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Mi lesbianismo es la avenida que me ha permitido comprender mejor el silencio y la opresión, y sigue siendo el más claro recordatorio de que no somos seres humanos libres. Moraga 1988, 21 Ce numéro, intitulé Littératures lesbiennes et frontière dans les Amériques (1980-2020), propose de réfléchir à la délimitation d’un champ du savoir – les littératures lesbiennes – depuis lequel repenser la frontière dans les Amériques comme espace de re-signification de la dichotomie inside/outside qui est ...
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FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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Cette publication célèbre les 20 ans de FéminÉtudes et revient sur les moments forts de la revue. *** FéminÉtudes est une revue étudiante, féministe et multidisciplinaire. La revue est née en 1995 de l’initiative d’étudiantes féministes dans l’intérêt de partager leurs recherches et de créer un groupe affinitaire. La revue est dirigée par des collectifs de rédaction bénévoles et autogérés, et soutenue par l’Institut de Recherches en Études Féministes (IREF) de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, FéminÉtudes a réussi à se bâtir une réputation et une légitimité dans le champ de la recherche en études féministes, tout en offrant une tribune au travaux et aux réflexions de dizaines d’étudiant.e.s. Au-delà de la recherche, c’est également pour l’avancement des luttes féministes que FéminÉtudes souhaite continuer à grandir.
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Using social and queer theory on domination, sexuality and gender, this contribution explores how the queer American author Dorothy Allison celebrates the vilified transgressive lesbian body. As, in the 1970s, the mainstream american feminist movement crystallized around the definition of an acceptable sexuality in the name of femininity, female sexual practices were standardized according to strict identity frames, carnal desire was denied, and transgressive lesbians who play with gender roles were defined as abject. In response to this extreme taming of the body, Allison interrogates the notions of masculinity and femininity, domination and submission in her exploration of sexual pleasure and traumatized sexuality. She celebrates the aggressiveness and masculinity of queer lesbianism, promotes the fluidity of gender roles, and asserts the primacy of the flesh,sensuality, and materiality in sexuality.
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Analysant les romans de Nina Bouraoui, en particulier Mes mauvaises pensées, Appelez-moi par mon prénom et Nos baisers sont des adieux, cet article démontre comment l’écrivaine transforme l’extrême violence de sa prose – à raconter son sentiment de blessure face aux identités distinctes d’auteure française, algérienne et queer qu’on veut lui imposer – en un véhicule capable de transmettre des affects plutôt qu’une logique narrative. En reliant certaines œuvres d’art (y compris ses propres textes littéraires) à d’autres corps dans une même virtualité en tant qu’« émetteurs-récepteurs » d’affects, Bouraoui en arrive à suggérer la possibilité d’une nouvelle sexualité queer affective, c’est-à-dire relationnelle et allant au-delà de l’orientation sexuelle de chacun(e).
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Which comes first, the body or the word? Food or sex; affect or ideas? Taking Judith Butler’s contention that the body is discursively constructed, this paper will examine the relationship between language and corporeality in Dorothy Allison’s story “A Lesbian Appetite.” Allison, a writer who interrogatesracial and sexual identitiesin the American South, offers a particularly significant treatment of this dynamic by placing the physical body and discursively produced lesbian subjects at the center of her story. As critic Christina Jarvis puts it, this story “provides a useful intervention within recent queer theory, offering sexual identities that are performative as well as attentive to the specificities of race, class, sex, ethnicity, and the body” (2000) and regional cuisine. This paper will examine the liminal subjectivities of the discursive and corporeal body, racial and gendered. While there is in the postmodern approach a powerful sense of indeterminacy in literature and life, there is another force requiring that we acknowledge the corporeality of the body, the “real,” materiality. It argues for the transformative integration of theory and practice, materialist feminism informed by a postmodern consciousness as applied to Allison’s work. Here, language constructs the possibility of change
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Les auteures se livrent à une analyse des discours produits et diffusés par des groupes et des personnes qui luttent contre le patriarcat et l’hétérosexisme en priorité et qui semblent avoir une certaine culture libertaire. Une lecture des zines, des brochures, des journaux, des compilations vidéo/DVD, des albums de musique et des sites Web leur a permis de mettre en évidence trois tendances : la première regroupe les féministes radicales, clairement en continuité avec la génération politique précédente; la deuxième tendance s’apparente au women-of-color feminism; et la troisième est représentée par des groupes queers radicaux qui, tout en tentant de déconstruire l’identité sexuelle femme, invente un militantisme de multiples identifications.