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"Depuis plusieurs années et sous l'impulsion de mouvements sociaux comme #MeToo, de nombreuses affaires de violences sexistes et sexuelles, impliquant des personnalités publiques ou des institutions connues, éclatent au grand jour dans les médias. Ces différents témoignages de femmes mettent en lumière l'ampleur des violences sexistes et sexuelles dans le monde. Comment expliquer une telle prévalence? Quels processus psychologiques peuvent conduire à l'apparition de stéréotypes, de préjugés et de discriminations sexistes? L'objectif de cet ouvrage, rassemblant 45 chercheurs francophones, est de contribuer à la compréhension des conséquences des discriminations sexistes, mais surtout d'aider à décrypter leurs mécanismes. Le phénomène s'avère complexe et très souvent subtil, prenant diverses formes et étant profondément inscrit dans les rouages de la société et des rapports humains. En plus des analyses présentées dans l'ouvrage, différentes pistes d'action sont proposées pour les entreprises et les institutions souhaitant promouvoir un environnement de travail inclusif."--Quatrième de couverture.
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Are sex and gender really two different things? How malleable is gender identity? Do both gender and sex have to be conceptualized as binaries—as having two distinct but complementary categories? Should we emphasize gender differences, or is that the wrong question? When should we call a gender difference “small”? Are women really “nonaggressive” or does that label stem from stereotyping? How does subtle or “modern” sexism work on its targets? Scholarship on these and other gender-related questions has exploded in recent years. Hilary Lips synthesizes that research for students in an accessible and readable way. Concepts on sex and gender are presented with the social context in which they were developed. As in previous editions, Lips takes a multicultural approach, discussing the gender experiences of people from a wide range of races, cultures, socioeconomic statuses, and gender and sexual identities. She emphasizes empirical research but takes a critical approach to that research.
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The view that humans comprise only two types of beings, women and men, a framework that is sometimes referred to as the “gender binary,” played a profound role in shaping the history of psychological science. In recent years, serious challenges to the gender binary have arisen from both academic research and social activism. This review describes 5 sets of empirical findings, spanning multiple disciplines, that fundamentally undermine the gender binary. These sources of evidence include neuroscience findings that refute sexual dimorphism of the human brain; behavioral neuroendocrinology findings that challenge the notion of genetically fixed, nonoverlapping, sexually dimorphic hormonal systems; psychological findings that highlight the similarities between men and women; psychological research on transgender and nonbinary individuals’ identities and experiences; and developmental research suggesting that the tendency to view gender/sex as a meaningful, binary category is culturally determined and malleable. Costs associated with reliance on the gender binary and recommendations for future research, as well as clinical practice, are outlined. (PsycINFO Database Record (c) 2019 APA, all rights reserved).
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"Gender: Psychological Perspectives" synthesizes the latest research on gender to help students think critically about the differences between research findings and stereotypes, provoking them to examine and revise their own preconceptions. The text examines the behavioral, biological, and social contexts in which women and men express gendered behaviors. The text's unique pedagogical program helps students understand the portrayal of gender in the media and the application of gender research in the real world. -- From publisher's description. Contenu : Preface -- Acknowledgements -- About the author -- The study of gender -- Researching sex and gender -- Gender stereotypes: masculinity and femininity -- Hormones and chromosomes -- Theories of gender development -- Developing gender identity -- Intelligence and cognitive abilities -- Emotion -- Relationships -- Sexuality -- School -- Careers and work -- Health and fitness -- Stress, coping, and psychopathology -- Treatment for mental disorders -- How different? -- References -- Index.
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"Sexe" est l'un des mots de la langue française que les gens sans distinction de classe, de religion, d'apparence ou de profession, utilisent avec grand intérêt, qu'ils soient accoudés au zinc d'un bistrot ou à la paillasse d'un laboratoire de biologie moléculaire. Deux mises en scène distinctes, sociale ou scientifique ; deux scénarios différents : d'un côté, les histoires d'amour ou d'imaginaire sexuel, de l'autre, les recherches biologiques. Sous ce mot de "sexe", notre langue, si riche, produit une polysémie bien fâcheuse. L'ambition de ce volume, qui rassemble les contributions de chercheurs et chercheuses en sciences de la vie et en sciences humaines et sociales est de faire le point sur les connaissances concernant le sexe biologique et ses variations, dont on sait désormais qu'il ne permet pas de séparer les individus en deux catégories bien distinctes. Ce livre veut aussi évaluer l'impact du genre sur le développement du corps des êtres sexués et sur la construction de leur identité. Enfin, il cherche à apprécier dans quelle mesure les croyances liées au genre (bicatégorisation mâle-femelle stricte, supériorité masculine) ont pu influencer les recherches menées sur le sexe biologique. Et les témoignages de personnes intersexes et transgenres apportent sur la question de l'identité sexuée un éclairage complémentaire qui bouscule les "réponses" que donnent le plus souvent la médecine et le droit.
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Les différences psychologiques entre les sexes suscitent un intérêt considérable, tant dans les milieux de la recherche que dans les médias. On ne compte plus le nombre de publications scientifiques, d’ouvrages de vulgarisation ou de reportages consacrés à ces questions. Pourtant, une large part de l’information diffusée tient davantage du préjugé, du parti pris idéologique, que d’une démarche scientifique rigoureuse. Les femmes seraient ainsi plus douces, mieux disposées à prendre soin des autres, incapables de lire une carte routière, alors que les hommes seraient bons en maths, compétitifs, plus agressifs. Comment expliquer la persistance de tels mythes aujourd’hui encore ?C’est de ce constat, et d’un certain sentiment d’exaspération, qu’est né le présent ouvrage. Il réunit des chercheures de différentes disciplines : neurobiologie, psychologie, sociologie, science politique. S’appuyant, notamment, sur les données les plus récentes en neurosciences et en psychologie comparée des sexes, ces dernières proposent une synthèse des connaissances actuelles et une réflexion sur la différenciation psychologique des sexes, sur l’orientation sexuelle et sur les notions de sexe et de genre inspirée des textes d’auteures féministes. Il ne s’agit plus de savoir si le cerveau a un sexe, mais si cette question est pertinente et, surtout, pour qui ? Des textes de Line Chamberland, professeure au département de sexologie de l’UQAM et titulaire de la Chaire de recherche sur l’homophobie de l’UQAM ; Louise Cossette, professeure au département de psychologie de l’UQAM et membre de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF) de l’UQAM ; Chantal Maillé, professeure à l’Institut Simone de Beauvoir à l’Université Concordia et Catherine Vidal, neurobiologiste, directrice de recherche à l’Institut Pasteur de Paris.
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This article examines contemporary debates about the ‘sexualisation of culture’. It sets out the context for claims that Western societies are becoming more sexualised and it explores a number of competing perspectives about sexualisation. It then looks in more detail at the nature of claims about sexualisation as they emerge from the different disciplinary perspectives of Psychology and Media and Cultural Studies, contrasting the strengths and weaknesses of each, and raising criticisms of both. In a final discussion section, the article considers the usefulness or otherwise of the notion of ‘sexualisation’ as analytic category and points to the need to go beyond polarised positions. It advocates a psychosocial approach that takes seriously differences and power in considering the contemporary proliferation of ‘sexualised’ images, practices and media
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"Les différences psychologiques entre les sexes suscitent un intérêt considérable, tant dans les milieux de la recherche que dans les médias. On ne compte plus le nombre de publications scientifiques, d'ouvrages de vulgarisation ou de reportages consacrés à ces questions. Pourtant, une large part de l'information diffusée tient davantage du préjugé, du parti pris idéologique, que d'une démarche scientifique rigoureuse. Les femmes seraient ainsi plus douces, mieux disposées à prendre soin des autres, incapables de lire une carte routière, alors que les hommes seraient bons en maths, compétitifs, plus agressifs. Comment expliquer la persistance de tels mythes aujourd'hui encore ? C'est de ce constat, et d'un certain sentiment d'exaspération, qu'est né le présent ouvrage. Il réunit des chercheures de différentes disciplines : neurobiologie, psychologie, sociologie, science politique. S'appuyant, notamment, sur les données les plus récentes en neurosciences et en psychologie comparée des sexes, ces dernières proposent une synthèse des connaissances actuelles et une réflexion sur la différenciation psychologique des sexes, sur l'orientation sexuelle et sur les notions de sexe et de genre inspirée des textes d'auteures féministes. Il ne s'agit plus de savoir si le cerveau a un sexe, mais si cette question est pertinente et, surtout, pour qui ?"--Page 4 de la couverture.
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Jordan-Young has written a stunning book that demolishes most of the science associated with the dominant paradigm of the development of sex and gender identity, behavior, and orientation. The current paradigm, brain organization theory, proposes: "Because of early exposure to different sex hormones, males and females have different brains"; and these hormones also create "gay" and "straight" brains. Jordan-Young interviewed virtually every major researcher in the field and reviewed hundreds of published scientific papers. Her conclusion: "Brain organization theory is little more than an elaboration of longstanding folk tales about antagonistic male and female essences and how they connect to antagonistic male and female natures." She explains, in exquisite detail, the flaws in the underlying science, from experimental designs that make no statistical sense to "conceptually sloppy" definitions of male and female sexuality, contradictory results, and the social construction of normality. Her conclusion that the patterns we see are far more complicated than previously believed and due to a wider range of variables will shake up the research community and alter public perception.
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Les sciences sociales et épidémiologiques contemporaines tendent de plus en plus à prendre en compte la question du genre dans leurs théories sur les orientations sexuelles. Elle mettent ainsi en évidence les diverses articulations entre les formes de sexisme et d'homophobie, et leurs impacts différenciés selon les constructions du genre et les orientations sexuelles, de même qu'en fonction du contexte socioculturel dans lequel elles se situent. Réalisé avec l'appui de l'équipe pancanadienne Sexualités et genres, vulnérabilité et résilience (SVR), cet ouvrage regroupe des contributions de chercheurs francophones et anglophones du Québec, du Canada, de la France et de la Suisse romande, qui examinent les dimensions socioéconomiques, progessionnelles, familiales, relationnelles et psychologiques afin de saisir les variations liées au genre au sein des minorités sexuelles. Faisant appel à des résultats de travaux multidisciplinaires qui s'appuient sur des méthodologies de types quantitatif et qualitatif, ce livre met en lumière des processus contribuant aux inégalités sociales dans les champs de l'éducation, de l'économie et de la santé, et à des condition de vulnérabilité qui affectent l'estime de soi, les réseaux de soutien et la vie sociale. Les recherches observent des modes de résilience significatifs qui, là encore, peuvent varier en fonction du genre, suggérent ainsi sa prise en compte dans les interventions.
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À la lumière des connaissances actuelles en neurosciences, on serait tenté de croire que les vieux préjugés sur les différences biologiques entre les hommes et les femmes ont été balayés. Ce n'est manifestement pas le cas : médias et ouvrages de vulgarisation prétendent que les femmes sont " naturellement " bavardes et incapables de lire une carte routière, tandis que les hommes sont nés bons en maths et compétitifs. Ces discours laissent croire que nos aptitudes, nos émotions, nos valeurs sont tablées dans des structures mentales immuables depuis les temps préhistoriques. Cet ouvrage, qui s'adresse à un large public, replace le débat autour de la différence des sexes sur un terrain scientifique rigoureux, au-delà des idées reçues. L'enjeu est de comprendre le rôle de la biologie, mais aussi l'influence de l'environnement social et culturel dans la construction de nos identités d'hommes et de femmes. Notre destin n'est pas inscrit dans notre cerveau! [Source : d'après la 4e de couv.].
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Les soins étant réalisés majoritairement par des femmes, on tend à considérer l’amour (des malades, des enfants) « naturel » et normal. Or, le travail de soin peut également générer de la haine envers les personnes dépendantes. Celle-ci n’est pas moins normale que l’amour et sa prise en compte modifie l’analyse des situations de soins. Pour l’heure, la haine est occultée dans les traditions savantes, en particulier dans les théories de l’éthique du dévouement, comme dans les témoignages des travailleuses, ainsi que le suggère une enquête réalisée auprès d’auxiliaires de puériculture. Il en résulte un déficit de visibilité du travail qui permet de conjurer la haine et la violence
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Test de préjugés inconscients