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    • SAUF : exclut les références qui contiennent le terme fourni. Par exemple, SAUF a.
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  • Vous pouvez préciser que certains termes sont plus importants que d’autres (avec l’accent circonflexe). Par exemple, a^2 b c^0.5 indique que a est deux fois plus important que b dans le calcul de pertinence des résultats, tandis que c est de moitié moins important. Ce type de facteur peut être appliqué à un groupement logique, par exemple (a b)^3 c.
  • La recherche par mots-clés est insensible à la casse et les accents et la ponctuation sont ignorés.
  • Les terminaisons des mots sont amputées pour la plupart des champs, tels le titre, le résumé et les notes. L’amputation des terminaisons vous évite d’avoir à prévoir toutes les formes possibles d’un mot dans vos recherches. Ainsi, les termes municipal, municipale et municipaux, par exemple, donneront tous le même résultat. L’amputation des terminaisons n’est pas appliquée au texte des champs de noms, tels auteurs/contributeurs, éditeur, publication.

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  • Les nombres affichés à côté des catégories indiquent combien de références sont associées à chaque catégorie considérant les résultats de recherche courants. Ces nombres varieront en fonction de vos critères de recherche, de manière à toujours décrire le jeu de résultats courant. De même, des catégories et des facettes entières pourront disparaître lorsque les résultats de recherche ne contiennent aucune référence leur étant associées.
  • Une icône de flèche () apparaissant à côté d’une catégorie indique que des sous-catégories sont disponibles. Vous pouvez appuyer sur l’icône pour faire afficher la liste de ces catégories plus spécifiques. Par la suite, vous pouvez appuyer à nouveau pour masquer la liste. L’action d’afficher ou de masquer les sous-catégories ne modifie pas vos critères de recherche; ceci vous permet de rapidement explorer l’arborescence des catégories, si désiré.

Résultats

Cette section présente les résultats de recherche. Si aucun critère de recherche n’a été fourni, elle montre toute la bibliographie (jusqu’à 20 références par page).

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  • Diverses options sont fournies pour permettre de contrôler l’ordonnancement les résultats de recherche. L’une d’elles est l’option de tri par Pertinence, qui classe les résultats du plus pertinent au moins pertinent. Le score utilisé à cette fin prend en compte la fréquence des mots ainsi que les champs dans lesquels ils apparaissent. Par exemple, si un terme recherché apparaît fréquemment dans une référence ou est l’un d’un très petit nombre de termes utilisé dans cette référence, cette référence aura probablement un score plus élevé qu’une autre où le terme apparaît moins fréquemment ou qui contient un très grand nombre de mots. De même, le score sera plus élevé si un terme est rare dans l’ensemble de la bibliographie que s’il est très commun. De plus, si un terme de recherche apparaît par exemple dans le titre d’une référence, le score de cette référence sera plus élevé que s’il apparaissait dans un champ moins important tel le résumé.
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Cours
  • Cycles supérieurs
Périodes historiques
  • 2000 à aujourd'hui
    • 2010-2019

Résultats 12 ressources

Date décroissanteDate croissanteAuteur A-ZAuteur Z-ATitre A-ZTitre Z-A
Résumés
  • Cuthbert, Karen. (2022). Asexuality and epistemic injustice: a gendered perspective. Journal of Gender Studies, 31(7), 840‑851. https://doi.org/10.1080/09589236.2021.1966399

    Drawing on original qualitative research, I argue that the concept of ‘epistemic injustice’ proposed by the feminist philosopher Miranda Fricker, and located within a long genealogy of Black feminist scholarship, can be used sociologically to help understand the lived experiences of asexual people. I show how participants’ accounts of their asexual subjectivities were frequently denied, dismissed and over-written. However, I argue that these experiences were heavily gendered, in that asexual women were subject to epistemic injustices to a degree and in ways that their male counterparts were not, and that this must be understood within the power relations of hetero-patriarchy. These epistemic injustices revolved around old yet prevailing constructions of femininity and womanhood as ‘naturally’ asexual, passive, and lacking agency. When asexual men experienced epistemic injustice, this was rooted in familiar understandings of masculinity as necessitating an active and desiring sexuality. Using Fricker’s elucidation of hermeneutical and testimonial forms of epistemic injustice, I show how asexuality remains a culturally unfamiliar hermeneutical frame in a context of ‘compulsory sexuality’ but also how stories of asexuality are ‘heard’ based on the gendered (and unequal) distribution of testimonial credibility.

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  • Young, Iris Marion et Allen, Danielle S. (2022). Justice and the politics of difference (New Princeton Classics edition). Princeton University Press. https://uqam-bib.on.worldcat.org/oclc/1277280828

    "In this classic work of feminist political thought, Iris Marion Young challenges the prevailing reduction of social justice to distributive justice. The starting point for her critique is the experience and concerns of the new social movements that were created by marginal and excluded groups, including women, African Americans, and American Indians, as well as gays and lesbians. Young argues that by assuming a homogeneous public, democratic theorists fail to consider institutional arrangements for including people not culturally identified with white European male norms. Consequently, theorists do not adequately address the problems of an inclusive participatory framework. Basing her vision of the good society on the culturally plural networks of contemporary urban life, Young makes the case that normative theory and public policy should undermine group-based oppression by affirming rather than suppressing social group differences"

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  • Vergès, Françoise. (2019). Un féminisme décolonial. La fabrique. https://uqam-bib.on.worldcat.org/oclc/1129384562

    Dans le débat public, être décolonial est une infamie. Dans les universités, dans les partis de gauche et d'extrême gauche, les syndicats, les associations féministes, partout on traque une "pensée décoloniale" infiltrée et funeste pour le vivre-ensemble. Dans ce livre, Françoise Vergès élucide l'objet du scandale. Le féminisme décolonial révèle les impensés de la bonne conscience blanche ; il se situe du point de vue des femmes racisées : celles qui, travailleuses domestiques, nettoient le monde ; il dénonce un capitalisme foncièrement racial et patriarcal. Ces pages incisives proposent un autre récit du féminisme et posent toutes les questions qui fâchent : quelles alliances avec les femmes blanches? Quelle solidarité avec les hommes racisés? Quelles sont les premières vies menacées par le capitalisme racial? Pourquoi les néofascismes s'attaquent-ils aux femmes racisées? Ce livre est une invitation à renouer avec la puissance utopique du féminisme, c'est-à-dire avec un imaginaire à même de porter une transformation radicale de la société.

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  • Herman, Elisa et Lagrave, Rose-Marie. (2018). Lutter contre les violences conjugales : féminisme, travail social, politique publique. Presses universitaires de Rennes. https://uqam-bib.on.worldcat.org/oclc/1363106537

    Comprendre les violences faites aux femmes dans le couple c'est aussi analyser les luttes, les politiques publiques et les actions concrètes déployées en France aujourd'hui. Ce livre prend appui sur une enquête ethnographique menée auprès d'associations spécialisées (souvent membres de la Fédération nationale solidarité femmes), de femmes victimes, de professionnels de nombreuses institutions concernées (justice, police, travail social...) et de personnalités politiques et universitaires actifs sur ces sujets. S'adressant aux universitaires ainsi qu'aux professionnels, l'ouvrage décrit la construction de la cause des violences conjugales, ainsi que les politiques publiques mises en œuvre, dans une démarche sociohistorique. Il met ainsi en lumière la porosité des espaces militant, universitaire et institutionnel. L'analyse des carrières militantes et professionnelles, la prise en compte des parcours des femmes rencontrées et du contexte du nouveau management public structurant l'action publique, enrichissent la compréhension du travail social féministe mis en œuvre dans les structures d'accueil et d'hébergement des femmes victimes de violences conjugales et de leurs enfants. Cette recherche sociologique éclaire alors des engagements féministes professionnels trop peu connus, face au paradoxe d'un intérêt politique fort pour lutter contre des violences masculines toujours persistantes.

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  • Jackson, Debra L. (2018). “Me Too”: Epistemic Injustice and the Struggle for Recognition. Feminist Philosophy Quarterly, 4(4). https://doi.org/10.5206/fpq/2018.4.6231

    Congdon (2017), Giladi (2018), and McConkey (2004) challenge feminist epistemologists and recognition theorists to come together to analyze epistemic injustice. I take up this challenge by highlighting the failure of recognition in cases of testimonial and hermeneutical injustice experienced by victims of sexual harassment and sexual assault. I offer the #MeToo movement as a case study to demonstrate how the process of mutual recognition makes visible and helps overcome the epistemic injustice suffered by victims of sexual harassment and sexual assault. I argue that in declaring “me too,” the epistemic subject emerges in the context of a polyphonic symphony of victims claiming their status as agents who are able to make sense of their own social experiences and able to convey their knowledge to others.

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  • Ben Mrad, Fatih. (2017). Burn-out et travail social : Du changement aux résistances à l’épreuve (L’Harmattan). L’Harmattan.

    Le burn-out est devenu un sujet rebattu. Le sous-titre de ce livre traduit la volonté de l'auteur de s'intéresser à la manière dont certains professionnels sont affectés par leur situation, des points de vue physique, psychologique et social. Quels sont les changements personnels que les individus connaissent lorsqu'ils sont confrontés à l'expérience d'un burn-out et lorsqu'ils doivent déployer certaines de leurs ressources pour résister et faire face à leur situation ? A partir de ses observations, l'auteur propose de mieux considérer certains éléments minorés dans les travaux internationaux sur le sujet.

  • Cisne, Mirla, Gurgel, Telma et Prévost, Héloïse. (2017). Les nouvelles formes de féminisme autonome au Brésil. Nouvelles Questions Féministes, 36(2), 34. https://doi.org/10.3917/nqf.362.0034

    Tout au long de son histoire, le féminisme au Brésil s’est caractérisé par une forte hétérogénéité au niveau de sa composition sociale et de ses stratégies politiques. Il est identifié comme un mouvement aux expressions multiples. C’est pourquoi il s’agit d’un « collectif total » au caractère pluriel et hétérogène. Cet article présente quelques réflexions issues d’une recherche exploratoire sur cinq collectifs autonomes brésiliens. Revenant sur le processus d’institutionnalisation et d’« ongéisation », ainsi que sur les liens entre groupes féministes et gouvernements, les auteures analysent le contexte d’émergence d’organisations autonomes et les critiques radicales portées par ces groupes. L’article met en lumière la formation d’une conscience féministe, les formes d’organisation et de représentation politique ainsi que les expressions nouvelles du militantisme au Brésil.

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  • Gardella, Édouard. (2017). Sociologie de la réflexivité dans la relation d’assistance. Le cas de l’urgence sociale. Sociologie du Travail, 59(3). https://doi.org/10.4000/sdt.853

    Dans les travaux sociologiques problématisant la pauvreté comme une relation d’assistance, il est courant d’analyser les aidants et/ou les aidés. Il est plus rare d’observer leur interdépendance, en considérant de manière systématique les pratiques par lesquelles chacun tient compte des effets de son action sur l’autre — autrement dit, en considérant leur (plus ou moins grande) réflexivité au cours de la relation d’aide. La perspective philosophique du care invitant à problématiser la réception de l’aide, une sociologie de la réflexivité conduit à observer dans quelle mesure les aidants ajustent l’aide au gré de ses réceptions par les aidés. Cet ajustement varie selon la légitimité et le temps accordés à cette réception par les dispositifs d’assistance. Le cas de l’urgence sociale, destinée aux personnes sans abri définies comme des victimes en détresse, est à ce titre intéressant, en ce que l’ajustement de l’aide y est a priori très faible : les sans-abri sont considérés comme peu lucides sur leur état et comme devant être secourus de façon ponctuelle. Pour décrire les formes diverses de réflexivité observables dans les pratiques d’aide aux sans-abri à Paris entre 2005 et 2015, nous combinons méthode idéale-typique et démarche ethnographique pour éclairer des pratiques d’ajustement inattendues dans une relation d’urgence. Cet article caractérise plus généralement le temps de l’aide comme une épreuve de synchronisation entre production et réception de l’aide.

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  • Stanchi, Kathryn M., Berger, Linda L. et Crawford, Bridget J. (dir.). (2016). Feminist judgments: Rewritten opinions of the United States supreme court (1re éd.). Cambridge University Press. https://doi.org/10.1017/CBO9781316411254.003

    Comment les opinions de la Cour suprême des États-Unis changeraient-elles si les juges utilisaient des méthodes et des perspectives féministes pour statuer sur les affaires ? C'est la question centrale à laquelle nous avons cherché à répondre en réunissant un groupe d'universitaires et de juristes pour mener à bien ce projet. Pour y répondre, ils utiliseraient des théories féministes pour réécrire les affaires de justice de genre les plus importantes tranchées par la Cour suprême des États-Unis depuis l'adoption de l'amendement final sur les droits civils en 1870 jusqu'à l'été 2015. Dans un premier temps, nous n'avons donné aucune indication à nos contributeurs sur ce que nous entendions par « féminisme ». Nous voulions que nos auteurs soient libres d'apporter leur propre vision du féminisme au projet. Pourtant, il serait fallacieux de suggérer que nous n'avons pas nous-mêmes une perspective particulière sur ce que sont le « féminisme », le « raisonnement féministe » ou les « méthodes féministes ». En effet, sans une telle perspective, nous n'aurions pas entrepris le projet. Nous reconnaissons le « féminisme » comme un mouvement et une perspective historiquement ancrés dans la politique, et qui motivent les batailles sociales, juridiques et autres pour l'égalité des femmes. Nous le comprenons également comme un mouvement et un mode d'enquête qui se sont développés pour approuver la justice pour tous, en particulier ceux historiquement opprimés ou marginalisés par ou à travers la loi. Nous croyons que le « féminisme » n'est pas l'apanage des femmes uniquement, et nous reconnaissons et célébrons les identités multiples et fluides contenues dans la catégorie « femme ». Dans cette vision large, nous reconnaissons que les féministes peuvent être en désaccord (et être toujours féministes) et qu'il n'existe pas de méthodes ou de processus de raisonnement féministes unitaires. Ainsi, lorsque nous parlons de méthodes féministes ou de processus de raisonnement féministes, nous entendons « méthodes » et « processus de raisonnement » au pluriel ., tout en reconnaissant qu'il existe un corpus riche et diversifié d'érudition qui s'est épanoui sous l'étiquette globale de « théorie juridique féministe ». En effet, ce sont les méthodes et les processus de raisonnement examinés et employés par de nombreux auteurs représentés dans le livre. Néanmoins, en façonnant le projet depuis ses débuts jusqu'aux pages finies, nous, en tant qu'éditeurs, avons été motivés par une vision large et expansive de ce qu'est le «féminisme». Cette vaste compréhension a sans aucun doute façonné le projet à bien des égards, y compris notre choix de cas, notre sélection d'auteurs et nos modifications, même si nous n'avons pas défini le féminisme pour nos contributeurs.

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  • Aronson, Pamela. (2015). Féministes ou postféministes ? Les jeunes femmes, le féminisme et les rapports de genre. Politix, 109(1), 135‑158. https://doi.org/10.3917/pox.109.0135

    Contrairement à une idée communément admise et aux recherches jusqu’ici consacrées à la génération « postféministe », cette recherche étatsunienne montre que les jeunes femmes sont conscientes de l’évolution récente des opportunités ouvertes aux femmes, mais aussi de la permanence des inégalités et des discriminations. Les résultats mettent en lumière à la fois un large soutien envers les objectifs féministes et une attitude ambivalente concernant la notion elle-même. Si certaines femmes s’inscrivent dans un continuum d’identification au féminisme, la moitié se présentent comme « ni pour ni contre » ou ne sont pas en mesure de formuler une opinion. Leur positionnement varie en fonction des catégories sociales et raciales, mais aussi des différentes trajectoires sociales.

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  • Hamrouni, Naïma et Maillé, Chantal (dir.). (2015). Le sujet du féminisme est-il blanc? : femmes racisées et recherche féministe. Les éditions du remue-ménage. https://uqam-bib.on.worldcat.org/oclc/925399204

    À l’automne 2013, au moment de la controversée Charte des valeurs visant à interdire aux fonctionnaires le port de signes religieux dits ostentatoires, des femmes et des féministes se sont organisées. Pendant que certaines se regroupaient sous des bannières faisant de la laïcité la seule garante de l’égalité des sexes, des féministes se sont saisies d’espaces de parole alternatifs pour dénoncer le déni des droits fondamentaux et la stigmatisation des femmes issues de minorités. Si l’analyse des intersections entre racisme et sexisme fait partie intégrante du champ des études féministes depuis la fin des années 1960, le contexte politique récent ramène à l’avant-plan ces questions difficiles et nous force à les revoir sous un éclairage nouveau. Qui est le sujet-femme dont parle le féminisme? Qui fait partie de ce «Nous» et quelles femmes en sont implicitement tenues à la marge? Est-ce que les revendications au cœur du féminisme actuel représentent bien les préoccupations profondes des femmes minorisées, racisées? Compte tenu de l’effervescence que connaît le féminisme ces derniers temps, il était devenu incontournable de rassembler dans un même ouvrage ces réflexions sur le thème des femmes racisées, une première dans le monde francophone. Avec des textes de Leïla Benhadjoudja, Sonia Ben Soltane, Ryoa Chung, Julie Cunningham, Naïma Hamrouni, Gaëlle Kingué Élonguélé, Chantal Maillé, Ida Ngueng Feze, Geneviève Pagé, Sandrine Ricci, Karine Rosso et Diahara Traoré. Avec la participation de Alia Al-Saji, Alexa Conradi, Viviane Michel, Maria Nengeh Mensah et Geneviève Rail.

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  • Lépinard, Éléonore. (2015). Praxis de l’intersectionnalité : répertoires des pratiques féministes en France et au Canada. L’Homme et la société, 198(4), 149. https://doi.org/10.3917/lhs.198.0149

    Les théories féministes ont désormais largement adopté le concept d’intersectionnalité pour décrire et analyser les axes multiples d’oppression et leurs imbrications. Cependant, encore relativement peu de recherches explorent la question de savoir si les organisations de femmes dans différents contextes ont elles aussi adopté ce terme et l’analyse politique qu’il implique. À partir de données qualitatives recueillies auprès de militantes des droits des femmes en France et au Canada, cet article montre que l’intersectionnalité est un des répertoires discursifs possible — mais pas le seul — que les organisations de femmes peuvent utiliser pour analyser l’expérience sociale et les intérêts politiques des femmes situées à l’intersection de plusieurs rapports d’oppression. À partir des données qualitatives, l’article propose une typologie de quatre répertoires types que les militantes utilisent pour penser l’intersectionnalité et l’inclusion au sein de leurs organisations.

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Année de publication

  • Entre 2000 et 2025 (12)
    • Entre 2010 et 2019 (10)
      • 2015 (3)
      • 2016 (1)
      • 2017 (3)
      • 2018 (2)
      • 2019 (1)
    • Entre 2020 et 2025 (2)
      • 2022 (2)

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