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The past decade has seen a wealth of changes in the gay and lesbian movement and a remarkable growth in gay and lesbian studies. In response to this heightened activity Barry D. Adam has updated his 1987 study of the movement to offer a critical reflection on strategies and objectives that have been developed for the protection and welfare of those who love others of their own sex. This revised volume addresses the movement's recovery of momentum in the wake of New Right campaigns and its gains in human rights and domestic partners' legislation in several countries; the impact of AIDS on movement issues and strategies and the renewal of militant tactics through AIDS activism and Queer Nation; internal debates that continually shift the meanings composing homosexual, gay, lesbian, and queer identities and cultures; the proliferation of new movement groups in Eastern Europe, Latin America, Asia, and Africa; and new developments in historical scholarship that are enriching our understanding of same-sex bonding in the past. Adam delineates the formation of gay and lesbian movements as truly a world phenomenon, exploring their histories in the United States, Great Britain, Germany, France, Canada, Scandinavia, Australia, and countries for which very little information about the activities of gay men and lesbians has been made available. In this global picture of the mobilization of homosexuals Adam identifies the critical factors that have given personal and historical subjectivity to desire, that have shaped the faces and territories of homosexual people, and that have generated homophobia and heterosexism. Treating the sociological aspects of the rise of the gay and lesbian movement, Adamalso looks at "new social movements" theory in relation to the gay and lesbian movement and cultural nationalism - whether in the form of cultural feminism or queer nationalism - which he considers an important, perhaps inevitable, moment in the empowerment of inferiorized people.
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Il s'agit d'un remarquable recueil d'essais qui rassemble pour la première fois l'œuvre d'un groupe d'écrivain.e.s bien connu dans la tradition marxiste-féministe. Les essais vont de Marx à Foucault et vont au-delà pour offrir de véritables avancées dans la manière dont la vie sociale et politique peut être reconceptualisée à la lumière de la critique féministe
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Préoccupée d'une part par la situation des femmes qui, suite aux bouleversements provoqués par les luttes féministes, ont à vivre sous la pression de messages sociaux contradictoires, intéressée d'autre part par les pratiques sociales qui, dans le contexte actuel de transformations basées sur la rationalisation des budgets et des services, se trouvent confrontées à des visions divergentes quant à la nature et la fonction de l'intervention sociale, Pauteure expose et illustre une approche d'intervention féministe visant la défense des intérêts des femmes et la transformation des rapports sociaux dominants.
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Matriarcat, maternité et pouvoir des femmes Le matriarcat remis à l'honneur au début des années 70 est un thème privilégié pour la réflexion théorique féministe en anthropologie. En tant que construction intellectuelle, le concept de matriarcat, développé par les évolutionnistes puis par les féministes, met en évidence le discours naturaliste de ces deux groupes et ses effets sur la conceptualisation des rapports de sexe. La discussion du concept de matriarcat est aussi le prétexte à une réflexion sur la maternité et le pouvoir des femmes.
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Essays discuss feminism, reform, lesbianism, education, the media, and the status of women around the world
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Méthodologie féministe et anthropologie : une alliance possible Après un bref énoncé des principes épistémologiques et éthiques qui sous-tendent la recherche féministe et de la stratégie qui en découle dans la poursuite de projets concrets, l'auteure examine les affinités et apports réciproques entre anthropologie et méthodologie féministe puis souligne les contradictions profondes qui, selon elle, rendent problématique actuellement le développement de la recherche féministe en anthropologie. Elle termine en suggérant quelques pistes à suivre par les anthropologues féministes dans un proche avenir.
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Annie Ernaux s'efforce ici de retrouver les différents visages et la vie de sa mère, morte le 7 avril 1986, au terme d'une maladie qui avait détruit sa mémoire et son intégrité intellectuelle et physique. Elle, si active, si ouverte au monde. Quête de l'existence d'une femme, ouvrière, puis commerçante anxieuse de «tenir son rang» et d'apprendre. Mise au jour, aussi, de l'évolution et de l'ambivalence des sentiments d'une fille pour sa mère : amour, haine, tendresse, culpabilité, et, pour finir, attachement viscéral à la vieille femme diminuée. «Je n'entendrai plus sa voix... J'ai perdu le dernier lien avec le monde dont je suis issue.
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Art criticism and art history from a feminist perspective are recent phenomena, emerging only during the last fifteen years. They have, in their short history, moved from a first generation in which "the condition and experience of being female" was emphasized, to a second generation, beginning in the late 1970s, influenced by feminist criticism in other disciplines and offering a more complex critique of both art and culture through an investigation of the production and evaluation of art and the role of the artist. In this survey, we propose, first, to outline the history of feminist art and art history, then to discuss the interrelated themes in each, and, finally, in the concluding and pivotal sections (IV and V), to discuss various feminist art-critical and art-historical methodologies.
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Qualifié à sa parution en 1987 de « roman du troisième œil » par Gloria F. Orenstein, ce livre raconte un moment dans la vie de Jeanne – depuis sa retraite des Appalaches, au sein d’une petite communauté d’esprits nouveaux –, alors que se meurt sa compagne, Noria. Aviatrice, cette dernière sauve des laboratoires les bêtes torturées à des fins de recherches expérimentales. Sur le seuil de sa vie revient son père, le Lion de Bangor, avec qui elle s’était réconciliée. Ce médecin, qui étudie les cellules souches du cancer, lève enfin pour Jeanne l’écrivaine les derniers voiles sur la vie de Noria : sa naissance, son enfance au sein du Ku Klux Klan, ce fils qu’elle a perdu, et cet amour infini que le Lion lui porte, un amour « comme ces ponts miraculeux sur lesquels nous avançons les uns vers les autres. » « Ce dernier volet de la trilogie Comme une enfant de la terre met en scène Noria, une aviatrice qui, telle une chamane, vole à travers le ciel nocturne de l’Amérique du Nord pour livrer au monde un message de salut et un espoir de guérison, et Jeanne, l’écrivaine qui pratique son propre art magique de la guérison : l’art de la littérature. » — GLORIA F. ORENSTEIN