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A travers le regard d'une femme africaine sur ses sœurs occidentales, nos découvrons avec horreur la condition des femmes d'Afrique qui n'a guère changé en dépit des progrès. Qu'il s'agisse du non-accès à l'éducation dont sont encore privées beaucoup de petites filles, de l'excision (mutilation du plaisir chez la femme) ou de al dépendance économique, sociale et culturelle à l'homme, Calixthe l'Africaine dresse un noir tableau des combats qu'il reste à mener. L'autre part du discours à trait à "l'endormissement" de la femme occidentale ; ou plutôt, selon Calixthe, la femme a été endormie par l'homme qui depuis plusieurs années s'est transformé en agneau pour mieux renaître en loup. Calixthe Beyala lance un signal d'alarme à ses "sœurs" ne baissez pas les bras, tout reste à faire ; énormément chez nous en Afrique, beaucoup chez vous en Occident. Ecrit dans le style vif et alerte qui al caractérise, l'ouvrage de Calixthe ne recule pas devant les mots pour se faire entendre des femmes, et certainement, les réveiller. Calixthe Beyala est camerounaise. Ecrivain, elle vit et travaille en France. Mère de deux enfants, elle a la charge de nombreux enfants au Cameroun. Elle a publié plusieurs romans très remarqués dont "C'est le soleil qui m'a brûlée", premier roman bouleversant en hommage à sa sœur morte à l'âge de 23 ans, symbole de la lutte que doit sans cesse mener la femme africaine, "Le petit prince de Belleville", "Maman a un amant" et "cet automne "Assèze l'Africaine". Le style et le caractère puissant de son œuvre font d'elle une des toutes premières romancières africaines.
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Fille d'une esclave violée par un marin anglais à bord d'un vaisseau négrier, Tituba, née à la Barbade, est initiée aux pouvoirs surnaturels par Man Yaya, guérisseuse et faiseuse de sorts. Son mariage avec John Indien l'entraîne à Boston puis au village de Salem, au service du révérend Samuel Parris. Elle est emprisonnée à la suite du procès des sorcières de Salem en 1692.
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"One of our country's premier cultural and social critics, bell hooks has always maintained that eradicating racism and eradicating sexism must go hand in hand. But whereas many women have been recognized for their writing on gender politics, the female voice has been all but locked out of the public discourse on race. Killing Rage speaks to this imbalance. These twenty-three essays are written from a black and feminist perspective, and they tackle the bitter difficulties of racism by envisioning a world without it"--Back cover.