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Résultats 32 ressources
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C’est là un ouvrage de référence qui présente la recherche sur la musique, les genres et les sexualités, et plus largement la vie musicale non dominante au Québec depuis le dernier quart du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. Issu des travaux réalisés en 202-2022 par le pôle universitaire DIG! Différences et inégalités de genre dans la musique au Québec (D!G), un réseau interdisciplinaire et intersectoriel qui réunit les chercheur·ses, publics, artistes et autres professionnel·les de la musique qui s’intéressent à cette thématique, l’ouvrage comprend une revue de la littérature et une bibliographie de plus de 800 ressources scientifiques.
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« Ce guide propose aux personnes intéressées une introduction aux conditions nécessaires à la réalisation de projets de recherche participative. Les personnes tentées par l’expérience de ce type de recherche pourront ainsi s’approprier les conditions essentielles pour s’assurer d’un processus efficace et surtout respectueux pour toutes et tous » (p. 1)
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« Ce répertoire d'outils de référence est particulièrement intéressant pour travailler en équipe partenariale avec des personnes en situation de pauvreté. "Bien entendu, les pratiques d’inclusion ne concernent pas qu’exclusivement ces personnes, mais bien avec toutes celles vivant de l’exclusion. Les propositions présentées dans ce guide s’appliquent donc dans des contextes variés » [Portion du résumé original].
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Alors qu'en France, une série de dispositions racistes et islamophobes ont été adoptées au nom de l'émancipation des femmes et de la lutte contre le «séparatisme», la traduction de ce livre pionnier vient à point nommé. Dans Au nom des femmes, Sara R. Farris explore l'émergence de discours et de revendications concernant les droits des femmes concernées d'un ensemble improbable de partis politiques nationalistes de droite, de néolibéraux·ales et de théoricien·n.e.s et responsables politiques féministes en France, en Italie et aux Pays-Bas. Pour décrire cette exploitation et cette assimilation de thématiques féministes dans leurs campagnes islamophobes et xénophobes, l'autrice a forgé le terme «fémonationalisme». Au travers de ses recherches, Sara R. Farris démontre qu' en qualifiant les hommes musulmans de dangereux pour les sociétés occidentales et d'oppresseurs à l'égard des femmes tout en insistant sur la nécessité qu'il y aurait à sauver les femmes musulmanes et immigrées, ces groupes et ces politiques d'État se servent de l'égalité de genre pour justifier leur rhétorique et leurs politiques racistes. Cette pratique a, selon elle, également un rôle économique. L'autrice analyse comment les politiques néolibérales d'intégration et ces groupes féministes canalisent les femmes musulmanes et immigrées non occidentales vers les industries ségrégatives du soin à autrui et des services domestiques tout en affirmant promouvoir leur émancipation. Au nom des femmes est une vaste étude sur les liens entre le racisme et le féminisme qui décrit également comment les femmes non occidentales sont instrumentalisées pour servir une série d'objectifs politiques et économiques. Nourri de l'analyse délicate, dans ces trois pays, des programmes politiques des partis d'extrême droite ainsi que des propositions tenues par d'importantes personnalités politiques et universitaires ou encore des politiques d'intégration, l'ouvrage de Sara R. Farris documente de manière fouillée l'essor actuel de cette tendance de l'extrême-droite et des États à instrumentaliser le féminisme pour motiver son discours xénophobe.
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With the enactment of anti-homosexuality laws in the 1960s, Cameroon's government officially endorsed heterosexualist ideologies which legitimize the alienation and criminalization of minority and nonconforming sexual and gender identities. One group, the so-called garçons manqués, embodies the stigmatized masculine or "butch" lesbian identity. The political management of lesbianism in Cameroon is ambivalent, however, with respect to sport, and particularly regarding the national pastime, football. Whereas masculine lesbians are routinely branded as "butches" or "sexual predators" who threaten African hetero-patriarchy, "strong women"" (femmes fortes) are celebrated as pivotal to the national ambition. Cameroon's government strategically amalgamates both heteronationalism and homonationalism in the interest of national pride.
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Bataille pour l’âme du Québec raconte l’histoire du nationalisme québécois depuis la fin des années 60 à aujourd’hui. Comment ce nationalisme s’est petit à petit transformé d’un courant progressiste et «ouvert sur le monde» à un courant beaucoup plus conservateur, un nationalisme centré sur la «majorité historique francophone».
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Plutôt que de réduire le féminisme à des revendications faites à l’État, au patron, au chef ou à papa, pour plus de lois, plus de “sécurité”, à n’être que le porte-drapeau ou le cache-misère du capitalisme, de tel ou tel gouvernement nationaliste, ces histoires des féminismes présents rappellent et font résonner ensemble nos vies féministes. Ce livre fonctionne comme un abécédaire, un manuel, une boîte à outils, un dictionnaire amoureux, dans lequel échanger des idées, affûter des armes, écouter des voix, partager des expériences et des pratiques, vibrer pour des luttes présentes. Il s’adresse à tous·tes : il contient à la fois des ressources et foisonne de références utiles, de notions, mais il est fabriqué par des plumes et des voix, des points de vue situés sur des retours d’expériences collectives, des itinéraires politiques et intimes, des réflexions et des rétrospections sur des parcours, des engagements, des révoltes et des espoirs. En pluralisant les styles, en se situant à la fois du côté de la théorie et de la pratique, de la création, des écritures au “nous” et au “je”, il témoigne de la force d’une approche féministe de l’histoire intellectuelle et politique. Il est dédié à toutes les résistantes anonymes au quotidien des violences les plus crasses, à celles qui embrasent les tribunaux, cassent des genoux et brisent les vitrines, à celles qui inventent mille tactiques imperceptibles pour survivre et se mettre à l’abri, à la mémoire de celles dont les noms recouvrent les murs de nos villes la nuit, à la puissance des collectifs qui se font, à ceux qui se sont défaits, qui se sont (re)constitués ailleurs ou autrement, à ce qui nous lie.
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« Au croisement étoilé de la négritude et de la transidentité, l’accidentelle et lumineuse poésie de nos vies lancée au monde. » Dans cet ouvrage collectif, la parole est donnée exclusivement à des personnes trans noires, vivant en France pour la grande majorité. Ce recueil coordonné par Michaëla Danjé, femme trans membre et co-fondatrice de Cases Rebelles, contient des essais, de la fiction, de la poésie, des interviews, etc. Ce livre est constitué d’une multiplicité de voix, de perspectives et d’expériences diverses. Différentes générations sont également représentées. AfroTrans est beau, complexe, riche de lumière, d’amour et de force !
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En 2019, à Bastille, on assiste à la représentation des "Indes galantes", l’ode à l’exotisme colonial de Rameau, revisitée par Clément Cogitore dans une version hip-hop ! Qui est derrière cette révolution ? Bintou Dembélé, première femme noire à avoir chorégraphié un ballet à l’opéra de Paris en trois cent cinquante ans. Programme court (2020, 6mn) Disponible jusqu'au 10/01/2026
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Elles sont belles. Elles sont riches. Elles sont populaires. Elles sont des superstars, et elles se disent féministes. Dans la lignée de Madonna, des Riot Grrrls et des Spice Girls s'élèvent aujourd'hui les voix et les corps de femmes puissantes et controversées comme Beyoncé et Lady Gaga. On leur reproche de faire fructifier leurs prises de position. D'édulcorer les idées politiques dont elles se réclament. Simple plus-value à leur image de marque ou résistance authentique? Et si leur discours relevait à la fois de l'une et de l'autre? Sandrine Galand plonge au coeur de ces questions difficiles dans cet essai documenté sur la place du féminisme dans la culture populaire contemporaine. Elle fait le pari d'embrasser les tensions qui le traversent pour mieux repérer ce que ces stars pop représentent de subversif et d'inclusif, pour mieux comprendre ce qui se passe entre les gloires et les chutes. Plus qu'un effet de mode, ce sont de nouveaux récits qui s'écrivent avec ou en marge des luttes. L'autrice réapprend à aimer ce féminisme qui fleurit à l'ombre du spectacle, en révélant ce qui, en lui, nous parle de nous.
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Rita Mae Brown’s Rubyfruit Jungle (1973) is a foundational work of lesbian literature and has been characterized as a queer text. This essay begins with resistance to reading the novel as a wholly celebratory queer text because of how it positions a form of essentialized lesbianism against queer sexualities that are coded as deviant and abnormal. Nonetheless, Rubyfruit Jungle brims with queer narratives, queer scenes, and queer characters. In the essay’s second half, I draw on Eve Kosofsky Sedgwick’s model of reparative reading to engage with potential queer readings the novel affords. I show how readers can recuperate the queer sexualities the novel documents in ways that the novel – with its specific historical and political positionality – did not or could not account for.
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En 1949 en Côte-d’Ivoire, deux mille femmes marchent d’Abidjan à la prison de Grand-Bassam pour exiger la libération de prisonniers politiques. De 1952 à 1960, des femmes participent massivement à la lutte du peuple kikuyu contre les autorités coloniales au Kenya. Dans les années 1960 au Mozambique, le FRELIMO crée des camps d’entraînement militaire dédiés aux femmes. Aux quatre coins du monde, tout au long de l’histoire de la colonisation, des femmes se sont mobilisées pour résister aux conquêtes, renverser les rapports de force, mettre fin aux discriminations ou arracher la liberté. Partout ou presque, l’histoire a oublié leurs noms. Ce livre veut remettre en lumière une partie de ces oubliées qui ont résisté, pris les armes, ou qui ont milité, manifesté, soigné, nourri, caché. Ces femmes qui ont dit non à la colonisation.
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In the 1920s in Japan, girls attending single-sex secondary schools developed a girls’ culture (shōjo bunka) or subculture to insulate themselves temporarily from the pressures of patriarchal society. Part of this subculture was a practice called s kankei (s or sister relationships), also called Class S, which were same-sex romantic attachments between classmates, condoned at the time as a temporary practice relationship that would end upon graduation, followed by an arranged marriage. Although s relationships were not ‘lesbian’ in the contemporary sense, literature and film created by men in the 1920s through the 1960s appropriated aspects of girls’ culture, including exploitative representation of female homosexuality. One example is Manji (Quicksand, 1928) by Tanizaki Jun’ichirō, which depicts an s relationship as lurid and perverse. Kawabata Yasunari plagiarized from his female disciple Nakazato Tsuneko in order to publish the most popular Class S novel of the era, Otome no minato (Harbor of Girls, 1937). Kawabata also included exploitative scenes of female homosexuality in his novel Utsukushisa to kanashimi to (Beauty and Sadness, 1963). Both Tanizaki’s and Kawabata’s novels were made into films by New Wave directors, Manji in 1964 by Masumura Yasuzō and Beauty and Sadness in 1965 by Shinoda Masahiro, and featured the first depictions of ‘lesbianism’ in Japanese film. Although these films reinscribe the male gaze, they helped inspire a nascent gay culture and opened the way for more authentic gay cinema. This essay recenters girls’ culture in modern Japanese literature and film, and discusses the variable meaning of female homosexuality for different audiences.
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Le premier panel de YIWA (Young Indigenous Women Action) sera animé par la fondatrice, Olepika Takpanie Kiguktak, et donnera la parole à quatre femmes autochtones impliquées à travers le Québec : Olivia Lya Thomassie, Uapukun Mestokosho, Maïtée Labrecque Saganash et Laura Fontaine. Elles aborderont des sujets qui sont importants pour elles comme leurs territoires, leurs identités, leurs luttes quotidiennes, leurs parcours inspirants et leurs motivations.
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Camille Toffoli croit que les serveuses de diners, les chanteuses country, les sad girls et les championnes de rodéo ont quelque chose de fondamental à nous apprendre sur les rapports de genre et les privilèges de classe. Filles corsaires construit une pensée qui a les deux pieds dans la vie, qui jette son dévolu sur les figures oubliées et les angles morts d’un certain féminisme universitaire. Pourquoi le célibat volontaire, l’autonomie sexuelle et la non-maternité sont-ils toujours frappés de suspicion ? L’amitié peut-elle réellement lutter contre l’hétéronormativité ? Comment penser une politique de la solitude ? L’autrice investigue ces questions, et bien d’autres, à travers une série de portraits où les anecdotes côtoient les réflexions philosophiques. Une éthique féministe inconfortable qui se déploie quelque part entre les journées de travail en librairie, les soirées karaokés et les brunchs deux oeufs-bacon.
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Salut à toutes et tous, en ces temps confinés j’ai pensé vous mettre à disposition cette histoire inédite de mon tome 3 « La charge émotionnelle ». Je souhaite plein de …
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Conférence intitulée « ''Culture de mort'' / ''Culture de vie'' : ''Idéologie du genre'' en Colombie » donnée par Priscyll Anctil Avoine, doctorante en science politique avec concentration en études féministes à l’Université du Québec à Montréal, dans le cadre du panel « Antiféminismes en Amérique latine : les cas du Brésil et de la Colombie » organisé le 21 février 2020 à l'UQAM par le Réseau québécois en études féministes (RéQEF), en collaboration avec l'Institut de recherches et d'études féministes de l'UQAM (IREF), le Réseau d'études latino-américaines de Montréal (RÉLAM) le Réseau d'études latino-américaines de Montréal (RÉLAM) et le Groupe de recherche en études féministes en science politique de l'UQAM (GREF).
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Conférence intitulée « Discours anti-genre au Brésil : antiféminismes et nécropolitique dans l'État brésilien » donnée par Danielle Coenga-Oliveira, doctorante en science politique et en études féministes à l'Université du Québec à Montréal, dans le cadre du panel « Antiféminismes en Amérique latine : les cas du Brésil et de la Colombie » organisé le 21 février 2020 à l'UQAM par le Réseau québécois en études féministes (RéQEF), en collaboration avec l'Institut de recherches et d'études féministes de l'UQAM (IREF), le Réseau d'études latino-américaines de Montréal (RÉLAM) et le Groupe de recherche en études féministes en science politique de l'UQAM (GREF).
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Iris Brey théorise le regard féminin, ou female gaze, une façon de filmer les femmes sans en faire des objets, de partager la singularité des expériences féminines avec tous les spectateurices, quel que soit leur genre, et de renouveler notre manière de désirer en regardant sans voyeurisme. Des joyaux du cinéma à certaines oeuvres plus confidentielles, en passant par quelques séries et films très contemporains, Iris Brey nous invite à nous interroger sur le sens caché des images.
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