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Queer Theory, Gender Theory: An Instant Primer is a classic of LGBTQ+ literature and is taught in most gender studies programs throughout the United States. It was the first book to offer a one-stop, no-nonsense introduction to the core of postmodern theory, particularly its impact on queer and gender studies and is still powerfully relevant today. Nationally-known gender activist Riki Wilchins combines straightforward prose with concrete examples from LGBTQ+ and feminist politics, as well as her own life, to guide the reader through the foundational ideas of Derrida, Foucault, and Judith Butler that have forever altered our understanding of bodies, sex and desire. This is that rare postmodern theory book that combines accessibility, passion, personal experience and applied politics, noting at every turn why these ideas matter and how they can affect your daily life.
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The Good-Natured Feminist inaugure une conversation soutenue entre l'écoféminisme et les écrits récents du postmodernisme féministe et de la démocratie radicale. Partant de l'hypothèse que l'écoféminisme est un corpus de théorie démocratique, le livre raconte comment le mouvement est né des débats sur la « nature » dans les féminismes radicaux nord-américains, comment il s'est ensuite mêlé à la politique identitaire et comment il cherche maintenant à inclure la nature dans la conversation démocratique et, surtout, de politiser les relations entre genre et nature dans les milieux tant théoriques qu'activistes.
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Qu’est-ce que la littérature lesbienne ? Doit-il contenir des personnages ouvertement lesbiens et les présenter sous un jour positif ? L’auteurice doit-iel être ouvertement (ou secrètement) lesbienne ? Doit-il y avoir un thème lesbien et doit-il être politiquement acceptable ? Marilyn Farwell examine ici le travail d'écrivaines tels qu'Adrienne Rich, Marion Zimmer Bradley, Jeanette Winterson, Gloria Naylor et Marilyn Hacker pour répondre à ces questions. Divisant leurs écrits en deux genres : l'histoire romantique et l'histoire héroïque, ou de quête, Farwell aborde certaines des questions les plus problématiques à l'intersection de la littérature, du sexe, du genre et du postmodernisme. Illustrant comment le conflit générationnel entre les lesbiennes-féministes d’il y a vingt ans et les théoricien.nes queer d’aujourd’hui attise les feux critiques de la théorie lesbienne et littéraire contemporaine, Heterosexual plots and lesbian narratives conclut en plaidant en faveur d’une définition large et généreuse de l’écriture lesbienne.
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Ce volume présente un débat entre quatre des plus grandes théoriciennes féministes des États-Unis. Seyla Benhabib, Judith Butler, Drucilla Cornell et Nancy Fraser discutent de certaines des questions clés auxquelles la théorie féministe est confrontée. Chacune articule sa propre position dans un essai initial, puis répond aux autres dans un essai de suivi, rendant possible une conversation entre ces penseuses féministes influentes. Commencé comme un symposium sur la question du féminisme et du postmodernisme, le volume s'est transformé en une discussion sur des questions plus larges telles que l'utilité du postmodernisme en tant que concept théorique; le rôle de la philosophie dans la critique sociale ; comment le récit historique est le mieux conceptualisé ; le statut du sujet du féminisme ; et les effets politiques des différentes formulations de toutes ces questions.
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This collection of essays explores the significant agreements and tensions between contemporary feminist and postmodern theories and practices. Having brought enormous changes to conceptions of the body, identity, and the media, postmodernity compels the rethinking of many feminist categories, including female experience, the self, and the notion that "the personal is political." Feminist analysis has been equally important, though not always equally acknowledged, as a force within postmodernism. Feminist writings on subjectivity, master narratives, and the socioeconomic underpinnings of the master narrative of theory itself have been particularly influential. This volume traces the crossings and mutual interrogations of these two traditions into the arenas of cultural production, legal discourse, and philosophical thought. Multidisciplinary and international in their collective focus, the essays range from a study of Madonna as an Italian American woman who is revising the cultural meanings of an ethnic feminism to a unique interview with Mairead Keane, the national head of the Women’s Department of the Irish political party Sinn Fein. Turning the prism of postmodern feminism onto such diverse cultural objects as literary and literary critical texts, contemporary film, and music, these essays intervene in debates regarding technology, sexuality, and politics. Challenging modern feminisms to articulate their inescapable relation to postmodern society, this expanded edition of a special issue of boundary 2 also explores ways in which feminism can work as the cutting edge of a global postmodernism. Contributors. Salwa Bakr, Claire Detels, Margaret Ferguson, Carla Freccero, Marjorie Garber, Barbara Harlow, Laura E. Lyons, Anne McClintock, Toril Moi, Linda Nicholson, Mary Poovey, Andrew Ross, David Simpson, Kathyrn Bond Stockton, Jennifer Wicke
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Ce volume est une collection soigneusement choisie de textes théoriques, poétiques, analytiques et critiques. Les voix des écrivai.e.s créatif.ves, des traducteurices professionnel.l.e.s et des universitaires offrent un éventail de perspectives sur les écrivaines québécoises contemporaines. À la lumière du postmodernisme, leurs textes proposent des lectures, des appréciations et des célébrations des écritures nouvelles et expérimentales au féminin québécois des trente dernières années. De plus, la bibliographie rassemble une mine d'informations sur ces écrivaines. En français.Les discours féminins . . . examiner la problématique et les fruits de la jonction, dans un contexte québécois, des deux grands mouvements sociaux, théoriques et littéraires d'aujourd'hui : le féminisme, et le postmodernisme. Le livre fait entendre les voix émouvantes et étonnantes de Louky Bersianik, Nicole Brossard, Susanne de Lotbinière-Harwood, Daphne Marlatt et France Théoret, et font lire les textes de quatorze spécialistes de la littérature québécoise dont Janet Paterson, Karen Gould, Louise Forsyth, Lori Saint-Martin. Les auteurices du livre nous offrent l'étude de l'oeuvre d'une ou de plusieurs écrivaines ou écrivains ; elles s'intéressent aux genres littéraires et à la traduction ; elles se penchent sur la question épineuse de la théorie dans l'émergence d'une littérature et d'une culture au féminin, et aussi sur les significations problématiques des termes "féminisme" et "postmodernisme". Ce livre représente un état présent de la plus grande pertinence et utilité, une exploration collective, sous plusieurs perspectives, d'une problématique complexe et tout à fait actuel.
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Nous vivons à l'ère postmoderniste, poststructuraliste (et, diraient certain.e.s, postféministe), à une époque où le terme lesbienne pose problème, même lorsqu'il est utilisé de manière non péjorative par une lesbienne autoproclamée. Nous ne pouvons plus parler en tant qu'« individus », semble-t-il ; le faire est d’une naïveté et/ou d’une simplicité impardonnable. Nous ne pouvons parler qu'en tant que « sujets » romancés, nos identités individuelles n'existant que comme la création de textes (de quelqu'un) ou comme le résultat d'une signification. En cent ans, les sexologues allemand.e.s ont « apparu » les lesbiennes pour nous pathologiser et les poststructuralistes français.e.s nous ont « fait disparaître » pour déconstruire les catégories de sexe et de genre et « interroger » « le » sujet. Certains universitaires suggèrent que le féminisme et le postmodernisme ont de nombreux points communs. Les théoricien.nes du postmodernisme des deux côtés de l’Atlantique affirment de la même manière que leur mouvement partage un agenda politique avec le féminisme, dans la mesure où déstabiliser les relations narratives entre dominant.e et subordonné.e, contenant et contenu, c’est aussi déstabiliser les relations sociales et culturelles de domination et de confinement en dans lequel le masculin conventionnel subsume et enveloppe le féminin conventionnel. Dans le jargon actuel, le postmodemisme et le féminisme ont « problématisé les relations de genre », remettant en question le « caractère naturel » des relations de genre et considérant la relation entre les sexes comme le résultat de forces sociales, de langage et/ou de pouvoir (Giroux, 28). ). Ni « l'homme » ni la « femme » ne sont un objet ontologiquement stable, une catégorie invariable ; les deux sont construits dans l’histoire (Fuss, 3). Nous ne contesterons pas l’idée que le terme Lesbienne, pendant la brève période où il a été utilisé, a souvent été un terme d’opprobre et non d’approbation – qu’il a été utilisé linguistiquement pour signifier la déviance et même la monstruosité. Nous ne souhaitons pas non plus tomber dans le genre d’essentialisme qui supposerait que toutes les lesbiennes sont « simplement » des lesbiennes. Nous sommes membres de différentes races, classes, groupes ethniques ; collectivement, les lesbiennes souffrent de nombreuses formes d’oppression. En revanche, la philosophie postmoderne, du moins dans les formes qu'elle a prises au sein des instances du pouvoir (pédagogie académique, théorie esthétique et critique) nous semble menacer d'effacer le réel (ou, comme diraient les postmodernistes, « » matériel ») Lesbiennes. Si l’identité est construite par des textes, peut-être n’existe-t-il pas de personne (« objet ») comme lesbienne, aucune caractéristique (non construite) que partagent les lesbiennes. Si les textes et l'identité individuelle peuvent être déconstruits, peut-être que n'importe qui, même non-lesbienne, pourra « lire comme une lesbienne », comme certains l'ont suggéré. Mais s’il n’y a pas d’identité lesbienne en tant que telle, alors l’affirmation selon laquelle on « lit en tant que lesbienne » est un non-sens. Le discours postmoderniste cherche à déplacer les notions humanistes libérales du soi, du « sujet bourgeois » (H. Foster, 77, cité dans Waugh, 8). Mais comme le note Waugh (8-9), le moi unifié postulé par l’humanisme libéral n’était/n’est pas un moi féminin, et encore moins un moi lesbien. La subjectivité, historiquement construite et exprimée à travers l'équation phénoménologique soi/autre, repose nécessairement sur l'« altérité » féminine de l'« individuité » masculine. Le centre subjectif des discours socialement dominants (du « je » philosophique et rationnel de Descartes au phallique/symbolique psychanalytique de Lacan) en termes de pouvoir, d'action et d'autonomie a été un sujet « universel » qui a établi son identité à travers la marginalisation ou l'exclusion invisible de ce qu'elle a également défini comme la « féminité » (qu'il s'agisse du non-rationnel, du corps, des émotions ou du pré-symbolique). Le « féminin » devient ainsi ce qui ne peut s'exprimer parce qu'il existe en dehors du domaine de la signification symbolique. Constitué à travers un regard masculin et donc doté du mystère de celui dont le statut objectif est perçu comme absolu et définitif. Un . . . devient une femme... Dans la relation dialectique entre l'humanisme traditionnel et l'antihumanisme postmoderne apparu dans les années 1960, les femmes continuent d'être déplacées. Comment peuvent-ils aspirer, rejeter ou synthétiser un nouveau mode d’être à partir d’une thèse qui n’a jamais contenu ou exprimé ce qu’ils ont ressenti comme étant leur expérience historique ?
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In this anthology, prominent contemporary theorists assess the benefits and dangers of postmodernism for feminist theory. The contributors examine the meaning of postmodernism both as a methodological position and a diagnosis of the times. They consider such issues as the nature of personal and social identity today, the political implications of recent aesthetic trends, and the consequences of changing work and family relations on women's lives. Contributors: Seyla Benhabib, Susan Bordo, Judith Butler, Christine Di Stefano, Jane Flax, Nancy Fraser, Donna Haraway, Sandra Harding, Nancy Hartsock, Andreas Huyssen, Linda J. Nicholson, Elspeth Probyn, Anna Yeatman, Iris Young.