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The dynamic duo of Jumoke and Kym tackle the topic of empowerment and what that means for disabled, Black women. This was filmed as part of a TEDx talk at the University of Sussex in England. _______________________________________________________________________________________________ TRIPLE CRIPPLES was created by @TheKymOliver & @JayOnLife to provide a platform for & highlight the narratives of Black & non-Black Women, Femmes & Non-Binary people of colour, living with disabilities. We are here. We exist! We know the media and mainstream disability conversations would have you believe otherwise mega eye roll*... But guess what? WE GOTS THA INTERNETS, BITCHEZZZZ!!! Eat it. *put on shades and look cool at night ———————————————————————————————- JOIN US ON OUR JOURNEY! Hit the comments box! And if you or any women/femmes/non-binary people you know, would like to be a guest... Hit the DM’s! 🖤 Website: https://thetriplecripples.uk/ Twitter/Instagram: @TripleCripples Follow Jumoke: @JayOnLife Follow Kym: @TheKymOliver ———————————————————————————————- Track: “runaway” ~ K15 feat. AMA LIVE! Big Love to K15 for kindly letting us use his amazing music as our bedding track!!! Check out @k15music, support his sound, buy some vinyls and follow him on all platforms: Twitter: @K15music Facebook: @K15music Soundcloud: @K15 Bandcamp: @K15music
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This was the opening keynote speech at the 2018 Disability Intersectionality Summit, in Cambridge, Massachusetts on Oct 13, 2018.
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Des corps féminins en rangées, qui se meuvent en synchronie. Ils ne se distinguent que par le détail d’un vêtement, d’une courbe, d’une teinte de cheveux. Les filles en série créent l’illusion de la perfection. Ce sont des filles-machines, filles-marchandises, filles-ornements. Toutes reproduites mécaniquement par l’usine ordinaire de la misogynie. Les filles sont des filles parce qu’elles sont en série. Mais la figure des filles en série est double: à la fois serial girls et serial killers de l’identité qu’on cherche à leur imposer. Entre aliénation et contestation, les filles en série résistent à leur chosification, cassent le party, libèrent la poupée et se mettent à courir. Cet essai percutant, paru pour la première fois en 2013, se déploie comme une chaîne qui se fait et se défait, depuis les Cariatides jusqu’aux Pussy Riot. Dans cette édition revue et augmentée, Martine Delvaux s’attaque à la blancheur des filles en série et analyse de nouvelles formes de résistance investies par les ballerines, les survivantes d’agressions et Beyoncé.