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Résultats 39 ressources
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« After years of consultation, advising, positive and negative experiences of collaborating, and many conversations with colleagues and peers, we created this document as a starting point to reflect on how to best collaborate with Indigenous communities. In this document, you will find our perspectives, and the points of view of Indigenous collaborators on what constitutes and feels like good collaboration. To summarize, our goal is to: • Centre Indigenous perspectives on community engagement • Encourage a reflection on the motivation for soliciting Indigenous communities • Provide guidance on ways to move from reflection to action » (p. 5)
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Voici enfin traduit en français Borderlands/La Frontera, le chef-d’œuvre de la féministe chicana Gloria Anzaldúa, le livre fondateur de la pensée queer décoloniale étatsunienne. Ce livre hybride mêle les genres (essai et poésie) et les langues (anglais, différentes formes d’espagnol et quelques touches de langue indigène aztèque), pour mieux évoquer l’existence méconnue et précaire de celleux qui vivent entre deux mondes, à la frontière entre les cultures et les langues : les Chicanx dans la culture anglo-saxonne, les femmes dans la culture hispanique, les lesbiennes dans le monde hétéronormé, etc. Pour Anzaldúa, la frontière ne délimite pas des espaces, géographiques ou symboliques. Au contraire, elle crée de nouveaux territoires, les Borderlands. Dans ces « Terres frontalières » se construit une identité autre, « la nouvelle mestiza », qui rend possibles des façons inédites d’être au monde.
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Mi lesbianismo es la avenida que me ha permitido comprender mejor el silencio y la opresión, y sigue siendo el más claro recordatorio de que no somos seres humanos libres. Moraga 1988, 21 Ce numéro, intitulé Littératures lesbiennes et frontière dans les Amériques (1980-2020), propose de réfléchir à la délimitation d’un champ du savoir – les littératures lesbiennes – depuis lequel repenser la frontière dans les Amériques comme espace de re-signification de la dichotomie inside/outside qui est ...
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« La boîte à outils décoloniale offre au public un parcours d'autoformation sur les réalités autochtones. Ce parcours éducatif rassemble des ressources gratuites soigneusement sélectionnées et rédigées par des Autochtones, ou encore des ressources s’appuyant sur les connaissances autochtones. [...] Notre objectif est de fournir des ressources, nourrir vos réflexions et aider à comprendre la complexité de la décolonisation et à intégrer ce changement dans la vie quotidienne. Nous espérons que ces tremplins vous guideront dans votre cheminement personnel vers la décolonisation et vers une alliance significative entre les peuples » [Résumé original]. Plusieurs outils et principes présentés sont hautement pertinents en contexte de recherche avec les populations autochtones [Résumé équipe ORPCC]
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« La Boîte à outils des principes de la recherche en contexte autochtone s’adresse à tous ceux qui souhaitent apprendre ou approfondir leurs connaissances dans le domaine de la recherche en contexte autochtone. La Boîte à outils vise à rassembler et à mettre à la disposition de tous des outils existants (questionnaires d’évaluation, formulaires de consentement, réflexions sur le sujet de l’éthique et de la collaboration, vidéos explicatives, etc.) qui peuvent s’avérer utiles dans l’élaboration d’une recherche collaborative à la fois éthique, respectueuse, équitable et réciproque » [Résumé tiré de : https://observatoire-ia.ulaval.ca/boite-a-outils-des-principes-de-la-recherche-en-contexte-autochtone-ethique-respect-equite-reciprocite-collaboration-et-culture/]
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Le premier tome de la trilogie autobiographique de Jovette Marchessault, Le crachat solaire, raconte le voyage cosmique de la narratrice vers la terre, sa naissance, ainsi que ses voyages dans le ventre d’un autobus Greyhound à travers les Amériques à l’âge adulte qui la met en lien avec « la terre amérindienne ». Après un long périple, elle sent le besoin de revenir à Montréal, un récit de retour qui rejoint celui de sa chute sur terre dans l’enveloppe charnelle de son corps physique. Les deux récits qui s’entrecroisent offrent une vision alternative de l’histoire à travers un récit de soi, de sa famille, de ses ancêtres et d’un récit de création féministe. Unique, ce texte féministe paru en 1975 articule la domination patriarcale à la violence du colonialisme dans un effort d’offrir une version féministe et anticoloniale de l’histoire de Montréal, du Québec, et plus largement des Amériques. À partir de ma position comme féministe colonisatrice blanche, j’analyse comment le récit autobiographique de Marchessault pousse à une prise de conscience anticoloniale pour les féministes québécoises et encourage un regard critique sur l’histoire du colonialisme au Québec.
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« Ce livre/site est composé d'une série de courts chapitres synthétiques, accompagnés de références commentées, qui nourriront la réflexion des lecteurs et lectrices sur le type de recherche qu'ils et elles souhaitent faire et qui les accompagneront dans la rédaction de leur projet de recherche » [Portion du résumé original], incluant recherche collaborative, recherche-action et recherche partenariale [Résumé équipe ORPCC]
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« Le Cadre de référence en recherche par et pour les Autochtones en milieu urbain au Québec vise à améliorer l’exercice de la recherche afin : • d’améliorer les compétences et l’autonomie en recherche des organisations autochtones urbaines, dont les Centres d’amitié et le RCAAQ; • de rétablir la confiance des Autochtones envers le monde scientifique de la recherche en fondant la démarche sur une collaboration équitable et des rapports égalitaires; • d’assurer que la recherche bénéficie aux Autochtones et à leurs organisations en milieu urbain. Il est utile pour les personnes suivantes : • les Autochtones, qui vivent ou sont de passage en milieu urbain, et qui participent à un projet de recherche dans un des Centres d’amitié autochtones du Québec; • les organisations autochtones urbaines, dont les Centres d’amitié et le RCAAQ, ainsi que leurs membres et leurs équipes; • les chercheurs, les étudiants, les groupes de recherche et les comités d’éthique du milieu universitaire ou privé; • les autres acteurs touchés, de près ou de loin, par la recherche autochtone en milieu urbain » (p. 9)
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Este ensaio busca delinear uma reflexão acerca da ideia de literatura lésbica, atrelada ao conceito de geografias lésbicas (Browne e Ferreira, 2015). Para tanto serão discutidas as ideias de lesbianidades plurais em perspectivas que consideram performances de gênero,interseccionalidade e decolonialidade. O espaço é fundamental para a perspectiva que essa discussão pretende tomar, pois é no espaço que as relações identitárias, sociais e de gênero acontecem, entram em conflito e expõem suas vontades de dominação e suas incompletudes. Com a ocupação dos espaços, sejam geográficos, epistêmicos, teóricos ou literários, por essas lesbianidades, é possível que novas propostas éticas e estéticas entrem em jogo. Considerando lésbica – e mais tarde lésbica – como um adjetivo, desejamos desvelar quais novas leituras críticas podem ser empreendidas no campo literário This essay aims to outline a reflection on the idea of lesbian literature, connected to the concept of lesbian geographies (BROWNE et FERREIRA, 2015). Therefore, the ideas of plural lesbian identities will be discussed in perspectives that consider performances of gender, intersectionality and decoloniality. Space is fundamental to the perspective that this discussion intends to take, as it is in space that identity, social and gender relations take place, come into conflict and expose their dispositions towards domination and their incompleteness. The occupation of spaces, whether geographical, epistemic, theoretical or literary, by these lesbian existences, makes possible that new ethical and aesthetic proposals come into play. Considering lesbian – and later lesbian – as an adjective, we wish to reveal what new critical readings can be undertaken in the literary fiel
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Panel 4 | De la résilience à la guérison: L’art de la décolonisation pratique au quotidien tel que conté par les jeunes femmes cries --- ★ Originaire de Waswanipi, communauté crie d’Eeyou Istchee, Maïtée Labrecque-Saganash est chroniqueuse au Journal Métro Montréal et au magazine The Nation. Militante pour les droits des autochtones, elle s’implique aussi sur son territoire, en travaillant au Cree Health Board comme assistante de recherche et technicienne en communication. ★ A native of Waswanipi, Cree community of Eeyou Istchee, Maïtée Labrecque-Saganash is a columnist for the Montreal Metro Journal and the NATION magazine. An activist for Indigenous rights, she is also involved in her territory, working at the Cree Health Board as a research assistant and communication technician. ★ Originaria de Waswanipi, comunidad Cree de Eeyou Istchee, Maïtée Labrecque-Saganash es columnista del periódico Montreal Metro y de la revista The Nation. Es una activista por los derechos de las personas indígenas y también está involucrada en su tierra, trabajando en la Junta de salud cree (Cree Health Board) como asistente de investigación y técnica de comunicación. --- Réalisation vidéo : Agustina Isidori Graphisme : Meky Ottawa Chanson «Windigo» d'Anachnid Photo :Cannelle Wiechert --- https://www.colloqueresistances.org https://www.facebook.com/colloqueresi... resistancesfemmesautochtones@gmail.com
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« Almost 20 years after Māori scholar Linda Tuhiwai Smith’s call to decolonize research (Smith, 1999), significant progress has been made into drafting ethics principles to guide research with Indigenous people (e.g., CIHR et al., 2014). However, transforming principles into actual practices is easier said than done. It is increasingly recognizedthat “knowing the key guiding principles for research with Indigenous peoples is not always enough and [principles need to be]translated into day-to-day research practices”(Morton Ninomiya and Pollock, 2017, p. 29). This themed issue presents studies on various topics conducted in different geographical and cultural settings and suggesting concrete ways to decolonize research. The call for papers was issued following the 3rd Seminar on the ethics of research with Aboriginal people held at the Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue in late 2014. Two previous editions of the seminar (in 2009 and 2011) had invitedparticipants2to share experiences of good and bad research practices, summarized in Asselin and Basile (2012). The 3rd seminar took a step further in focusing on concrete ways to decolonize research.In what follows, we discuss research decolonization and summarize the key messages from the keynote speakers of the 3rd seminar, some of which have contributed papers to this themed issue. Additional contributions widened the geographical scope considered (Canada, Mexico, Peru) in addition to providingmore examples of concrete ways to decolonize research. » [Extrait original p. 643-644|
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« Les défis socioéconomiques, politiques et écologiques courants exigent de nouvelles approches à la création et à l’application des recherches. Trouver de nouvelles approches à la création de savoirs exige de se tourner vers des manières précédemment exclues de comprendre le monde, y compris les modes de savoir autochtones. Ce sommaire exécutif, « Apprentissage croisé des systèmes de connaissances autochtones et occidentaux et intersectionnalité: Réconcilier les démarches de recherches en sciences sociales », explore ces possibilités. La reconnaissance croissante au Canada de la persistance du colonialisme comprend notamment la réalisation que la tentative d’effacement des connaissances et des systèmes de savoirs autochtones a résulté en occasions manquées de créativité et d’innovation dans la poursuite de recherches qui feraient progresser l’égalité et la durabilité. La présente synthèse vise à contribuer à l’engagement du Canada envers la vérité et la réconciliation, en offrant des pistes de recherche intentionnellement ouvertes aux modes de savoirs tant autochtones qu’occidentaux, et à l’incorporation des voix marginalisées dans les multiples systèmes de savoirs » [Résumé original]
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« Ce premier feuillet d’info de la série « Apprentissages croisés des systèmes de connaissances autochtones et occidentaux et l’intersectionnalité » sert d’introduction à l’approche de recherche, aux principales considérations et utilisations de ce travail. Ces feuillets d’information survolent certains éléments des modes de savoirs autochtones et occidentaux. Ils explorent les liens potentiels entre approches autochtones et occidentales en matière de création de savoirs, fournissent des exemples et identifient les risques. En outre, les feuillets d’information présentent et explorent l’intersectionnalité en tant qu’important concept complémentaire pouvant renforcer l’analyse et appuyer le travail de vérité et de réconciliation. Sept grands principes visent à orienter les universitaires, les décisionnaires politiques et toute autre personne intéressée à mener une recherche à l’écoute de la réconciliation par l’entremise de l’intersectionnalité. Enfin, douze méthodes sont illustrées par des exemples démontrant comment mener des recherches reliant des modes de savoirs autochtones et occidentaux et l’intersectionnalité » [Résumé original]
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« Ce deuxième feuillet d’info de la série « Apprentissages croisés des systèmes de connaissances autochtones et occidentaux et l’intersectionnalité » présente les fondements dans le cadre de la transposition des perspectives autochtones et occidentales. Toutefois, il n’existe pas de mode unique de savoirs autochtones ou occidentaux et donc on doit éviter de réduire des traditions vastes et variées à des termes simplistes et généraux. On souligne les risques que comporte l’intégration de ces visions du monde et on explore les cadres de recherche qui réunissent les perspectives autochtones et occidentales à la création de savoirs » [Résumé original]
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« Ce troisième feuillet d’info de la série « Apprentissages croisés des systèmes de connaissances autochtones et occidentaux et l’intersectionnalité » se concentre sur les contributions possibles de la pensée intersectionnelle aux cadres de liaisons autochtones et occidentaux alors qu’elle peut prévenir l’assimilation, la généralisation et la perte des modes de savoirs autochtones en matière de la création du savoir. De plus, la théorie intersectionnelle acquiert une connaissance des effets du colonialisme en prêtant attention aux modes de savoirs autochtones » [Résumé original]
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« Le présent document répond donc à l’objectif 1 [de s’outiller d’un guide des bonnes pratiques en matière de recherche dans le Nord]. Afin de rencontrer le second objectif, un forum sur les besoins de recherche des Premiers Peuples a eu lieu en mars 2017 à Val-d’Or. Cet événement a donné lieu à un rapport et les enjeux soulevés ont été intégrés aux axes de recherche de l’INQ. Il est convenu que le forum de même que la liste des besoins en recherche peuvent évoluer et changer dans le temps. C’est pour cette raison que le GTPP pense tenir d’autres événements semblables dans le futur dans différentes communautés autochtones du Québec nordique.» [Extrait page 5]
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« Ce site se veut à la fois le récit de Kaianishkat, un projet de formation à la recherche destinée à des femmes autochtones en communauté, et un espace de partage des outils d’accompagnement à la recherche qui ont été codéveloppés tout au long de ce projet, [...] sous forme de courtes fiches explicatives des principaux éléments à considérer dans le cadre de la réalisation d’une recherche. Ces fiches, destinées en premier lieu à des femmes autochtones souhaitant réaliser des projets de recherche en communauté, peuvent, en revanche, être utiles à quiconque veut amorcer un processus de recherche » [Portion du résumé original]
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Conférence de Paola Bacchetta, Université de Californie à Berkeley à la conférence publique «Race, colonialité et politique» organisée en collaboration avec l’Institut Simone-De Beauvoir au Congrès CIRFF2015, mercredi 26 août 2015, UQAM. 7e Congrès international des recherches féministes dans la francophonie (CIRFF2015) http://cirff2015.uqam.ca/ 24 au 28 août 2015, Université du Québec à Montréal.
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L’enfant grandit avec son grand-père qui, avant sa mort, lui apprend tout de la vie et de la Terre. Tels des vautours, des Polichinelles (Blancs) débarquent, pillent le territoire, la culture et la langue. En cinq tableaux, Qu’as-tu fait de mon pays ? • Tanite nene etutamin nitassi ? raconte l’histoire de la dépossession des peuples autochtones et les abus du système colonial. Née en 1926 dans le Grand Nord, An Antane Kapesh, gardienne de la mémoire de son peuple, est la première auteure innue. Mère de huit enfants, elle décède en 2004. Sa parole demeure fondamentale pour l’histoire.
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Sœurs volées, femmes disparues, féminicides ignorés… Alors que Harper refuse toujours de voir les crimes contre les femmes autochtones comme un phénomène de société, des voix s’élèvent pour décrire et dénoncer une culture d’impunité et d’aveuglement. Le problème, criant au Canada, est présent partout dans le monde.
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