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Résultats 21 ressources
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"Le Québec s’inscrit dans un contexte particulier où la production des connaissances sur et par les femmes et les personnes non binaires noires et racisées est invisibilisée et où celles-ci sont sous-représentées dans les milieux de recherche. Partant de ce constat, le projet PARR (Promotion des Actrices Racisées en Recherche), affilié à l’organisme Relais-femmes, vise à comprendre quels sont les obstacles structurels auxquels font face les femmes et les personnes non binaires noires et racisées impliquées en recherche partenariale et quelles sont les stratégies individuelles et collectives, actuelles et envisagées, pour les surmonter et pour se préserver soi et ses communautés d’appartenance. Pour le faire, le projet PARR emploie une méthodologie qualitative par/pour/avec et s’appuie sur vingt entrevues semi-dirigées et deux groupes de discussion avec des femmes et des personnes non binaires noires et racisées ayant été impliquées dans des projets de recherche partenariale au sein de la province du Québec.
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Le Comité Leclerc (CL) du Centre des femmes de Laval (CFL) est devenu au fil des trois dernières années un réel groupe d’action sociale pour favoriser la solidarité auprès des femmes détenues et contrer la détention des femmes. Dans le but d’améliorer ses pratiques féministes intersectionnelles et de les faire connaître, le CFL a réalisé une recherche avec une équipe de chercheures de l’UQAM pour décrire et documenter les pratiques de groupe et d’action collective du CL.
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Ce guide vise à aider les féministes et les organisations féministes à bâtir des relations et la collaboration. Cette ressource a été façonnée par les discussions que CRIAW-ICREF a tenues avec 34 organisations de femmes à travers le pays sur ce à quoi ressemble la solidarité féministe intersectionnelle en pratique. Basé fermement dans un cadre féministe intersectionnel, le guide aborde la signification et l’importance de la solidarité féministe intersectionnelle et fournit des stratégies tangibles pour construire des relations significatives et collaboratives en s’attaquant aux inégalités systémiques et individuelles. [...] Des questions d’orientation et des exemples d’actions collaboratives pour aborder les obstacles auxquels nous confrontons actuellement à un niveau individuel, organisationnel et du mouvement sont inclus dans le guide. [Portions du résumé original]
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« Les recherches scientifiques (principalement les recherches des féministes noires, les recherches autochtones, les études critiques des handicaps et les travaux des chercheur.e.x.s queer) ont montré qu’il fallait changer la façon de mobiliser les ressources afin de diriger notre attention sur les manières dont les systèmes d’oppressions multiples, et qui se chevauchent, impactent les expériences genrées dans la participation sportive et le leadership.» [Début de l'introduction] Cet outil contient un lexique, une liste d'éléments à considérer et un schéma visant à faciliter l'intégration des perspectives intersectionnelles dans des processus de recherche. [Résumé équipe ORPCC]
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« Pour progresser, le travail féministe doit réexaminer et évaluer en permanence les façons dont le pouvoir et les privilèges sont répartis dans les systèmes, les sociétés, les groupes et les organisations. Cette ressource founit une trousse à outills pour mener une analyse intersectionnelle et de l'égalité des genres (AIEG) abréviée qui met l'accent, et tient compte, de la nature interconnectée et croisée des systèmes, en particulier les systèmes de pouvoir et d'oppression » [Résumé original]. Des tableaux sont proposés afin de construire des recherches à caractère instersectionnel. [Résumé équipe ORPCC]
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Le Réseau des Tables régionales de groupes de femmes du Québec est un regroupement provincial composé des 17 Tables régionales de groupes de femmes au Québec. Il s’agit d’un regroupement féministe de défense collective des droits, qui travaille sur les questions mettant en jeu les intérêts et les droits des femmes. La spécificité du regroupement est représentée par l’expertise régionale développée par les Tables régionales dans les dossiers de la condition féminine. Porte-voix des régions auprès des instances nationales, le RTRGFQ favorise la prise de parole collective des Tables régionales, tout en respectant leurs particularités. Le RTRGFQ et les Tables régionales sont en action depuis plus de 20 ans pour favoriser la participation des femmes à la vie démocratique québécoise
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Cette recherche comporte deux volets. D’une part, elle veut contribuer à mieux comprendre et faire connaître le processus de précarisation économique, politique et culturelle que subissent les femmes appartenant aux catégories sociales du handicap, de la monoparentalité, de l’immigration et de la race. Nous nous intéressons donc aux femmes en situation de handicap (FH), monoparentales (FMP), immigrantes (FI) et racisées (FR) en fournissant des informations sur leurs revenus, leurs occupations et leurs besoins, tant pour celles qui fréquentent les groupes communautaires que pour celles qui ne les fréquentent pas. D’autre part, la recherche vise à analyser les pratiques (activités et services) que les organismes mettent en œuvre afin de contrer cette marginalisation et à fournir à ces organismes des informations pour les aider à atteindre les Montréalaises les plus défavorisées
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Cette recherche qualitative s'est penchée sur la résonnance de l'intersectionnalité au sein de la Fédération des maisons d'hébergement pour femmes (FMHF), à la fois dans le discours des intervenantes et des directrices, ainsi dans les pratiques d'intervention auprès de femmes confrontées à de multiples problématiques. Sur le plan du discours, l'intersectionnalité est comprise comme un cadre et un outil d'analyse permettant d'appréhender la violence subie dans un continuum, au regard des difficultés structurelles et individuelles vécues. Le continuum violence-oppression, qui engendre les difficultés entrecroisées des femmes, est au cœur de la compréhension de l'intersectionnalité. Plus globalement, l'intersectionnalité offre un cadre d'analyse qui relève la complexité des situations des femmes. Sur le plan de l'intervention, l'approche intersectionnelle amène les intervenantes à porter une attention spécifique à la narration des trajectoires de vie des femmes rencontrées, à mieux cerner les contextes dans lesquels s'inscrivent les problèmes vécus et, ainsi, à analyser la violence vécue dans un large spectre contextuel et socio-relationnel. Également, la mobilisation d'un cadre intersectionnel leur permet d'éclairer les rapports qu'entretiennent les femmes avec les différents services (policiers, services de santé et sociaux, protection de la jeunesse) ainsi que les manières dont elles sont perçues et, parfois, étiquetées par ces derniers. Les intervenantes sont ainsi mieux à même d'outiller les femmes dans leurs interactions avec les services publics et d'amenuiser les « effets » de ces institutions sur elles et leurs situations. Finalement, l'intersectionnalité représente un outil incontournable pour réfléchir aux dimensions du pouvoir qui sont présentes dans la relation intervenante-femme aidée. Les intervenantes adoptent une posture misant sur l'incertitude et l'ouverture face aux situations rencontrées. Dans cette perspective, l'intersectionnalité invite les intervenantes à davantage de réflexivité, afin de non seulement prendre conscience de leurs schèmes sociaux et des cadres de référence qui guident leurs actions, mais aussi de se « regarder agir » en examinant a posteriori leur intervention ainsi que les effets de celle-ci sur la personne aidée.
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« Les défis socioéconomiques, politiques et écologiques courants exigent de nouvelles approches à la création et à l’application des recherches. Trouver de nouvelles approches à la création de savoirs exige de se tourner vers des manières précédemment exclues de comprendre le monde, y compris les modes de savoir autochtones. Ce sommaire exécutif, « Apprentissage croisé des systèmes de connaissances autochtones et occidentaux et intersectionnalité: Réconcilier les démarches de recherches en sciences sociales », explore ces possibilités. La reconnaissance croissante au Canada de la persistance du colonialisme comprend notamment la réalisation que la tentative d’effacement des connaissances et des systèmes de savoirs autochtones a résulté en occasions manquées de créativité et d’innovation dans la poursuite de recherches qui feraient progresser l’égalité et la durabilité. La présente synthèse vise à contribuer à l’engagement du Canada envers la vérité et la réconciliation, en offrant des pistes de recherche intentionnellement ouvertes aux modes de savoirs tant autochtones qu’occidentaux, et à l’incorporation des voix marginalisées dans les multiples systèmes de savoirs » [Résumé original]
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« Ce premier feuillet d’info de la série « Apprentissages croisés des systèmes de connaissances autochtones et occidentaux et l’intersectionnalité » sert d’introduction à l’approche de recherche, aux principales considérations et utilisations de ce travail. Ces feuillets d’information survolent certains éléments des modes de savoirs autochtones et occidentaux. Ils explorent les liens potentiels entre approches autochtones et occidentales en matière de création de savoirs, fournissent des exemples et identifient les risques. En outre, les feuillets d’information présentent et explorent l’intersectionnalité en tant qu’important concept complémentaire pouvant renforcer l’analyse et appuyer le travail de vérité et de réconciliation. Sept grands principes visent à orienter les universitaires, les décisionnaires politiques et toute autre personne intéressée à mener une recherche à l’écoute de la réconciliation par l’entremise de l’intersectionnalité. Enfin, douze méthodes sont illustrées par des exemples démontrant comment mener des recherches reliant des modes de savoirs autochtones et occidentaux et l’intersectionnalité » [Résumé original]
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« Ce troisième feuillet d’info de la série « Apprentissages croisés des systèmes de connaissances autochtones et occidentaux et l’intersectionnalité » se concentre sur les contributions possibles de la pensée intersectionnelle aux cadres de liaisons autochtones et occidentaux alors qu’elle peut prévenir l’assimilation, la généralisation et la perte des modes de savoirs autochtones en matière de la création du savoir. De plus, la théorie intersectionnelle acquiert une connaissance des effets du colonialisme en prêtant attention aux modes de savoirs autochtones » [Résumé original]
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« Ce cinquième feuillet d’info de la série « Apprentissages croisés des systèmes de connaissances autochtones et occidentaux et l’intersectionnalité » s’appuie sur les sept principes mis en lumière au sein des feuillets d’informations précédents et la mise en pratique par le biais d’une foule de méthodes de recherche. Ces méthodes de recherches sont issues de savoirs autochtones et occidentaux provenant de toute l’Île de la Tortue et au-delà. Les auteures soulignent que l’utilisation de ces méthodes ne signifie toutefois pas que les principes sont automatiquement respectés. En réalité, les méthodes de recherche doivent être choisies soigneusement en prêtant attention au contexte et aux perspectives des personnes avec qui l’on travaille, afin d’éviter l’effacement des différences par la généralisation du « savoir autochtone. Ce feuillet d’information conclut la série » [Résumé original]
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Ce rapport fournit un cadre d'analyse féministe intersectionnelle succint sur le développement et l'extraction des ressources. Il renseigne sur les façons d'appliquer ce cadre sur la thématique de recherche (extraction des ressources), mais pourrait également s'avérer inspirant pour d'autres types d'initiatives. [Résumé ORPCC]
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« Les sujets abordés découlent de suggestions et d’échanges ayant eu lieu durant les ateliers de CRIAW-ICREF sur l’intersectionnalité. Ils reflètent une perspective intersectionnelle sur les politiques, les services et programmes, la recherche et l’éducation communautaire. Cette trousse n’est pas un document de réflexion critique. Elle est plutôt destinée à servir d’outil pratique et accessible à plusieurs organisations sans but lucratif ayant des missions et des mandats variés. Même s’il peut être ardu d’appliquer l’intersectionnalité pour bien des organisations sans but lucratif qui fonctionnent avec peu de personnel, de bénévoles et de moyens financiers, cette trousse propose des suggestions et des outils concrets et pratiques aux organisations intéressées à ouvrir plus grandes leurs portes aux communautés qu’elles desservent. Un monde pour tout le monde figure aussi la Roue de l’intersectionnalité de CRIAW-ICREF, un outil visuel populaire, utilisé par les militantes et chercheures pour illustrer le concept de l’intersectionnalité. » [Résumé original]
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