travail mental : (a) la planification et l'élaboration de stratégies, (b) le suivi et l'anticipation des besoins, (c) la métaparentalité, (d) la connaissance (apprentissage et mémorisation), (e) la pensée managériale (y compris la délégation et l'instruction) et (f) l'autorégulation. Toutes les mères participantes se sont présentées comme le principal travailleur mental de leur famille, quel que soit leur statut d'emploi ou le niveau d'implication de leur partenaire. Notre description du travail mental peut aider les parents, les chercheurs, les cliniciens, les décideurs politiques et les éducateurs à reconnaître, à valoriser et à mieux tenir compte de la dynamique du travail mental à l'œuvre dans la construction de la vie familiale, la reproduction des rôles de genre et la perpétuation des écarts entre les sexes dans la division du travail familial et la charge mentale.

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