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Belle, attirante, indomptable, Irène n'a, de son propre aveu, que deux passions : voler et faire l'amour. C'est ainsi qu'elle s'empare un jour d'un sac à main et quelle y découvre... un bébé mort. Peu après, elle rencontre Ousmane, un nouvel amant qui l'entraîne dans une spirale de débauche et de provocation... Mais dans une Afrique noire urbaine où la misère et l'immobilisme vont de pair avec la résignation, y a-t-il place pour la révolte qu'elle tente ainsi de faire entendre ? C'est une fable mélancolique que nous conte ici Calixthe Beyala, sous les apparences d'un roman érotique à la sensualité débridée et à l'humour corrosif.
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"Femmes rebelles " porte sur la nouvelle génération d'écrivainsfemmes africaines francophones des dix dernières années et l'évolution frappante de leur écriture dans ce court laps de temps. Aux premières oeuvres de témoignage du début des années 80 s'est substituée une deuxième phase montrant une écriture plus agressive, plus revendicatrice : . Ce livre examine le mécanisme de rébellion que les écrivains femmes ont instituées à cet effet dans leur critique de l'Afrique d'aujourd'hui.
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A travers le regard d'une femme africaine sur ses sœurs occidentales, nos découvrons avec horreur la condition des femmes d'Afrique qui n'a guère changé en dépit des progrès. Qu'il s'agisse du non-accès à l'éducation dont sont encore privées beaucoup de petites filles, de l'excision (mutilation du plaisir chez la femme) ou de al dépendance économique, sociale et culturelle à l'homme, Calixthe l'Africaine dresse un noir tableau des combats qu'il reste à mener. L'autre part du discours à trait à "l'endormissement" de la femme occidentale ; ou plutôt, selon Calixthe, la femme a été endormie par l'homme qui depuis plusieurs années s'est transformé en agneau pour mieux renaître en loup. Calixthe Beyala lance un signal d'alarme à ses "sœurs" ne baissez pas les bras, tout reste à faire ; énormément chez nous en Afrique, beaucoup chez vous en Occident. Ecrit dans le style vif et alerte qui al caractérise, l'ouvrage de Calixthe ne recule pas devant les mots pour se faire entendre des femmes, et certainement, les réveiller. Calixthe Beyala est camerounaise. Ecrivain, elle vit et travaille en France. Mère de deux enfants, elle a la charge de nombreux enfants au Cameroun. Elle a publié plusieurs romans très remarqués dont "C'est le soleil qui m'a brûlée", premier roman bouleversant en hommage à sa sœur morte à l'âge de 23 ans, symbole de la lutte que doit sans cesse mener la femme africaine, "Le petit prince de Belleville", "Maman a un amant" et "cet automne "Assèze l'Africaine". Le style et le caractère puissant de son œuvre font d'elle une des toutes premières romancières africaines.
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"La tête dans les odeurs de l'homme, la bouche contre son sexe, elle se dit qu'il est devenu complètement fou, qu'elle est devenue complètement folle (...). Dans l'état actuel de l'histoire, quoi qu'elle fasse, quoi qu'elle dise, elle aura toujours tort. L'homme c'est lui." Cameroun. Chaleur humide, ciel hypnotique. Dans le bidonville où elle a grandi, abandonnée par sa mère, Ateba cherche avec désespoir sa place dans une société où la femme n'a qu'un droit : se taire. Ecartelée entre plusieurs sentiments contraires, la jeune fille, le ventre en feu, la haine au coeur, est certaine qu'elle peut devenir un jour la plus forte. Incapable de se résoudre à concilier sexe et asservissement, elle refuse de passer sa vie à genoux.--Quatrième de couverture.
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Grace Ly et Rokhaya Diallo discutent de la complexité du mot “métis” –expression dont l’histoire est lourde des violences coloniales. Avec Jessica Gérondal Mwiza, franco-rwandaise et autrice du billet de blog « Je ne suis pas métisse, je suis une femme noire » sur Médiapart, elles remettent en question ce terme qui s’inscrit d’abord dans une vision biologique de la race, et que certains érigent en horizon utopique de l’humanité quand d’autres en font une catastrophe annoncée. Difficile à porter pour les principaux.ales concerné.e.s, dont l’expérience raciale est bien particulière, entre fascination, exotisation, colorisme, et racisme.
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Vous écoutez Tant que je serai Noire, le podcast qui s'interroge sur le désir et non-désir d'enfant des femmes noires. Pour cet épisode, je reçois Sharonne Omankoy, aujourd'hui travailleuse sociale et militante dans la lutte contre le VIH et elle est aussi la cofondatrice de Mwasi collectif Afroféministe crée en 2014. Elle a fait des études universitaires sur les questions du genre, de la sexualité et du féminisme. Avec Sharonne nous avons parlé de son non-désir d'enfant mais pas que, nous avons parlé : - de son enfance - de son rôle de grande soeur (Yaya) - de son engagement dans la lutte contre le VIH - de son non-désir d'enfant - de comment la maternité est abordé dans l'afroféminisme
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