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A gender-queer punk-rock singer from East Berlin tours the U.S. with her band as she tells her life story and follows the former lover/band-mate who stole her songs.
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"Gender" has, in recent years, become one of the busiest terms in literary and cultural theory, as well as being one of the most contested. David Glover and Cora Kaplan chart the main lines of contemporary debate surrounding gender in a guide which:* presents a history of the term, from the sexology of psychoanalysis of the 1960s to its current usage within the interdisciplinary field of gender studies* looks at the major perspectives on gender from second-wave feminist writers and critics* examines new work on masculinity in literary and cultural studies* assesses how the creation of new queer and gendered identities has impacted the study of literature* surveys empirical and theoretical work on readership and spectatorship, looking in detail at modes of fantasy, cultural consumption, reader response and fan cultures.
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Invisible Lives est la première étude scientifique sur les personnes transgenres – travestis, drag queens et transsexuels – et sur leur vie quotidienne. À travers une étude théorique et empirique combinée, Viviane K. Namaste soutient que les personnes transgenres ne sont pas tant produites par la médecine ou la psychiatrie qu'elles sont effacées ., ou rendu invisible, dans une variété de contextes institutionnels et culturels. Namaste commence son travail en analysant deux perspectives théoriques sur les personnes transgenres - la théorie queer et les sciences sociales - montrant comment aucune d'entre elles n'a abordé de manière adéquate les problèmes les plus pertinents pour le changement de sexe : tout, de l'emploi aux soins de santé en passant par les papiers d'identité. Namaste examine ensuite certaines des inscriptions rhétoriques et sémiotiques des figures transgenres dans la culture, y compris des études sur les premières sous-cultures punk et glam rock, pour illustrer comment l'effacement des personnes transgenres est organisé dans différents sites culturels. Invisible Lives se termine par de nouvelles recherches sur certaines des préoccupations quotidiennes des personnes transgenres, proposant des études de cas sur la violence, les soins de santé, les cliniques d'identité de genre et la loi.
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Une relecture de la sexualité, à la lumière des travaux de Deleuze, Foucault, mais aussi dans la lignée du féminisme matérialiste (Wittig) et des recherches sur le genre (Butler). S'inscrivant dans une quête rétrospective d'une philosophie radicale lesbienne, l'essai se penche notamment sur le godemiché et ses différentes incarnations au sein du système patriarcal
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L'identité ne se limite pas à s'identifier à sa culture ou à s'y opposer fermement. José Esteban Muñoz examine comment ceux qui sont en dehors du courant dominant racial et sexuel négocient la culture majoritaire - non pas en s'alignant avec ou contre les œuvres d'exclusion, mais plutôt en transformant ces œuvres à leurs propres fins culturelles. Muñoz appelle ce processus « désidentification » et, à travers une étude de son fonctionnement, il développe une nouvelle perspective sur la performance, la survie et l'activisme des minorités.
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Par son refus radical de tout système de catégories identitaires de même que de toute stratégie politique, théorique ou épistémologique qui se réclame d’un tel positionnement, le courant queer remet en question la base identitaire du mouvement des lesbiennes qui s’est constitué depuis plus d’une vingtaine d’années et déstabilise les perspectives féministes qui ont prévalu jusqu’à récemment dans la théorisation du lesbianisme. Dans cette communication, j’aimerais discuter, en tant que sociologue et féministe, certains enjeux soulevés par la pensée queer quant à la (dé)construction du sujet lesbien. En effet, une fois admis le caractère multiple et fragmenté des subjectivités individuelles, quels outils ce courant fournit-il pour penser la diversité parmi les lesbiennes et explorer concrètement les intersections entre sexualité, genre, ethnie et classe ? Alors que le lesbianisme féministe a défini le sujet lesbien comme une identité de genre et comme lieu d’une résistance politique à la domination patriarcale, l’approche dite queer ne risque-t-elle pas d’occulter de nouveau les rapports de sexe en assimilant les unes aux autres les multiples formes de transgressions sexuelles, y inclus le lesbianisme ?
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In this quintessential work of queer theory, Jack Halberstam takes aim at the protected status of male masculinity and shows that female masculinity has offered a distinct alternative to it for well over two centuries. Demonstrating how female masculinity is not some bad imitation of virility, but a lively and dramatic staging of hybrid and minority genders, Halberstam catalogs the diversity of gender expressions among masculine women from nineteenth-century pre-lesbian practices to contemporary drag king performances.
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Les études de Michel Foucault sur la sexualité et son histoire, de même que les premiers travaux de Judith Butler sur la fluidité des postures de genre, ont contribué à l’émergence de la pensée queer, qui récuse le fixisme identitaire sans pour autant rejeter la notion d’identité. Ce courant de pensée a eu des répercussions tant dans le domaine des études féministes que dans celui des études LGBT ou encore des études sur les sexualités qui s’intéressent aux marges de la société hétérosexiste. Au-delà des oppositions binaires du masculin et du féminin ou de l’hétérosexualité et de l’homosexualité, il y a toujours un indécidable, qui résiste à la bipartition, une zone de flou, d’hybride et de poreux. C’est cet indécidable qui force la réflexion, non pas pour le faire entrer dans une catégorie d’opposition binaire, mais pour faire rebondir la pensée. Des textes de Carmen Gill, Ross Higgins, Diane Lamoureux, Marie-José Nadal, Tania Navarro Swain, Paul-André Perron, Robert Schwartzwald et Colette St-Hilaire.
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‘When we claim to have been injured by language, what kind of claim do we make?’ - Judith Butler, Excitable Speech Excitable Speech is widely hailed as a tour de force and one of Judith Butler’s most important books. Examining in turn debates about hate speech, pornography and gayness within the US military, Butler argues that words can wound and linguistic violence is its own kind of violence. Yet she also argues that speech is ‘excitable’ and fluid, because its effects often are beyond the control of the speaker, shaped by fantasy, context and power structures. In a novel and courageous move, she urges caution concerning the use of legislation to restrict and censor speech, especially in cases where injurious language is taken up by aesthetic practices to diminish and oppose the injury, such as in rap and popular music. Although speech can insult and demean, it is also a form of recognition and may be used to talk back; injurious speech can reinforce power structures, but it can also repeat power in ways that separate language from its injurious power. Skillfully showing how language’s oppositional power resides in its insubordinate and dynamic nature and its capacity to appropriate and defuse words that usually wound, Butler also seeks to account for why some clearly hateful speech is taken to be iconic of free speech, while other forms are more easily submitted to censorship. In light of current debates between advocates of freedom of speech and ‘no platform’ and cancel culture, the message of Excitable Speech remains more relevant now than ever.
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In this innovative book, a well-known feminist and sociologist challenges our most basic assumptions about gender. Judith Lorber argues that gender is wholly a product of socialization, subject to human agency, organization, and interpretation, and that it is a social institution comparable to the economy, the family, and necessity of gender, she envisions a society structured for equality, where no gender, racial, ethnic, or social class group is allowed to monopolize positions of power.
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Rooted in Gloria Anzaldúa’s experience as a Chicana, a lesbian, an activist, and a writer, the groundbreaking essays and poems in this volume profoundly challenged how we think about identity. Borderlands/La Frontera remapped our understanding of what a “border” is, seeing it not as a simple divide between here and there, us and them, but as a psychic, social, and cultural terrain that we inhabit, and that inhabits all of us. This twentieth-anniversary edition features new commentaries from prominent activists, artists, and teachers on the legacy of Gloria Anzaldúa’s visionary work